Leslie Ar03
Leslie AR03 - Les confessions de Catherine, suite
Je me réveillais le lendemain matin de bonne humeur, la séance dhier sur la plage mavait fait du bien et dans la nuit javais fait des rêves érotiques, si bien que jétais humide à mon réveil, après une bonne douche et mon petit déjeuner, toujours nue, je décidais de me donner encore un peu de plaisir avant larrivée de Jade.
Je cherchais donc dans la maison un outil susceptible de me convenir désireuse de changer daccessoire et den trouver un moins conventionnel.
Cest dans lappentis que je trouvais un billot de bois dans lequel était fichée une hachette destinée à fendre le bois. Son manche luisant garantissait labsence de toute écharde. Elle était profondément fichée dans le lourd billot et je me disais que cétait là un outil tout à fait indiqué aux exercices auxquels je voulais madonner.
Jai caressé le manche de la hachette comme si cétait un sexe en érection. Je me suis accroupie devant ce manche, en mimaginant un solide bûcheron généreusement membré, posais ma bouche sur ce manche et commençais à le lécher.
Puis en équilibre je me suis frottée la vulve contre ce manche en me malaxant les seins. Le manche de la hachette était un peu gros et il avait du mal à passer, aussi je me suis accrochée au dos dune chaise, pour trouver une position plus confortable et je me suis laissée glissée sur ce manche. Il disparaissait à vue dil dans mon sexe trempé.
Une image me traversa lesprit et me fit jouir, le spectacle dune femme se godant avec le manche dune hachette dans un appentis devait être unique dans son genre.
Je venais juste de terminer ma petite séance dautosatisfaction quand mon portable sonna, cétait Jade, elle venait de partir de Paris et mannonçait quelle là pour seize heures. Juste le temps daller faire quelques emplettes et je serais de retour pour accueillir mon amie.
Jenfilais une petite jupe, sans culotte, et un petit top qui me moulait la poitrine, lorsque je sautais dans ma voiture je vis ma jupe remontée haut sur mes cuisses et dévoiler mon intimité, il faudra que je fasse attention et ne pas me pencher brutalement.
Arrivée dans le centre-ville, je me garais en me disant que je mangerais un morceau sur la terrasse dun café quand la faim se ferait sentir. Puis je filais flâner un peu dans les magasins de la ville.
Un magasin de lingerie attira mon attention et jy entrais.
La vendeuse vint vers moi et me demanda :
- Puis-je vous aider, et si vous cherchez quelque chose doriginal, je peux vous montrer dautres modèles, et pour du sexy il faudra me suivre dans larrière-boutique.
Voyant que cest ce qui mintéressait, elle memmena dans larrière-boutique.
Larrière-boutique donnait plus limpression dun boudoir ou même dun dressing de femme aimant la lingerie fine. Les articles étaient soigneusement disposés dans des petites cases et certains ensembles exposés sur des mannequins, de quoi ravir toutes femmes recherchant de la lingerie sexy, voir provocante.
La petite vendeuse me montra des modèles osés, des culottes échancrées laissant voir le sexe, des porte-jarretelles, des ensembles transparents. Jétais surprise de trouver ça par ici, et la vendeuse me confia, que seules quelques personnes bien informées faisaient leurs courses dans larrière-boutique.
Je ne pus résister à lidée dessayer quelques ensembles :
- Puis-je essayer celui-ci ? En lui montrant une culotte fendue au niveau du sexe.
- Bien sûr je vous laisse, Madame.
- Non, vous pouvez rester ça ne me dérange pas, par contre je nai pas de culotte, est ce que cela pose problème ?
- Euh non allez-y !
- Vous avez déjà porté ce genre de chose, quelle sensation ça fait ? Lui demandais-je en enfilant la culotte.
Ses joues subitement rouges répondaient à sa place et je la soupçonnais dessayer souvent ces dessous et même peut-être den porter elle-même.
En attendant, la robe sur les reins, je cherchais un miroir pour me rendre compte de leffet que ça pouvait faire. La sensation était assez agréable et mêlait la caresse de la soie donnait la sensation de nudité.
Devançant ma question la vendeuse sapprocha avec un miroir et le plaçant juste comme il faut devant moi pour que je puisse me voir, elle me dit :
- Madame, il vous va à ravir, mais cependant, si je peux me permettre
- Oui ?
- Il est mal ajusté, mautorisez-vous ?
- Ah, Oui bien-sûr.
Sur ce elle saccroupit devant moi, et tira un peu vers le haut, ce qui fit ressortir mes grandes lèvres en les ouvrant un peu. Elle effleura mon sexe légèrement et ce contact mélectrisa.
- Voilà, ainsi, il vous fera plus deffet.
- Heu, merci, effectivement cest agréable, mais ça mouvre bien la vulve, je dois être un peu indécente ?
- Non cest superbe ainsi, même si ça ne va pas avec vos chaussures plates.
- Cest vrai, vous avez raison, je vais aller men acheter une paire sitôt sortie de chez-vous.
- Ainsi avec cette culotte vous êtes parfaite !
Peut-être avait-elle raison, mais nempêche quavec ma robe relevée et mon sexe découvert par la culotte, je devais avoir lair un peu pute, mais franchement ça mexcitait.
La vendeuse sapprocha de moi et me dit :
- Regardez comme la lingerie met les femmes en valeur.
Elle déboutonna son chemisier libérant une jolie paire de seins emprisonnés dans un corset blanc. Sa peau blanche allait à ravir avec son ensemble et contrastait avec ma peau légèrement bronzée.
- Ça a lair serré, ça ne vous fait pas mal ? Lui demandais-je.
- Non jaime assez porter des corsets un peu étroits, ça met la poitrine en valeur.
- Cest vrai, vos seins sont superbes.
- Il ne tient quà vous de les embrasser.
Ce que je fis volontiers, en passant ma main sous sa jupe, et surprise, pas de culotte ni de string, seulement un petit accessoire qui retint mon attention.
- Quest-ce que cest ? Demandais-je en caressant lobjet métallique qui obstruait son sexe complètement imberbe.
- Un bijou intime, cest vraiment spécial, comme un string ficelle qui tient un doigt à lintérieur de mon sexe, articulé il bouge au gré de mes mouvements et les sensations sont incroyables.
- Tu sais, jaime les femmes, dis-je, et cest très agréable.
- Maintenant lèches-moi ! Dis la vendeuse.
Ses jambes écartées attendaient mes lèvres. A genoux jai posé ma bouche sur son sexe luisant et pendant que je la léchais, elle plaquait ma tête sur son intimité. Elle jouis en retenant ses cris.
- Tes excitée, tu aimerais que je te lèche ? Me demanda-t-elle.
- Oui, lèche-moi.
Jétais prête à faire nimporte quoi, sentant son souffle sur mes lèvres, un frisson me parcourra, puis elle me suça.
Elle continua ce traitement en prenant mon clito entre ses lèvres, puis menfonçant ses doigts dans la chatte. Je nen pouvais plus.
- Ecarte plus les jambes ! Me dit-elle en me retournant face au mur.
Elle me fit encore cambrée un peu plus, les jambes écartées, et je réalisais que dans cette arrière-boutique jétais en train de me faire doigter par une petite vendeuse vicieuse. Puis elle me mit un doigt dans le cul me faisant gémir.
- Tu es vraiment une salope toi, je suis contente de tavoir rencontrée disait-elle.
Tout en continuant de me sodomiser de son doigt, puis me prenant la tête de sa main libre, elle la tourné vers elle en plaquant sa bouche sur la mienne pour ma jouissance.
- Jespère te revoir, ma-t-elle dit, avec une amie si tu le veux.
- Pourquoi pas, répondis-je sans réfléchir.
- Au fait, moi cest Audrey.
- Et moi, Catherine.
Nous nous sommes embrassées longuement et je lui ai donné mon numéro de portable, pris le sien, me rajustais en gardant la culotte, et je suis sortie après avoir payé.
En sortant, un peu comme sur un nuage, je fonçais dans un magasin proche macheter des chaussures à talon noires réalisant, au moment de lessaye que le vendeur avait une vue imprenable sur ma culotte et mon intimité offerte et bien ouverte.
Cest au moment de payer quil me gratifia dun grand sourire en me souhaitant une très bonne journée, tout en rajoutant :
- Tout cela vous va à ravir !
A suivre
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