La Vie Érotique De Cev
Cela faisait si longtemps que jattendais ce moment là. Si longtemps que je voulais te tenir dans mes bras. Te sentir, te toucher, te caresser. Me laisser aller à toutes mes envies et répondre aux tiennes.
Léloignement mavait fait languir et ses retrouvailles nen sont que meilleures.
Je peux enfin sentir ta peau sous ma main. Sentir la chaleur de ton corps.
Mes lèvres redécouvrent tout dabord ton cou, le haut de tes épaules, et ma langue te fait frissonner quand elle sattarde sur ta nuque. Tu réagis, tu fermes les yeux et tes mains dans mes cheveux me font comprendre que tu aimes cela.
Nos lèvres se cherchent, se trouvent et nos langues sentremêlent. Jaime cela, ces baisers fougueux ou nos salives se mélangent. Ta langue chaude pénètre au plus profond de ma bouche. Sentir ta respiration, fermer les yeux et jouer avec tes lèvres, ta langue. Parfois tendrement, parfois avec envie. Je te mords tendrement, je taspire.
Tes mains cherchent les boutons de ma chemise. Tes gestes sont précis, rapides et tes doigts ont vite fait de pouvoir parcourir mon dos, mes épaules, mon torse. Tu joues avec tes ongles, tu me pince avec délicatesse et je te déshabille à mon tour. Je veux pouvoir moccuper de toi sans aucune entrave. Tu te retrouves totalement nue devant moi et jai toujours le même plaisir à te regarder.
Mes mains se promènent sur ton corps, elles sattardent sur ton dos et je ne peux mempêcher de descendre vers tes fesses. Je les touche avec légèreté, puis avec plus de conviction. Jaime ça, quand mes doigts passent lentement sur ta peau douce, quand ils effleurent le sillon qui les séparent.
Je remonte alors vers tes seins en passant par tes hanches et je moccupe enfin deux. Ils sont beaux, fermes et je joue avec. Tu as pour moi un magnifique décolleté quand tu es habillée et je prends un malin plaisir à être le seul à pouvoir les toucher, les embrasser. Tes mamelons rétractés sont toujours un jeu pour moi.
Tes mains soccupent de moi. Elles ont vite fait de descendre vers mon sexe. Tu le touches, le caresses. Cest un vrai plaisir pour moi.
Tu joues avec mes bourses, avec ma queue. Tu fais des mouvements de va et vient, tout doucement. Tu effleures mon gland, sans serrer. Cest un régal. Je te serre de plus en plus fort contre moi. Je tembrasse avec passion, la bouche grande ouverte. Je veux ta langue au plus profond de moi.
Nous nous allongeons alors tout les deux. Toi sur le dos, et moi prés de toi, sur le côté. Je me mets à genou, jambes écartées. Ta main continue de me caresser le sexe, les couilles. Puis tu viens tendrement passer ta main entre mes fesses. Tu caresses mon petit trou, juste à lextérieur. Cest divin.
Pendant ce temps, mes doigts partent à la découverte de ton entre-jambes. Ils écartent tes jambes pour mieux pouvoir sy promener. Je caresse lentement ton sexe en prenant soin déviter ton clitoris. Je moccupe dabord de tes grandes lèvres. Elles sont serrées au départ, puis après quelques secondes, elles souvrent à moi en général. Moment que japprécie car elles sécartent quasiment toutes seules et je sais alors que ton excitation monte. Elles me laissent le passage et je passe mon doigt entre, et le fait de sentir que tu commences à mouiller est un vrai aphrodisiaque. Ton sexe shumidifie assez vite et je le sens alors gonfler sous mes doigts. Ton clitoris lui aussi se gorge de sang quand je viens le caresser avec mon doigt mouillé. Il gonfle et sort petit à petit de son capuchon. Ce moment où je sens ton sexe se mouiller et se gonfler ainsi ne me donne quune envie est daller un peu plus loin. Et cest ce que je fais.
Pendant que je continue de moccuper de ton clitoris, tu me fais coucher sur le côté. Tu veux toi aussi pouvoir toccuper de moi. Tu me diriges lentement afin que tu puisses caresser mon sexe avec ta langue. Au début, seulement avec ta langue. Tu remontes tout le long de mon sexe, tu mouilles mon gland de ta salive. Et ce nest quensuite que tu viens le prendre dans ta bouche. Je ne sais pas si tu fais cela par plaisir ou pour me faire plaisir, mais le résultat est là. Tu le fais divinement bien.
Je me couche sur le dos en abandonnant ton sexe. Tu me dis de profiter. Et là, cest le bonheur. Quand je te regarde me sucer, les yeux fermés ou au contraire me fixant du regard. Quand tu mouilles bien mon sexe de ta salive et que tu montes et descend en le serrant à peine de tes lèvres, en le touchant juste, en essayant de le prendre au plus profond de ta bouche. Sans les mains. Quand je regarde ce spectacle, ton visage et que tes doigts me caressent les bourses, lentre-jambe, quils passent doucement entre mes fesses, effleurant juste mon petit trou alors cest tout simplement magnifique comme sensation. Cest sexuellement parfait, enivrant, excitant au plus haut point.
Tu vas alors plus loin. Avec détermination tu relèves mes jambes, tu les écartes et tu diriges ta bouche vers mon petit trou.
Je profite alors de ta bouche et de ta langue pendant quelques minutes. Je ne pense quà moi, à mon plaisir. Ces moments sont fabuleux et je ne peux pas me retenir de le dire, voir de le crier. Continue, « mon dieu que cest bon, cest trop bon ». Jai envie de hurler.
Mais lenvie de moccuper de toi est plus forte.
Je te remonte vers moi, je tembrasse à pleine bouche. Jembrasse ta langue qui a encore le gout de mon sexe, de mon cul et je te couche à nouveau sur le dos.
Je te mets au bord du lit. Tes jambes fléchies, écartées et moi à genou face à ton sexe. Jadore le regarder, lembrasser. Tout dabord du bout des lèvres, puis le bout de ma langue vient effleurer tes grandes lèvres, ton clitoris. Je le mouille bien de salive et je le lèche. Ma langue se promène tout autour et fini par sinsinuer à lintérieur. Cest un grand moment de plaisir pour moi, mettre ma langue au plus profond, lécher, gouter, boire, sentir que ça coule. Le bonheur. Jadore ce gout, sentir que ton sexe souvre à moi, à ma langue. Ce nest quaprès que je pose entièrement ma bouche. Grande ouverte, je te suce littéralement. Je caresse de plus en plus vite et de plus en plus fort ton clitoris avec toute la longueur de ma langue. Tout est trempe, humide et tu te cambres de nouveau. Tu gémis et ta main vient tenir ma tête car tu veux que je continue. Tu me le dis, suce-moi, lèche-moi, surtout ne tarrête pas, cest trop bon. Tu dis adorer ma langue, adorer quand je te suce. Alors je continue. Je ralentis parfois, effleure juste ton clitoris, et je repars de nouveau. Je savoure. Je joue un peu à te faire languir.
Je retourne alors te sucer et jintroduis un doigt dans ton sexe, puis deux.
Je caresse tout doucement la partie arrière de ton vagin, tu gémis. Je joue à bouger mes doigts dans tous les sens et tu as lair dapprécier. Ton vagin se dilate, il me laisse la place.
Puis mes doigts se dirigent vers lavant. Vers cette zone qui pour le moment est peu perceptible. Je fais des mouvements de va et vient de plus en plus forts, de plus en plus grands et de plus en plus profond. Des mouvements comme « vient par ici », et le résultat ne se fait pas attendre. Au bout de quelques minutes, le petit renflement avec lequel jadore jouer apparaît. Il gonfle tel une éponge. Je le caresse de plus en plus fort, il gonfle de plus en plus. Tu me dis alors « doucement ». Pardon, difficile pour moi de résister car ensuite je sais ce qui va arriver, cela va véritablement couler sur mes doigts et cest ce qui se produit. Ton sexe dégouline et tu me le dis « regarde comme je suis mouillée, je suis trempée ». Et tout mes sens en profitent, le gout, la vue, lodeur. Quel plaisir pour moi.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, tu serres fortement les jambes, tu me dis stop. Arrête toi ou je vas craquer. Non, pas encore, je veux te faire tellement de choses encore. Profiter de ces minutes de plaisir, déchange et de partage avec toi.
Alors je me redresse. Je viens de nouveau tembrasser longuement. On partage alors le gout de ton sexe.
Tu en profite pour me caresser le torse, me serrer fortement contre toi. Tes mains se dirigent alors vers mes tétons. Tu les caresses de plus en plus fortement. Tu finis alors par me les pincer, de plus en plus fort. Le mélange de la douleur légère que cela me procure et le plaisir que cela mentraine est flou. Loscillation entre plaisir et douleur est agréable. Le passage de lun à lautre en quelques millisecondes est excitant. Le fait de totalement me confier à toi, de te demander de me faire mal et que tu acceptes me montre chaque fois combien nous sommes fait lun pour lautre. Accepter de faire mal à lautre pour son plaisir. Tu remplaces alors une de tes mains par ta bouche, tes dents. La douleur légère est agréable là aussi. Je sais que tu niras pas trop loin. Stop, jai un mouvement de recul. Surtout, je te dis de ne pas ten vouloir. Le but du jeu est de trouver la limite. Je ne suis pas masochiste même si je sais que demain mes mamelons me rappelleront surement ce moment de bonheur avec toi. Tu osais moins auparavant mais tu sais maintenant que pour moi rien nest honteux ou humiliant quand il sagit de sexe entre nous deux.
Je moccupe alors de nouveau de ton corps. Des caresses, des baisers. Te lécher, partout, des pieds aux lobes de tes oreilles. Je te murmure combien je prends du plaisir. Tu me réponds alors « lèche moi, je veux sentir ta langue ». Et nous passons quelques minutes a soccuper lun de lautre simultanément. Tu me suces, je te lèche. Nos jeux de langues nous font gémir, bouger, se cambrer lun et lautre. Chacun de nous pense à lautre.
Tu marrêtes et me pousse à me coucher sur le dos. Tu viens au dessus de moi et te place à califourchon. Non pas à genou mais sur les pieds, jambes repliées. Tu prends mon sexe et tu lintroduis délicatement dans le tien. Serré au début, ton vagin maccueille très rapidement. Tu fais tout dabord des mouvements lents et je sais déjà que cela va être terrible pour moi. Comment résister dans cette position. Mon sexe est immédiatement aspiré par le tien et chaque mouvement lintroduit au plus profond de toi. Tu mets tes mains derrière ma nuque pour te tenir, tantôt tu fermes les yeux, tantôt tu me fixes du regard en souriant. Je sais ce que tu penses : « difficile de résister non ? Regarde, je peux te faire jouir quand je veux ». Je sais que tu aimes ça. Que tu en profites.
La vue de tes seins devant moi, ton regard, la sensation de mon sexe totalement entouré par le tien dans ces mouvements de va et vient. Cela me coule dessus, sur mon sexe, sur mes bourses : stop, arrête ou je craque. Tu ne bouge plus et tu me regardes en souriant. Fière et amusée. « Tu nen peux plus, déjà ? ».
Tu recommences alors plusieurs fois jusquà ce que je te dise ne plus en pouvoir. Je prends alors les commandes et te couche sur le lit.
Nos langues se cherchent, se trouvent. Mes doigts vont sintroduire directement dans ton sexe. Sans détour. Et je commence à te caresser à lintérieur. Je reprends ces mouvements qui te font gonfler, mouiller. Mes gestes sont de plus en plus appuyés. Je te caresse le vagin avec tellement de conviction que tes fesses décollent du lit. Je ne veux pas te faire mal, mais tu gémis, tu me donnes lair dapprécier. Le bruit de mes caresses est excitant. Ce bruit de sexe humide. Et ça gonfle sur mes doigts, de plus en plus. Et comme certaines fois, jai limpression que tu lâches prise, que tu ne te retiens pas et ça coule, ça gicle dans ma main, tellement que je te dis à loreille « jai limpression que tu me pisses dessus ». Cest pour moi une sensation très grisante, excitante au plus haut point. Un fantasme.
Mais tu marrêtes. Cest trop bon et si tu veux que ca dure.
Tu me regardes et me demandes comment je veux continuer.
« Tu veux menculer ? ». Rien que la phrase est magnifique pour moi. Sentir que notre connivence dans la vie de tous les jours, dans le sexe, te permets enfin de me parler ainsi, de te lâcher. De faire en sorte quil ny ait plus aucun tabou entre-nous. Et tu connais déjà ma réponse. Tu sais combien japprécie cela. Non pas que je veuille cela à chaque fois, loin de là, mais parce que je sais la confiance en moi quil te faut pour me loffrir. En tout cas cest lidée que je men fais. La confiance pour touvrir à moi, savoir que je serai doux, attentionné. La confiance pour briser ces tabous, pour te laisser totalement aller.
Je mouille alors mon doigt et je lintroduis lentement dans ton petit trou. Cest déjà très plaisant. Je te sens te laisser aller. Tu as confiance.
Tu es sur le dos, jambes écartées et je mintroduis lentement. Sans lubrifiant, tout est tellement humide. Tu me dis « doucement », mais je sais que tu as confiance. Pourquoi voudrais-je te faire mal ?. La pression se fait plus forte et tu laisses mon gland sintroduire. Cest un vrai moment de plaisir pour moi . Sentir que tu touvres complètement à moi. Que tu me laisses mintroduire dans ton intimité. Jaime sentir mon sexe serré dans ton petit trou. Sentir que petit à petit tu te détends et que tu me laisse aller de plus en plus profondément. Tes mains prennent mes fesse et tu me guides à aller plus loin, plus profond en toi. Quel bonheur. « Viens à fond, je veux te sentir ». Tes mots mexcitent au plus haut point. Mes mouvements saccélèrent, sont de plus en plus amples, tout en essayant dêtre le plus doux possible. Surtout, que le plaisir soit partagé.
Je te demande alors de te tourner. Tu es de dos devant moi, et je peux alors regarder tes fesses ; mieux les écarter pour my introduire de nouveau.
La résistance est moindre. Tu me laisses pénétrer sans aucune résistance. Tout est mouillé, humide et chaud. Cest une sensation fabuleuse pour moi de sentir mon sexe à cet endroit là. Que du plaisir.
Je te demande si cela va et tu me réponds « Oh oui » entre deux soupirs. « Continue ».
Mes mains caressent tes cheveux, tes seins, tes mamelons. Puis je descends vers ton sexe.
Il est trempe, le lquide coule sur ma main au fur et à mesure que mes mouvements saccélèrent et que je viens de plus en plus profondément en toi. Mes doigts caressent ton clitoris, je te masturbe. Tu gémis, tu me dis « si tu continues je vais craquer ». Alors je continue. Le plaisir monte en moi. Je ne cesse de me retenir.
Mes doigts sont mouillés et je continue. Je caresse ton sexe de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Le mien est au plus profond de toi, les frissons montent de plus en plus, je sais que je ne vais pas pouvoir résister.
Je viens en toi de plus en plus fort et tu as lair dy prendre du plaisir.
Je tentends alors me dire « viens, cest trop bon ». Et tu gémis. De plus en plus fort, sans retenue. Et cest trop pour moi. Je sens les contractions de ton plaisir autour de mon sexe. Alors je me laisse aller. Je lâche prise et cest un vrai moment dextase. Quelques secondes seulement, mais elle nont aucun prix. Ces quelques secondes où plus rien nexiste en dehors de ton plaisir et du mien. Ces quelques secondes où je ne pense plus à rien, sauf à nous deux. Et à chaque fois la même question : comment autant de plaisir après tant dannées ? Elle me rend vraiment fou à ce point là ?
Nous nous prenons alors dans les bras. Sans un mot. Nous avons chaud tous les deux, on souffle un peu. La pression redescend comme tu dis.
La moindre de mes caresses te fait frissonner, devient presque désagréable. « no tocar » me dis tu.
Nous fermons les yeux, ensemble. Profiter de ces quelques secondes, de ces quelques minutes dextase en ce qui me concerne.
Profiter de la chance que jai. Du plaisir que tu mapportes, du plaisir que jai à te faire lamour, à te voir et à tattendre jouir dans mes bras.
Ta respiration ralentit. Tu sombres petit à petit et je prends du plaisir à te regarder tendormir. A técouter.
Nos corps sont lun contre lautre. Nous ne formons plus quun.
Après tant de plaisir, je ferme les yeux moi aussi. Je sais la chance que jai, alors je profite. Et je mendors à mon tour, heureux
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