Les Fantasmes De Karim.

Mon logement est au rez de jardin et dans le couloir extérieur qui donne accès aux appartements de cette sorte de sous-sol une porte rouge donne sur une salle au mur de béton brut qui sert de vide ordures au tri sélectif. On y trouve quatre poubelles jaunes pour y jeter les plastiques et cartons et trois poubelles vertes pour y jeter le verre. La pièce s’éclaire avec une minuterie.
Mon copain Karim est du genre chaud de la bite et après avoir tiré sa crampe, tout en me caressant les fesses, il me dit :
– Il est deux heures du matin, mon biquet. Et j’ai envie de m’amuser avec toi. Je me sens particulièrement excité.
– Moi aussi, je suis en manque. Tu n’es pas venu me voir de toute cette semaine et j’ai une foule de câlins à rattr.
– A cette heure, les voisins dorment. Alors voici ce que j’aimerais que tu fasses. Tu sors de l’appartement tout nu. Puis tu te diriges par le couloir éclairé de lumière vers le local aux poubelles. Là tu te penches sur une des poubelles, tu m’attends, j’arrive, j’allume la lumière et je te baise.
– Tu es génial ! J’adore tes fantasmes…
Sitôt dit sitôt fait. Je bondis tout nu hors du lit, ouvre doucement la porte de l’appartement pour ne pas faire trop de bruit avec la clé. La nuit les bruits s’amplifient et si je suis excité de sortir nu dans le couloir j’éprouve tout de même une sorte d’appréhension, je n’aimerais pas être surpris par une ou un voisin. Je laisse la clé dans la serrure, sort sur le palier. Le couloir est vide. La lumière vive baigne de lueur la peinture blanche des murs. Je marche le cœur battant à rompre quatre ou cinq pas jusqu’à une première porte bleue qui donne vers l’escalier qui monte au rez de chaussée. Je ne prends pas l’escalier, mais comme convenu avec karim me dirige vers la porte rouge du local vide-ordures. Là c’est le noir complet. Je passe un vestibule, puis entre dans le local où se trouvent les poubelles. Pas un bruit, l’immeuble est calme.

Tout dort. Mon cœur ralentit ses pulsations, dans l’obscurité je me sens en sécurité. En tâtonnant j’approche d’une grande poubelle, m’incline dessus les deux pieds au sol légèrement écartés, en attendant le souffle court l’arrivée de Karim. J’ai le cul qui palpite de désir.
La porte du vestibule s’ouvre. La lumière s’allume. La porte du local s’ouvre à son tour.
– Mon petit Louis, tu es beau dans l’attente, me dit Karim en posant ses mains sur mes hanches. Il se penche doucement sur moi, dépose un baiser dans mon cou et introduit sa bite raide et dure dans mon petit cul étroit mais amoureusement lubrifié. La pénétration est rude, comme à chaque fois, puis une fois qu’il est tout entré il s’agite vivement et avant que la minuterie éteigne la lumière, il jouit.
Se faire baiser dans un local vide ordures a quelque chose d’excitant. Nous sommes nus dans un endroit public, collés l’un à l’autre, seuls au monde. La lumière s’éteint brusquement.
Mais très excité par la situation, Karim, bien qu’il ait abondamment éjaculé, n’en continue pas moins à bander. Il a encore envie de moi. Dans l’obscurité il se remet à limer dans mon cul et à me couvrir le cou de baisers. Je sens son cœur battre contre mon dos et son souffle dans mon cou. Karim a repris son rythme d’enfer dans mes intérieurs et j’aime sentir sa bite toute raide toute dure me taper dans le fondement.
Alors que Karim me suce le cou, j’entends la porte du vestibule s’ouvrir. On entre. Karim d’un mouvement rapide se dégage de mon cul, remonte son short sur ses reins. En short, en t-shirt, les pieds dans leur basket Karim est présentable, moi je suis tout nu !
La lumière s’allume, la porte du local s’ouvre. C’est le vigile ! Il a dû voir notre petit jeu par la caméra de sécurité. En tout cas il se montre particulièrement intéressé de me prendre, si j’en juge à la grosse bite raide et baveuse qui sort de son pantalon. Karim sourit. Le vigile, un intérimaire Congolais au teint noir bleu, fort, grand et très bien monté va pouvoir se payer du bon temps avec moi.
Tout sourire l’homme me flatte la croupe d’une main et d’une autre tape la droite de Karim qui lui dit :
– Mets-le !
Je ressens soudain une forte excitation de devenir un sorte d’objet d’échange entre mon Karim et le vigile. Celui-ci montre un plaisir non feint de profiter de l’aubaine. Et il s’ensuit une baise fort agréable.
Le vigile est doté d’une belle bite, bien dure, un peu arquée et surtout d’une grosseur peu commune. Il me tape sur les fesses avec sa bite, joue entre mes fesses et pointe son gros gland contre mon anus mignon. Ma petite rondelle cède facilement et, à ma grande surprise, épouse souplement la grosseur du cylindre. Le vigile prend entièrement possession de moi et grogne de satisfaction. J’ai le rectum tout envahi. Les couilles velues de mon enculeur caressent les miennes. Il est tout en moi. Je n’aurais pas cru pouvoir prendre une telle bite avec autant de plaisir.
– Tu es un vrai enculé, me dit Karim à l’oreille. Je t’adore…
Le vigile se met alors à me taper dans le cul de plus en plus vite et fort. Son souffle est court, sa respiration vive. Et à côté Karim se branle, fou du plaisir de me voir supporter les assauts vigoureux du vigile. Penché sur la poubelle, complètement offert au plaisir du vigile je me branle par en-dessous. Trop excité pour me retenir, je sens venir le point de non-retour, l’envie de tout lâcher et, en poussant un cri de plaisir, en tremblant sur place, je jute.
Comme mon plaisir m’électrise, j’ai le cul qui palpite autour du gros sexe qui le lime. Cette secousse, ce massage intérieur vient à bout du vigile qui en grognant jouit à son tour. Bien au fond de mon cul, il décharge en s’écroulant lourdement sur mon dos. Il a pris un pied royal et me tape les fesses de satisfaction. Se tournant vers Karim, le vigile dit alors :
– Tu es génial ! J’adore tes fantasmes…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!