En Cellule
Voici un petit récit qui, vous le comprendrez, ne recherche pas la vraisemblance, seulement lexpression de fantasmes excitants
Nous sommes en 1923; après un vol, javais été condamné à un an de prison. A cette époque, les pratiques judiciaires étaient bien différentes de celles daujourdhui.
Javais été jeté en cellule, que je partageai avec un autre détenu. Un gars un peu fruste, manifestement pas touché par la grâce de lintelligence, mais vraiment costaud
En minstallant, je regarde le type, lui dis bonjour. Il ne me répond pas ;
« Il a lair un peu simple » me dis-je
Mais il a les bras épais comme mes cuisses, et un tour de taille deux fois comme le mien
Il se dirige vers moi, toujours sans un mot ; il magresse, me tord le bras, et me dit :
- Suce-moi !
Je mapprête à hurler au secours, quand, au travers de la lucarne de surveillance, je vois un gardien en train de regarder la scène ; je suis interloqué !!
Je comprends alors quil est inutile dappeler au secours.
- Je tente quand même :
- Au secours, aidez-moi !! Il est en train de me violer !!
Je me débats ; il me tord encore, et magenouille devant lui ; il a déjà sorti son sexe raide ; je regarde le surveillant, qui ne bronche pas ; jai son gland devant la bouche, mon co-détenu me force et, vaincu, je capitule et accepte de satisfaire son désir ; à peine ai-je ouvert la bouche, quil pousse sa queue entre mes lèvres ; son gland minvestit et va fouiller entre mon palais et ma langue. Je suis obligé de commencer à le satisfaire. Jaccepte ses va et viens le long de sa queue raide. Jai compris que mon co-détenu me domine, je sens toute la puissance de sa bite dure et raide entre mes lèvres ; le surveillant me regarde. Mais je le laisse quand même me baiser la bouche, en rougissant jusquaux oreilles.
Pour quil lâche mon bras qui me fait mal, je veux lamadouer un peu : je commence, en signe de soumission, à faire coulisser moi-même mes lèvres le long de sa tige.
Plus tard dans la journée, nostalgique de la liberté du dehors, je regarde à travers les barreaux
Soudain, je suis plaqué contre le mur. Il me tient fermement, je ne peux méchapper, et se place derrière moi ; je me dis, fataliste :
« Ca y est, il va me baiser !... »
Je suis bloqué par la force de mon co-détenu.
-Baisse ton pantalon ! me dit-il en grognant.
Jobéis, et je suis obligé de laisser mon cul nu offert et sans défense. Je vois alors le sexe qui va me violer ; il est encore plus gros et dressé que quand je lai sucé ! Cest un vrai monstre en rut ! Je me dis quil doit me désirer sexuellement très fort !
Irrépressiblement, je veux sentir la dureté de cette bite, je passe ma main dessus ; mes doigt touchent un barreau dacier raide et dur
Je lentends souffler comme un buffle, de la bave coule même sur mon épaule, et je sens son gland contre mon petit illet
Il ouvre ma rondelle, se fraie un passage dans mon cul. Mon co-détenu ma défloré, puis me lime le cul, jusquà sa jouissance
Quelques jours plus tard, au travers de conversations des surveillants que jai entendues, je compris quen réalité, mon co-détenu était un pervers sexuel notoire ; toujours en manque sexuel, il posait beaucoup de problèmes à la prison ; aussi, pour le calmer, et afin davoir la paix, ils mont jeté en pâture à lui. En fait, je suis là pour le satisfaire sexuellement
Et je vais découvrir que cest un obsédé, avec dénormes besoins sexuels, que je vais satisfaire entièrement.
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Le soir, a la fin du repas, il mappelle en émettant des grognements.
Je ne peux quobéir ; je mapproche, je sais quil peut être violent, et afin de ne pas lénerver, je baisse mon pantalon en me penchant sur la table, et lui présente docilement mon cul.
Je lui dis :
- cest bien comme ça ?
Mon co-détenu est visiblement satisfait de mon attitude, car pour toute réponse, il menfile, et me tringle bien.
Je compris vite que me faire baiser était un rituel de fin de repas auquel je devais me soumettre tous les midis.
Maintenant, afin de pleinement le satisfaire, je devance sa demande, et je surveille son repas ; lorsquil est en train de finir son plat, je me présente à lui, bien docilement. Jai même pu constater, que pendant le durée des repas, je vois progressivement sa queue, maintenant habituée à avoir son petit plaisir, se durcir denvie par anticipation de ce quelle va avoir.
Je mhabitue ainsi à être la petite friandise quil consommera comme dessert à chaque fin de repas.
Le matin au réveil, il me force à venir moccuper de son érection matinale.
Jarrive, et prend son sexe dressé dans ma bouche pour le faire jouir.
Jessaie dêtre bon ; je lui lèche bien son gland pour lui faire du bien. Je le suce de mon mieux. A chaque fois il minonde toute la bouche de son sperme.
Ladministration de la prison est très contente de la tournure des évènements ; elle na plus de problèmes avec le pervers sexuel. Je satisfais totalement toutes ses envies.
Maintenant, notre niveau dintimité a encore évolué ; outre le rituel de fin de repas, je devine les moments de ses envies, en observant son sexe ; dès que je le vois se raidir, je vais moffrir à lui
Mon principal soucis, maintenant, cest de bien le satisfaire sexuellement, et recevoir son sperme quand il se vide les bourses.
Une autre nuit, jétais réveillé. Dans la pénombre, je vois que mon co-détenu a une belle érection ; ses ronflements sonores mindiquent quil dort pourtant profondément. Mais son sexe est là, raide, et je dois men occuper. Je commence à le sucer. Il continue à dormir
Je caresse sa grosse tige en coulissant mes lèvres, et soudain, je sens de puissants jets de sperme buter au fond de ma gorge.
Mais le plus étonnant, cest quaprès sa jouissance, je vis son sexe toujours bien dressé !
Jattends un peu, mais il reste ainsi, aussi je le reprends dans ma bouche pour le sucer à nouveau. Il jouit alors une deuxième fois, aussi abondamment ; et la bite reste encore raide après ; la bouche encore pleine de son sperme, je conserve son sexe et continue donc à le sucer ; et il éjacule une troisième fois, toujours en ronflant, et accompagnant chaque éjaculation de râles de satisfaction ; son sexe ne se dégonfle qualors
Bien que jaie eu une certaine intimité avec mon co-détenu, je nai jamais connu son nom
Tout comme il na jamais cherché à connaitre le mien
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