Dans La Forêt, Aves Les Ouvriers
Mon père est à la tête d'une exploitation forestière : depuis une bonne année il exploite le filon du siècle : un beau massif dans les Pyrénées à deux pas de la maison. Il faut à peine 15 minutes, en voiture pour s'approcher du chantier. Depuis toujours mon père nourrit les ouvriers et donc leur porte ce qu'il faut. En principe, il est très occupé par son affaire. C'est normalement ma sur aînée qui va sur place.
Aujourd'hui, changement de programme : c'est à mon tour d'aller nourrir ces braves gens. Me voilà partie joyeuse de cette routine brisée. Je me surprends même à chantonner dans la voiture. J'ai oublié de faire pipi avant de partir. Obligée par l'urgence d'arrêter, je me déculotte pour être à l'aise. Mes fesses trouvent un petit air frais pendant que j'urine. Ça me met le feux au bas ventre. Si je n'étais pas si pressée, j'arrêterais bien un moment pour me masturber : je ne l'ai pas fait ce matin.
Ce sera pour une autre fois. Je continue mon chemin, la voiture force à certains passages montants. J'arrive enfin au chantier. Déjà les ouvriers sont à attendre la soupe. Diego, le chef de chantier qui me connaît depuis mon enfance vient m'embrasser comme toujours. Les autres se foutent de lui : embrasser la fille du patron, il fait le lèche pied. Les cons !!
Nous nous installons pour déjeuner. Tout ce passe bien, sauf un léger incident quand un jeune ouvrier se permet de me peloter de trop près. Je le remets à sa place. Mais c'est un peu pour la forme, si j'avais été seule j'aurais accepter qu'il aille plus loin, bien plus loin. J'ai toujours envie de jouir : il ne s'en doute pas. Quand tout le monde est parti dans son coin de forêt, je range le peu de chose et commence à partir. Moins de cent mètres plus loin, juste sur la gauche, un petit sentier. J'y enfourne la voiture, trouve l'endroit idéal pour me satisfaire. Je sors juste pour enlever ma culotte, dégager ma foufoune, pour me rasseoir confortablement sur le siège.
Je reste ainsi, mes doigts dans le ventre, la tête en arrière pour mieux profiter de ma masturbation. Il y a un détail que j'ai oublié : fermer la portière. C'est normal que je sente une main sur ma cuisse ? C'est ce jeune ouvrier qui me caresse. Prise dans le plaisir je me laisse faire quand il arrive sur mon anus. Il réveille en moi le besoin de sodomie que je n'arrive jamais à satisfaire sinon qu'avec un gode.
Il est jeune, bien gaulé, surtout il sait bien me masturber le cul. Il n'entre pas pour le moment, il se contente de caresser l'anus que j'ouvre un peu. Son doigt me fait du bien, surtout associé aux miens coincés dans le vagin. Il ne demande rien, pourtant je vois qu'il bande : je me dévoue avec mon autre main pour sortir sa queue. Elle me plaît bien, brosse comme j'aime, sans trop donc, longue, peut être un peu trop à mon goût. Je le branle non pas pour qu'il jouisse devant moi sur moi, non, pour le faire bander encore plus si possible.
Je n'ai plus le temps de le faire gonfler encore : je jouis devant lui sur ses doigts enfoncés maintenant dans le cul. Je digère mon orgasme avant de sortir cul nu. J'allais le prendre dans la bouche quand il se penche pour me sucer. A genoux devant moi, je lui offre mon sexe. Sa langue est très agile sur le bouton. Il va me faire encore jouir. Tant mieux, mais non, il arrête tout pour en se relevant me donner sa bite dans la bouche. A mon tour d'adorer son sexe : il a bon goût, il me donne envie d'avoir sa semence sur ma langue.
Pourtant j'arrête tout quand je le sens prêt à jouir. Je vais poser mes fesses sur le capot de la voiture. Il vient juste devant moi, m'embrasse longuement. Il entre deux doigts au fond de mon puits.
Lui reste stoïque, bandant toujours. Je suis prête à jouir encore quand je remarque juste derrière lui un autre ouvrier qui loin de regarder se découvre une belle bite plus grosse que celle de mon amant. J'ai brusquement envie d'une pénétration dans le cul tout en gardant celle qui me baise. Pourtant je n'ai jamais eu envie de double pénétration. Il fut dire que je n'ai jamais eu l'occasion de voir deux bites à la fois.
Le premier ne se doute pas de la présence de son copain. Je nous retourne pour le mettre lui contre la voiture, mes fesses libres sont pour l'autre qui en profite vite. J'écarte bien les fesses pour qu'il comprenne que je le veut. Je sens d'abord ses mains qui me caresse lentement les seins, puis descendent vers ma chatte pour y prendre de la cyprine. Il m'en met plein le cul. Libre maintenant, avec mon accord il pose le bout de sa queue sur l'anus. Il profite de mes mouvements de baise avec le premier pour entrer lentement : il écarte mes chairs plus que les autres (il est bien plus gros). Il me fait mal, c'est bon. Le meilleur est de sentir aller et venir deux pines dans mon ventre. Je sens que je vais crier de bonheur.
Mon premier amant me fait taire avec sa bouche et sa langue. Je me trouve ainsi entre deux queues, deux paires de mains, une bouche sur la mienne, un autre sur mon cou. Je me sens salope au possible. Je n'en ai même pas honte : ce n'est pas le moment de réfléchir à ce qui est normal ou pas : je jouis comme une damnée.
Je sens les deux pines gicler en même temps dans le ventre.
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