Nathalie Et Ses Collègues

Nathalie travaillait à cette époque dans un magasin de vente de cuisine aménagée qui faisait aussi du télémarketing pour obtenir des rendez-vous chez les gens afin que les commerciaux puissent aller directement établir les devis chez les futurs clients.
Il y avait une pièce dédiée à ce télémarketing à l’intérieur du magasin où des cuisines étaient exposées.
Dans cette pièce travaillaient plusieurs filles, dont ma femme, qui écumaient la région par secteur au téléphone.
Nathalie après plusieurs mois dans l’entreprise à évoluée et est devenue responsable de ce petit groupe de filles.
Les quatre jeunes commerciaux récupéraient auprès d’elle les adresses et les heures de rendez-vous décrochés au téléphone.
La journée ils étaient souvent au magasin pour s’occuper des clients qui passaient.
Ils devaient souvent se déplacer en fin de journée quand les gens étaient rentrés du travail.
Un jour, le responsable du magasin a proposé à ma femme d’accompagner un soir un commercial qui allait en rendez-vous chez des gens afin qu’elle voie un peu la technique de vente.
Elle se dit que cela pouvait peut-être lui apporter un petit plus dans ses arguments de prise de rendez-vous avec les clients.
Le Jeudi suivant alors qu’elle avait décrochée un rendez-vous vers vingt heures chez des clients pas trop loin, elle y est allée avec Patrick, un des vendeurs.
La visite chez les clients s’était conclue par une commande après une bonne heure de du commercial.
Nathalie avait mis ce jour-là un tailleur assez sobre dont la jupe, assez courte quand même, lui moulait bien les fesses.
Sur le chemin du retour Patrick qui conduisait, avait souvent le regard qui plongeait vers les cuisses de Nathalie dont le fait de s’assoir dans la voiture avait remonté sa jupe à la lisière de ses bas.
Il avait gardé la main sur le levier de vitesse et petit à petit l’approchait des cuisses de ma femme.
Il lui parlait en même temps, la complimentant sur sa tenue soft mais sexy et sur son comportement chez les clients.

Sa main glissait de plus en plus jusqu’à s’y poser carrément en commençant à la caresser.
Ils venaient d’arriver sur le parking du magasin, ou la voiture de ma femme était garé, situé dans une zone commerciale déserte à cette heure.
La main toujours sur les cuisses de ma femme, il a décroché sa ceinture de sécurité et s’est approché d’elle pour l’embrasser.
Il était mignon, sympa, elle se dit pourquoi pas et a aussi décroché sa ceinture pour s’avancer vers lui pour que leurs bouches se rejoignent et que leurs langues s’entremêlent.
Ils se sont embrassés et caressés pendant de longues minutes.
Nathalie avait posé sa main sur le sexe de Patrick au-dessus de son pantalon pour le libérer et faire jaillir ce beau membre bien bandé.
Elle a quitté la bouche de Patrick pour aller se poser sur cette bite bien raide qu’elle s’est aussitôt mise à sucer.
Il a allongé un peu son siège pour mieux apprécier la fellation qu’elle lui prodiguait.
Sa bouche allait et venait sur son braquemart en le branlant et en le léchant avec passion.
Sa langue s’enroulait autour de son gland et ses lèvres pulpeuses engloutissaient complètement son méat bien tendu.
Au bout d’une dizaine de minutes, il lui dit qu’il allait jouir, elle a alors sorti sa queue de sa bouche pour la poser sur son visage et l’a branlé jusqu’à ce qu’il libère par saccade un flot de sperme qui est venu s’écraser sur ses joues et dans ses cheveux.
« Merci » lui dit-il « Tu es très douée et ta bouche est excellente » « Quand tu veux on remet ça, si tu veux la prochaine fois je garderai les clés du magasin on y sera plus à l’aise »
« Pourquoi pas » répondit-elle.

Plusieurs semaines après, ils sont de nouveau allés à un rendez-vous client ensemble.
Cette fois-ci pas de vente mais une bonne accroche quand même.
Revenus sur le parking, munit des clés, ils sont entrés dans le magasin en prenant bien soin de refermer derrière eux.
Il y avait un petit canapé dans son bureau sur lequel ils se sont assis en s’embrassant.
Leurs langues entremêlées ils se déshabillaient mutuellement jetant leurs affaires sur le sol.
Lui n’avait plus que ses chaussettes quand ma femme, qui n’avait, elle, plus que son string, s’est agenouillée entre ses cuisses pour prendre son sexe bien dressé dans la bouche et le sucer goulument.
Quelques minutes après, ne voulant pas jouir avec sa bouche, il l’a relevé pour qu’elle se mette à genou dos à lui sur le canapé.
Il a attrapé un préservatif dans la poche de son pantalon puis s’est positionné derrière elle pour la pénétrer en écartant le string.
Une sensation de bien-être l’a envahie quand elle a senti cette bite entrer bien profondément dans son sexe humide d’excitation.
Il a commencé ses va et viens en prenant bien soin de s’enfoncer très loin en elle à chaque coup de rein.
Elle sentait sa jouissance monter doucement.
Voyant qu’elle allait prendre du plaisir, il a accéléré ses coups de boutoir jusqu’à ce qu’elle libère un orgasme puissant et bruyant.
Il a continué de la tarauder pendant une bonne vingtaine de minute la faisant décoller plusieurs fois.
A force de l’entendre jouir il n’a pu se retenir et s’est vidé en elle dans un grognement de plaisir pendant qu’un feulement de plaisir sortait de la bouche de ma femme.

Patrick n’avait pas pu s’empêcher de raconter ses exploits avec ma femme à ses trois autres collègues, il s’était bien sûr abstenu d’en parler à son patron.
Sachant qu’il était beau parleur et qu’il avait tendance à enjoliver les choses, ses camarades était persuadés que c’était encore un de ses fantasmes, d’autant plus que rien ne transparaissait quant à l’attitude de Nathalie par rapport à lui.
Il lui proposait au moins une fois par semaine qu’elle vienne avec lui chez les clients mais Nathalie ne voulait pas que ce soit systématique et n’acceptait que de temps en temps.
Bien sûr à chaque fois qu’ils rentraient, ils s’arrêtaient au magasin et passaient une petite heure à baiser.
Un soir qu’elle avait accepté de venir avec lui, elle lui proposa, plutôt que de s’arrêtait au magasin, de venir à la maison car j’étais en déplacement et ne rentrait pas ce soir-là.
Il a accepté et lui a demandé plusieurs fois si c’était sûr que je ne rentrais pas.
« Mais oui ne t’inquiète pas, il m’a appelé tout à l’heure, il venait d’arriver à son hôtel à Lyon. De plus il n’est pas jaloux et me fait confiance »
« Ah ah » dit-il en riant « S’il savait qu’il est cocu depuis pas mal de temps et que ce soir il y aura un autre mec dans son lit, il te ferait moins confiance »
Arrivé à la maison, ma femme lui a servi un verre puis lui a dit qu’elle allait prendre une douche et se mettre plus à l’aise.
Il lui a demandé s’il pouvait lui aussi en prendre une.
La douche étant petite ils ne pouvaient la prendre ensemble et donc y sont allés l’un après l’autre.
Nathalie avait enfilé une surchemise descendant au ras des fesses et dont elle avait juste fermé les deux boutons du bas, en attendant que Patrick sorte elle s’était aussi servi un verre et s’était installé dans le canapé.
Patrick est sorti nu de la salle de bain et est venu s’assoir à côté de ma femme, ils ont bu quelques gorgées puis sont montés dans la chambre.
La vue des fesses de Nathalie l’ayant précédé dans l’escalier, a déclenché chez Patrick une belle érection.
Une fois dans la chambre, toujours debout, ils se sont embrassés et caressés pendant plusieurs minutes.
Nathalie l’a ensuite fait assoir sur le lit et s’est installée à genou entre ses cuisses pour faire coulisser entre ses lèvres pulpeuses cette belle bite bien raide.
Elle l’a complètement engloutie puis l’a ensuite sortie de sa bouche pour la branler et la lécher, sa langue s’enroulait autour de son gland pendant que sa main le branlait, elle lui titillait la base du gland puis le reprenait en bouche, elle descendait sa langue le long de sa hampe pour aller lui gober les couilles en lui aspirant, puis remontait pour s’attaquer de nouveau à son gland.
Elle lui a infligé ce traitement pendant de longues minutes, s’arrêtant quelques secondes lorsqu’elle le sentait au bord de l’explosion pour reprendre de plus belle sa fellation.
« Je vais jouir » lui dit-il.
Elle l’a alors de nouveau englouti dans sa bouche en continuant de le branler d’une main et de lui masser les couilles de l’autre.
Voyant qu’elle voulait le faire jouir ainsi, il s’est laissé aller et lui a envoyé plusieurs giclées de sperme au fond de la gorge, qu’elle a avalée en le regardant bien dans les yeux et en prenant son air le plus salope lorsqu’elle a aspiré les dernières goutes qui sortaient de son gland.
Elle s’est levée pour descendre chercher leurs verres qu’ils ont fini tranquillement assis l’un à côté de l’autre sur le lit.
Patrick a alors doucement allongé ma femme en lui détachant puis en lui ôtant sa surchemise pour la laisser complétement nu.
Il s’est couché près d’elle pour l’embrasser et la caresser, ses mains se baladaient partout sur son corps, leurs langues se mélangeaient avec fougue.
Il l’a chevauché puis a fait courir sa bouche dans son cou en l’embrassant tendrement puis est descendu doucement vers sa poitrine pour lécher et embrasser ses seins, titillant les pointes qui se sont érigées aussitôt.
Il a ensuite continué l’exploration de son corps avec sa bouche en descendant vers le ventre pour jouer avec son nombril puis pour finir, a plongé sa tête entre ses cuisses pour lui lécher le bord des lèvres et lui aspirer le clito.
Nathalie était maintenant dans un état second, le traitement qu’il lui faisait subir l’avait excité au plus haut point, tant et si bien que lorsqu’il a enfin enfoncé sa langue dans son sexe pour commencer à la fouiller, elle lui a exploser dans la bouche en criant sa jouissance.
Sa langue a continué l’exploration du sexe de ma femme, lui aspirant les lèvres et le clito puis entrant à nouveau profondément en elle.
Nathalie dégoulinait de cyprine qu’il léchait et buvait avec excitation, il la mangeait avec passion, promenant sa langue partout sur elle et en elle.
Un nouvel orgasme l’a submergé peu de temps après.
Le membre de Patrick avait repris une grande forme, il s’est levé pour prendre et enfiler une capote puis s’est allongé sur ma femme pour la pénétrer d’un grand coup de rein, terriblement excité il la pilonnait avec fougue, chaque coup de rein qu’il lui donnait provoquait chez elle des petits cris et des grands soupirs de plaisir.
Il allait et venait maintenant en elle à un rythme effréné.
Ce sexe bien raide qui la pilonnait si fort lui a procuré un autre orgasme qu’elle a libéré en entourant très fort son amant du jour avec ses bras.
Voyant le visage de Nathalie qui jouissait sous ses coups de rein, Patrick n’a pas pu se retenir et a explosé en elle en lui plantant son dard bien au fond.
Après avoir repris leurs esprits, ma femme s’est levée puis elle est de nouveau descendue pour remplir leurs verres.
Ils se sont installés sur le lit et sont restés à discuter un long moment.
Tout en parlant, elle sentait que Patrick, qui, même s’il ne le disait pas commençait à avoir quelques sentiments pour elle.
Elle se dit alors que pour ce soir elle n’allait pas aborder ce sujet car elle voulait encore se faire baiser, mais qu’elle allait très vite lui faire comprendre d’une façon ou d’une autre que leur relation n’était que purement sexuelle et rien de plus.
Alors qu’ils étaient encore à discuter, ma femme a avancé ses mains vers la bite de Patrick pour le branler doucement et lui faire reprendre vigueur, ce qui n’a pas tardé.
Le sexe nouveau bien raide il a voulu reprendre Nathalie à la missionnaire.
« Viens me prendre par derrière » lui dit-elle en se mettant à quatre pattes « J’ai envie de te sentir me baiser bien fort »
La queue habillée d’un préservatif il est venu se planter en elle en levrette, ses mains avaient attrapé ses hanches et les serraient bien fort alors qu’il l’empalait bien à fond.
La vue des fesses qu’il avait sous les yeux lui a donné des idées et tout en continuant de la démonter, il a bien mouillé ses doigts pour commencer à titiller son anus.
Il s’insinuait petit à petit dans son cul alors qu’il la baiser vigoureusement.
Un peu réticente au début, il a suffi de deux orgasmes pour la faire céder et lui dire que s’il voulait l’enculer il devait au moins mettre un peu de gel pour que sa bite rentre plus facilement.
L’anus de Nathalie bien enduit de lubrifiant, il a présenté son membre à l’entrée pour pénétrer son fondement tout doucement jusqu’à ce qu’il soit bien ancré en elle, puis a commencé des va et viens.
Il était terriblement excité par le fait de sodomiser sa collègue, ses coups de rein devenait bestiales et il émettait des grognements sourds à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle.
Quelques minutes ont suffi pour qu’il n’en puisse plus et éjacule dans ses entrailles en s’affalant sur elle.
Après avoir repris leur souffle ils ont décidé de dormir un peu.

Dans le courant de la nuit ils ont à nouveau joui à l’unisson alors qu’il la prenant sur le côté.
Nathalie avait néanmoins vérifié avant qu’il la pénètre qu’il avait bien mis un préservatif.

Le lendemain matin, après qu’ils aient pris une bonne douche et bu un café, Nathalie l’a poussé sur le canapé avant qu’il ne s’habille pour lui prodiguait une superbe fellation et qu’il se vide dans sa bouche.

Un soir un pot était prévu au magasin et les conjoints du personnel étaient aussi invités.
Nathalie a réussi à me convaincre de l’accompagner.
Elle était vêtue ce soir là d’une jupe plus courte que lorsqu’elle venait travailler et d’un corsage avec un décolleté plus profond.
Le directeur du magasin était venu avec son épouse et deux ou trois autres filles étaient aussi accompagnées.
Seuls les quatre commerciaux n’avaient pas emmené leurs femmes ou copine du moment.

Champagne, petits fours, nous passions un bon moment avec une bonne ambiance.
Petit à petit au fur et à mesure que la soirée s’avançait, les gens commençaient à partir.
Il ne restait plus que les quatre commerciaux, ma femme et moi.
Patrick pour prouver aux trois autres qu’il se tapait ma femme avait, plutôt dans l’après-midi, fait un pari avec eux.
Il avait parié que pendant cette soirée il allait trouver le moyen de se faire sucer par Nathalie ou de la baiser alors que j’étais présent dans les locaux.
« Vous n’aurez qu’a bien faire attention quand je m’éclipserais avec elle » leur avait-il dit.
Et donc, alors que nous étions tous les six à discuter en continuant à boire du champagne, s’adressant à ma femme Patrick dit :
« Au fait, vu que je ne serais pas là pendant quelques jours, il faut que je te montre avant de partir comment faire avec les dossiers clients en cours et ce qu’il faut préparer »
Puis s’adressant à moi :
« Je peux vous l’enlever un petit quart d’heure ? »
Je lui fis signe oui, alors que Nathalie un peu surprise se demandait ce qu’il était en train de préparer car elle n’était pas au courant de ce qu’il venait de dire.
Il l’a entrainé jusqu’à son bureau qui se trouvait dans un renfoncement du couloir et qui n’était pas visible d’où l’on se trouvait.
Il a fait entrer ma femme, a fermé la porte vitrée derrière lui, puis est aller vers son fauteuil en faisant tomber son pantalon et son caleçon à ses pieds avant de s’assoir.
« J’ai trop envi que tu me suce » lui dit-il la bite déjà en érection.
Hésitant un peu, elle s’est dit après tout pourquoi pas, la situation peut être excitante.
Il s’est tourné vers elle pour qu’elle ait la place de se mettre à genou entre ses cuisses.
Elle a embouché cette belle bite qui l’avait déjà baisé plusieurs fois auparavant.
Elle l’a sucé goulument, s’appliquant à bien passer sa langue partout sur son sexe et ses couilles.

Jérémy, un des trois commerciaux restés avec moi, s’est éclipsé doucement pour se diriger vers le bureau de Patrick.
A bout du couloir arrivé devant la porte vitrée, il avait maintenant la preuve que Patrick disait vrai.
Nathalie, légèrement de biais par rapport à la porte, était à genou devant son collègue et s’appliquait à lui faire une pipe.
« La salope » se dit-il « Elle a l’air d’être doué en plus »
Il est resté à les regarder tout pendant qu’elle suçait Patrick.
Ce dernier ayant aperçu Jérémy qui les matait lui a fait un signe pouce levé pour lui faire comprendre qu’il avait gagné son pari.
Jérémy n’en revenait pas et est resté jusqu’au bout de la fellation de ma femme sur Patrick.
Dix bonnes minutes de jeux de langue, d’aspiration et de léchage du sexe de son collègue.
Patrick s’est crispé à un moment puis, alors qu’il avait la bouche grande ouverte de plaisir, a plaqué la tête de ma femme sur son pubis pour décharger en elle pour ne la relâcher que lorsqu’elle eut tout avalée et qu’elle puisse le nettoyer de sa langue agile.
Les laissant reprendre leurs esprits, Jérémy et revenu vers ses deux autres collègues.
J’étais parti entre temps aux toilettes juste à côté, et n’ayant pas complétement fermé la première porte alors que je me lavais les mains je l’ai entendu leurs dire :
« Putain vous ne devinerez jamais ce que je viens de voir »
« Vas-y raconte »
« Quand je suis arrivé devant le bureau de Pat, il était assis le pantalon au bas des pieds avec Nathalie entre ses cuisses qui lui faisait une pipe, la salope elle a l’air douée, en tout cas elle cachée bien son jeu » « Mais attendez, je vous raconte la suite, donc elle l’a sucé pendant un bon moment et quand il a joui, il lui a tout envoyé au fond de la gorge le salaud, et elle a tout avalée, elle lui a même nettoyer la bite après »
« Putain alors si tout ce qu’il nous a dit est vrai, ça doit être une sacrée chaudasse »
« Ouais en tout cas je me la taperai bien moi maintenant que je sais tout ça »
« Ouais moi aussi »
« Et moi donc, va falloir tenter notre chance les gars »
Quand je suis revenu, ils ont vite changé de conversation.
Nathalie et Patrick sont arrivés deux minutes plus tard comme si de rien n’était.
« Vous devez avoir une tite soif » leur dit Jérémy en lançant un clin d’œil à Patrick et en leurs donnant un verre de champagne.
Nous sommes restés encore une petite demi-heure puis sommes rentrés à la maison.
Sur le chemin du retour, elle m’a raconté ce que je savais déjà et moi je lui ai dit que les trois autres étaient bien chaud et qu’ils allaient certainement lui faire des propositions ou peut-être même essayer de la faire chanter.
« Trois d’un coup ce sera le deal » me dit-elle, « ce sera avec les trois en même temps ou pas du tout »
« Au moins ça leurs confirmera que tu es vraiment une salope »
« Oui » dit-elle en riant.

Elle devait quitter la société dans plusieurs semaines mais ne leur avait pas dit encore, donc en attendant elle voulait s’amuser un peu.

Trois jours plus tard alors que les trois commerciaux (Jérémy, Didier et Rodolphe) se trouvaient seuls avec Nathalie, l’un d’eux se lança et lui dit :
« Dis donc tu à l’air de bien t’amuser avec Patrick »
« Comment ça ? » répondit-elle.
« L’autre soir Jérem t’a vu dans le bureau avec Pat » « Pat nous avait raconté ce que vous faisiez ensemble mais on n’y croyait pas »
« Le salaud, il vous a tout raconté ? »
« Oui et avec les détails en plus » « ça nous filait la gaule ses histoires » « et maintenant qu’on sait… nous aussi on aimerait bien… enfin … tu vois… »
« Oui je vois, vous voulez me sauter en fait »
« Bein j’avoue que ça nous plairait bien… vu ce que Pat nous disait… tu dois être un super coup »
Après un léger temps de réflexion.
« OK » dit-elle « OK mais les trois en même temps ou rien du tout »
« Tu ne tiendras jamais le coup avec trois mecs comme nous, on va te mettre sur les rotules ma jolie, tu nous supplieras d’arrêter »
« On verra » leur répondit-elle. « On fait ça où et quand, parce que chez moi c’est un peu petit »
« Chez moi c’est possible, je suis célibataire en ce moment » dit Rodolphe. « Lundi aprem, ça va pour tout le monde ? »

Nathalie et moi faisions beaucoup de rencontres ensemble le week-end à cette période, des hommes seuls, des couples ou parfois des gangs bang dont le nombre de participant varié entre 4 et 10 mecs suivant les groupes.
Je participais moins sur les gangs bang, je préférais filmer.
Elle avait donc un assez bon entrainement niveau sexe et ce n’était donc pas trois hommes d’un coup qui allaient lui faire peur.

Le rendez-vous fut donc pris pour le Lundi après-midi suivant.

Ils étaient déjà tous les trois là quand Nathalie est arrivée, escarpin, bas noir, mini-jupe blanche et veste de tailleur noir, qu’elle a complétement déboutonnée en entrant et rien d’autre.
Rodolphe l’a accompagné jusqu’au canapé où attendaient les deux autres en buvant un café.
Ils se sont de suite levé pour lui faire la bise et lui permettre de s’assoir entre eux.
Rodolphe lui a apporté un café et s’est installé en face sur un fauteuil.
Pendant qu’ils buvaient leur café et discutaient, Jérémy et Didier ont posé une main sur chaque cuisse de ma femme, ce qui lui fît les écarter un peu et permit à Rodolphe de bien distinguer qu’aucun sous-vêtement ne venait obstruer la vue qu’il avait maintenant de sa chatte.
Ils n’ont pas tardé non plus à s’attaquer à ses gros seins lourds libre sous la veste.
Chacun leur tour, ils lui ont pris la bouche en mélangeant leur langue avec celle de ma femme.
Rodolphe se sentant un peu à l’écart a décidé de passer aux choses sérieuses, il a poussé la table basse, s’est agenouillé devant elle pour lui ôter sa mini-jupe puis, a passé ses jambes par-dessus ses épaules pour enfouir sa tête entre ses cuisses et aller la fouiller avec sa langue.
Les deux autres l’embrassaient et la caressaient partout, les lèvres, le cou, le visage, la bouche et les seins.
Elle était aux anges et a commencé à sentir rapidement des petits picotements annonciateurs de plaisir.
Elle s’affalait de plus en plus sur le canapé et sa position devenait inconfortable.
L’un deux dit alors :
« Si on allait dans la chambre, on serait plus à l’aise sur le lit »
Tous se sont levé pour y aller.
Ma femme s’est allongée sur le lit et chacun a repris sa position.
Se laissant complétement aller avec tout ces bisous et cette langue qui lui fouillait bien son intimité, son premier orgasme est arrivé très vite, excitant encore plus les trois compères.
Rodolphe s’est tourné pour s’allonger et après avoir enfilé une capote qu’il a sorti d’on ne sait où, a relevé ma femme en la faisant tournoyer pour qu’elle vienne s’assoir sur lui et s’empaler sur sa queue.
Des trois, c’est lui qui avait la plus grosse, elle était même d’une bonne taille, longue et large, celle de Jérémy était de taille moyenne et celle de Didier plus petite.
Quand Nathalie s’est empalée sur la bite de Rodolphe, elle l’a bien sentie la remplir.
Il a tout de suite attaqué de grands va et viens qui la pénétrait bien profondément, à chaque coup de rein elle allait à sa rencontre pour la sentir encore plus loin, il lui malaxait les seins en lui titillant les mamelons pendant qu’il la baisait.
Jérémy et Didier étaient debout sur le lit de chaque côté de ma femme pour qu’elle les suce, une main sur chaque queue, elle les portait à sa bouche l’un après l’autre, réussissant même à les prendre en même temps elle passait sa langue d’un gland à l’autre en les aspirant.
Elle les branlait en les frottant contre ses joues puis allait les engloutir complétement.
Lorsqu’elle a joui sous les coups de boutoir de Rodolphe, elle s’est déchainée sur les deux queues qu’elle suçait en les masturbant encore plus fort.
Voyant son visage transformé par le plaisir qu’elle prenait alors qu’elle avait un orgasme, ils l’ont, en cœur, éclaboussé de leur sperme.
Dans la bouche, sur la langue, sur les joues et les cheveux, elle en avait partout.
Ils ont vite attrapé un kleenex pour l’essuyer avant que ça ne dégouline sur le torse de Rodolphe qui, au bord de la jouissance, continuait à la démonter sauvagement, la projetant presque à chaque coup de rein.
Dans un ultime coup de boutoir il a explosé en elle.
Sentant les soubresauts de sa bite à chaque saccade quand il se déversait en elle, un nouvel orgasme l’a submergée la faisant crier de plaisir.
Nathalie est allée prendre une douche pour se nettoyer des traces de sperme qu’elle avait, pendant qu’ils se remettaient de leurs émotions.
Revenue toute fraiche près d’eux, ils ont aussitôt recommencé à la caresser, leurs mains courraient partout sur son corps, des doigts se faufilaient dans sa bouche et dans son sexe, d’autres lui titillant l’anus, elle était bien et se laissait faire complétement.
Les mâles avaient repris de la vigueur et sachant qu’avec trois queues ils allaient obligatoirement vouloir l’enculer, elle a décidé de prendre les choses en main et de les diriger.
Jérémy s’est donc retrouvé allongé avec ma femme le chevauchant, Rodolphe dans sa bouche et Didier pouvait de cette façon la sodomiser après avoir enduit son anus de gel.
Bien évidemment, elle avait pris soin de tous leur enfiler une capote.
Trouver le bon rythme a été le plus dur, n’étant pas habitué à la pluralité masculine ils ont eu beaucoup de mal à se synchroniser.
Nathalie les a guidés jusqu’à ce qu’ils s’accordent parfaitement.
Sentir ces trois queues en elle l’excitait énormément et une fois le rythme de croisière enfin trouvé, elle a pu se lâcher et prendre du plaisir.
Plusieurs orgasmes se sont enchainés, la faisant crier à chaque fois.
L’entendre jouir ainsi décuplait leur excitation et ils s’enfonçaient en elle encore plus loin et plus sauvagement.
Jérémy et Didier ont inversés leur place alors que Rodolphe ne voulait pas quitter la bouche qui le suçait si bien.
« Putain, moi je reste dans sa bouche, elle suce trop bien, je ne vais pas tarder à tout balancer »
Le fait est que cinq minutes plus tard il s’est vidé au fond de sa gorge sans même lui demander son avis et en lui plaquant la tête contre son pubis pendant qu’il lui déchargeait une bonne dose de sperme.
Les deux autres continuaient à la besogner avec vigueur, leur excitation semblait être à son maximum car ils commençaient à la traiter de salope, à lui dire qu’elle était bonne et qu’ils adoraient baiser une chienne comme elle qui aimait autant la bite.
Elle aussi était très excitée par leurs queues qui la défonçait, continuant à jouir régulièrement et en leur disant de la baiser encore plus fort.
Après un ultime orgasme de ma femme, Jérémy et Didier ont à nouveau éjaculé en même temps libérant une nouvelle fois une flopée de mots crus.
En sueur, ils sont allés prendre une douche à tour de rôle.
Nathalie y étant allé en premier, s’est retrouvé à peine arrivée sur le lit, à quatre pattes avec la bite de Rodolphe bien calé en elle et qui commençait à la tarauder avec vigueur.
Il s’était accroché à ses hanches et la baiser copieusement, ce qui eut pour effet de la faire jouir à nouveau très vite.
Ses fesses allaient à la rencontre de la bite qui la démontait en lui faisant pousser des petits cris à chaque coup de rein.
Pendant un long moment il se sont accouplés ainsi.
Il est ensuite sorti de sa chatte et juste après avoir enduit son anus de lubrifiant, s’est enfoncé dedans doucement mais complétement avant de démarrer ses va et viens.
Nathalie avait l’impression que le fait de l’enculer avait fait gonfler encore plus sa queue, mais ça l’excitait néanmoins.
Deux doigts enfoncés dans sa chatte, elle se masturbait pendant qu’il la sodomisait.
Ils ont fini par jouir à l’unisson, lui dans un long grognement et elle avec un feulement de plaisir qui n’en finissait plus, sous les yeux des deux autres qui étaient revenu de la douche.
Rodolphe à son tour est allé se rafraichir pendant que ma femme allongée les bras en croix discutait avec les deux autres.
Une bonne demi-heure après, elle a de nouveau entrepris de les faire rebander.
C’était peine perdu pour Didier qui disait qu’il était vidé, alors que Jérémy et Rodolphe ont réussi à reprendre de la vigueur mais avec un peu plus de temps.
Debout devant elle, le sexe de nouveau bien raide, il se sont fait sucer pendant un bon moment.
La langue de Nathalie virevoltait d’un sexe à l’autre avec gourmandise, passant d’une hampe à un gland puis s’attaquant aux couilles pour revenir aspirer le gland et enrouler sa langue dessus.
Ses doigts coulissaient sur leurs sexes et les masturbaient avec vigueur et fermeté, elle les suçait les léchait les aspirait sans relâche.
Jérémy à succombé en premier libérant un petit jet de sperme sur la langue de ma femme qui après avoir tout avalé s’est occupé de procurer le même sort à Rodolphe.
Lorsque ce dernier à éjaculé, il a bloqué la tête de Nathalie pour tout lui envoyer au fond de la gorge, trop heureux de se vider une dernière fois en elle de cette façon.
Rincés et complétement vidés, les trois mecs se sont habillés.
Nathalie voyant qu’ils voulaient arrêter en a fait de même.

Avant de partir et en leur faisant la bise en se quittant, elle leur dit :
« Au fait qui est-ce qui est sur les rotules ? »