À L'Université
Cet après-midi, je me trouve à luniversité dans un bureau que je partage avec deux autres personnes. Nous travaillons tous pour le même professeur qui nous a embauchés pour lassister dans ses recherches. Après quelques heures de travail, mes deux collègues sont repartis chez eux, me laissant à peu près seul au dernier étage du pavillon. Il faut dire que la plupart des étudiants sont en vacances depuis la semaine dernière et ont donc déserté létablissement.
Je reçois alors un message texte de Monsieur qui me demande ce que je fais en ce moment. Sans hésiter, je lui dis que je travaille à luniversité.
- Tu es seule ?
- Oui, Monsieur. Tout le monde est parti.
Il mappelle et mordonne de le mettre sur haut-parleur. Aussitôt, sa voix chaude résonne dans la pièce.
- Et tu bandes, là ?
- Oui, Monsieur, depuis que vous avez écrit, je nai pas arrêté.
- Cest bien, ma belle. Tu as quelque chose que tu pourrais enfoncer dans ta chatte ?
- Euh, jai quelques surligneurs avec moi, Monsieur.
- Excellent. Maintenant, donne-moi le numéro de ton bureau.
Jhésite une seconde puis obéis et lui demande si je peux sortir ma queue qui me fait mal tellement est compressée dans mon string.
- Vas-y, mais interdiction de toucher à ta petite bite de caniche. Je vais cogner à ta porte dans quinze minutes et je veux que tu profites de ce temps-là pour te préparer la chatte. Je te veux bien ouverte quand jarriverai.
- Bien, Monsieur. Jai très hâte de vous voir, Monsieur.
- Ta gueule. Cest pas pour toi que je le fais. Jai besoin de me vider, cest tout.
Puis il raccroche.
Gravement excitée par les propos et la venue imminente de mon maître sur mon lieu de travail, je retire mes pantalons, écarte mon string pousse laisser sortir mon pénis bandé, et me couche sur mon bureau que jai débarrassé des feuilles et des livres qui le recouvraient. Je suce ensuite mon index et mon majeur avant de les plonger facilement dans mon cul qui na pas encore récupéré de ma saillie de la veille.
Une fois mon conduit bien préparé et lubrifié de salive, je saisis un surligneur vert que je lèche avant de lenfoncer dans mes entrailles. Bien vite, jajoute un rose puis un jaune, mais je nai pas limpression que ça suffira pour mon maître. Il ma dit quil me voulait « bien ouverte » et cest ce que je compte faire. Je vais donc chercher un autre surligneur sur le bureau dune de mes collègues et, après lavoir consciencieusement humecté de salive, je lajoute aux trois. Ah, voilà ! Maintenant, je me sens bien remplie et je sais que Monsieur sera fier de moi à son arrivée !
Dailleurs, jentends des pas dans le couloir et je reconnais sa démarche lourde mais décidée. On cogne à la porte. Je me lève pour ouvrir. Vêtu uniquement dun t-shirt et avec des surligneurs plein les fesses, il y a intérêt à ce que ce soit bien celui que jespère ! Jouvre la porte. Heureusement, cest bien lui ! Folle de joie, je résiste difficilement à lenvie de me jeter sur lui pour libérer sa queue de ses pantalons. Mais Monsieur ma bien dressée. Il ma bien fait comprendre que cétait à lui de prendre linitiative, ce qui est normal, car, après tout, ce sont ses désirs que je dois satisfaire et non lui les miens.
Dès quil me reconnaît, Monsieur me tend une microjupe noire sans rien dire. Surprise par cette attention, mais toujours obéissante, je retire mon t-shirt et enfile lentement le vêtement en tournant le dos à mon maître pour quil puisse bien profiter de mes petites fesses bombées doù émergent les surligneurs.
- Viens chercher ce que je tai apporté, ma petite
Gênée à lidée de sortir de mon bureau à peu près nue pour aller sucer un homme à la vue de nimporte qui qui emprunterait ce corridor, jhésite une seconde. Une seconde de trop. Monsieur hurle aussitôt :
- Quest-ce que tu attends, sale chienne, tu veux que je men aille, cest ça ? Tu crois que je suis venu ici pour me faire dire non ? Viens ici et vite !
Paniquée à lidée davoir déplu à mon maître et que son cri ait alerté quelquun, je mempresse de me mettre à quatre pattes pour mapprocher de lui. Je ne peux mempêcher, au moment de franchir la porte, de jeter un coup dil de chaque côté pour être certaine que personne ne passe par ici. Puis jarrive au pied de Monsieur et, instinctivement, place mes mains dans mon dos comme si elles étaient attachées et colle ma tête contre son bas-ventre. Je peux voir et sentir son membre gonflé à travers le pantalon, ce qui me pousse à lécher le tissu et à essayer de gober le relief du gland. Satisfait de mes efforts et de mon enthousiasme, Monsieur me récompense en descendant sa braguette pour extraire difficilement sa queue presque complètement dure. Comme il ne ma donné aucune instruction en ce sens, je me retiens demboucher sa queue et me contente de continuer à me frotter contre lui en ronronnant de plaisir.
- Allez, suce-moi bien. On est à lécole, alors montre-moi ce que tu sais faire !
Pour une rare fois, Monsieur me laisse moccuper de sa bite à ma guise. Ses mains se contentent de me caresser la tête pendant que je lèche ses grosses noix et que je pompe sa belle queue bien dure qui, lorsque je la lâche, pointe fièrement vers le plafond.
- Cest bien, ma belle, ne tarrête pas. Oui, cest ça, vas-y, je sais que tu peux faire mieux encore.
Ces compliments sincères me font ronronner de plaisir et je macharne avec de plus en plus de vigueur quand, soudain, jentends un bruit de pas à lautre extrémité du couloir. Monsieur aussi semble lavoir entendu puisque, sans que son sexe ne quitte ma bouche, il inverse nos places. Je me retrouve alors assise sur le carrelage, dos plaqué au mur, cachée par le corps de mon maître qui continue à faire aller et venir son sexe lentement entre mes lèvres en regardant autour de lui.
- Cest bon, ne tarrête pas, il est parti de lautre côté. Tu sais, même si ça mexcite pas mal que quelquun puisse nous surprendre ici, jaimerais mieux que la sécurité ne nous poursuive pas dans les couloirs
Il y a des caméras, ici ?
- Non Monsieur, hhmmff, pas à cet étage.
- Parfait, dit-il en sortant mon collier et ma laisse de sa poche de pantalon pour me les attacher autour du cou. Suis-moi, petite chienne, on va se trouver un coin plus tranquille.
Croyant que nous irions dans mon bureau où Monsieur pourrait profiter de moi à sa guise, mimaginant déjà plaquée contre les grandes fenêtres du dernier étage tandis que la verge de mon Maître me labourerait les entrailles, je suis surprise lorsque devant moi Monsieur dépasse la porte de mon local et continue davancer dans le couloir. Résignée, je continue de progresser à quatre pattes derrière mon maître en espérant quil na pas lintention de me faire descendre les escaliers, à la fois parce que ce sera difficile dans cette position et parce quil y a plus chance de croiser des gens à létage inférieur.
- Reste, mordonne-t-il avant de pousser la porte de la salle de bain. Je lattends bien sagement à genou, mains à plat sur mes cuisses.
Quelques instants plus tard, il ressort, mannonce quil ny a personne et me fait avancer vers la cabine pour handicapés, plus spacieuse que les autres. Il me fait dabord entrer puis me suis à lintérieur.
- Sur la cuvette.
Une fois que je suis assise, Monsieur se débraguette nonchalamment, saisit mes cheveux à pleine main puis recommence son démolissage en règle de mes mâchoires et de ma gorge, insistant durement pour que javale lentièreté de son énorme queue, quitte à m à plusieurs reprises. Après quelques minutes de ce traitement brutal qui fait me perdre des litres de salive, mon Maître se retire enfin et me prend par le bras pour mettre dos à lui, penchée vers la toilette. Je maccroche aux tuyaux. Il relève ensuite ma minijupe et entreprend de me fesser de toutes ses forces du plat de la main.
- Compte, mais pas trop fort. Et serre fort pour ne pas échapper les surligneurs. Si tu en perds ne serait-ce quun, je tabandonne ici sans te baiser.
- Oui, Monsieur, bien sûr, Monsieur. UN ! Merci, Monsieur. DEUX ! Merci, Monsieur.
Après une vingtaine de claques sur mes fesses douloureuses, je tremble de tout mon corps tellement la douleur est intense, mais jai réussi à conserver tous les surligneurs dans mon cul jusquà ce que Monsieur me les enlève lui-même. Il écarte ensuite mes globes ultrasensibles, crache sur mon anus, ou ma chatte, comme il dit, et y enfonce sans prévenir deux doigts quil fait aller et venir sans la moindre douceur.
- Alors, ma petite, je vois que ton clitoris est bien bandé. Tu es en chaleur, cest ça ?
- Oh oui, Monsieur, jai tellement hâte de vous sentir en moi. Jai pensé à vous toute la journée (ce qui était vrai, dailleurs, et javais bandé plusieurs fois en imaginant ce que me ferait mon Maître tout en dissimulant mon excitation à mes collègues).
- À sentir ta chatte qui palpite autour de mes doigts, je nai pas de difficulté à te croire ! Tu vas voir comment je vais moccuper de toi, salope. Cest ça que tu es, une salope en manque qui va se faire défoncer dans les chiottes, hein ?
- Oh oui, Monsieur, je suis votre salope dévouée ! Vous savez que vous pouvez me prendre où vous voulez et quand vous voulez, Monsieur.
Lorsquil juge que je suis à la fois assez ouverte pour laccueillir et encore assez serrée pour bien comprimer sa queue, Monsieur sempresse de plonger profondément son membre viril dans mon trou damour. Comme à lhabitude, jai limpression quun éléphant écarte mes chairs. Les couilles de mon Maître viennent enfin sécraser contre mes fesses, signe que jai encore une fois réussi à accueillir son énorme sexe en moi. Comme forme de félicitation, Monsieur se met à me prendre avec vigueur en me rappelant à chaque coup de boutoir quelle bonne pute je suis. Quant à moi, je ne peux quagripper la plomberie humide et subir les assauts de mon mâle qui me fait gémir de plaisir. Rapidement, mes gémissements augmentent en intensité et sont sur le point de devenir des cris de jouissance.
- Ta gueule, grogne mon Maître en enfonçant ses doigts dans ma bouche. Tu vas ameuter tout limmeuble.
Loin de me calmer, cela décuple mon excitation et je ne peux mempêcher de roucouler puis de crier, inconsciente du danger dêtre entendue. Monsieur pousse alors sur mon dos pour me placer en levrette et, avant même que je puisse réagir, appuie sur le derrière de ma tête pour plonger celle-ci à lintérieur de la cuvette. Mon visage ainsi maintenu dans leau peu amène, Monsieur continue de me prendre sans sinquiéter de moi. Ma tête heurte les parois de la cuvette à chacun des violents coups de boutoir que je reçois et ma gorge est comprimée contre le rebord. De temps à autre, tout de même, Monsieur relève un peu ma tête pour que je puisse reprendre un peu dair et finit, après plusieurs minutes, par se retirer et me laisser reprendre mon souffle hors de la cuvette. Mes cheveux mouillés plaqués contre mon visage, je dois faire peine à voir et je me sens K-O, mais, quand je pose mon regard sur la bite de mon Maître qui se tient debout près de moi, je sens à nouveau une onde de désir menvahir.
- Tu as eu ta leçon ? Tu vas fermer ta gueule ?
- Oui, Monsieur, pardonnez-moi. Mais vous me faites tellement
- Oui, oui, je sais. Ta gueule et viens tasseoir sur moi. Je suis un peu fatigué alors tu vas tempaler toute seule, mordonne-t-il en sasseyant sur la toilette, son dard pointé vers le ciel comme une offrande.
Jenfourche aussitôt mon Maître, passe mes bras autour de son cou, membroche sur son pieu de jouissance et commence à monter et descendre, face à Monsieur qui samuse à mordiller mes tétons tout durs, à caresser mes hanches et mon cul en me complimentant sur la douceur de ma peau, écartant régulièrement mes fesses pour faciliter la pénétration.
Soudain, jentends le bruit dune porte qui souvre et des pas sur le carrelage. Monsieur aussi a entendu et me fait cesser tout mouvement, ce qui a pour effet denfoncer sa queue au plus profond de moi, appuyant sur ma prostate et me faisant trembler de plaisir. Bien vite, toutefois, je réalise que la porte de notre cabine est demeurée ouverte et que linconnu pourrait nous découvrir. En plus, la cabine pour handicapés est la plus proche de la porte. À ce moment, toute excitation me quitte. Je ne me répète quune chose : Pourvu que je ne connaisse pas celui qui vient dentrer ! Étonnamment, linconnu ne se dirige pas vers les urinoirs ni vers les cabines, il semble demeurer près de la porte. Le bruit de roulettes et de frottage que jentends ensuite mindique quil sagit probablement dun employé dentretien ménager qui vient nettoyer le plancher et les toilettes. Monsieur approche ses lèvres de mon oreille et murmure :
- Tu laimes, ma bite ?
- Bien sûr, Monsieur, je ladore.
- Eh bien, si tu veux continuer à y avoir droit, tu vas devoir me faire confiance.
- Mais, Monsieur, je
- Quoi ? me demande-t-il dun ton agressif en donnant un petit coup de bassin qui me fait gémir de plaisir et de honte dêtre aussi dépendante au sexe.
- Daccord, Monsieur, lui réponds-je, les larmes aux yeux, ma tête blottie dans son cou massif.
Au moment où je prononce ces mots, jentends un cri de surprise dans mon dos, mais je me retiens de me retourner.
- Excusez-moi, dit une voix avec un fort accent étranger, je ne savais pas que
- Hey, reviens, rétorque mon Maître dune voix douce, reviens ici. Comment tu tappelles ?
- Euh, Habib. Je repasserai plus tard, ce nest pas grave.
- Tu viens doù Habib ?
- Du Sénégal.
Cet homme était probablement un des nombreux étudiants étrangers que luniversité accueillait et qui étaient souvent employés par le service dentretien. La plupart dentre eux étaient originaires dAfrique et étudiaient dans les facultés de sciences et dadministration. Même si cela meffraie de navoir aucun contrôle sur la situation, le désir que je lis dans les yeux de mon Maître et celui que je sens palpiter en moi ont tôt fait de me rassurer. Je me plaque un peu plus sur son torse chaud et musclé, puis vais chatouiller délicatement ses couilles dune main.
- Tu dois trouver ça dur dêtre si loin de chez toi. Il y a longtemps que tu nas pas eu de femme, hein ? lui demande Monsieur en recommençant lentement à aller et venir en moi, comme si mes chatouillis lavaient réveillé.
- Euh
Oui, cest vrai
ça fait trois mois que je suis ici et
voilà
Sa voix était maintenant étranglée mais jignore si, de lendroit où il se trouvait, il pouvait savoir si jétais un homme ou une femme. Mon corps quasi imberbe, mes cheveux longs et ma petite jupe sur ma taille fine pouvaient sans doute, de dos et sous le coup de lémotion, me faire passer pour une jeune femme.
- Tu aurais envie dune bonne pipe, Habib ? Jai une petite salope ici qui nattend que ça, cest pas vrai ? Montre-lui que tu la veux sa queue, ajoute-t-il en prenant mon menton entre son pouce et son index pour tourner mon visage vers le sien, puis vers Habib qui, vêtu dun vêtement de travail informe dune seule pièce, une vadrouille à la main, semblait toujours sous le choc, malgré quune généreuse bosse trahissait son excitation. Gênée mais à nouveau excitée par la tournure des événements, jacquiesçai à la proposition en passant ma langue sur mes lèvres et en me tortillant sur le pal de Monsieur.
- Mais cest un mec, ça ! Je suis pas PD, moi !
- Voyons, lui répond mon Maître en saisissant fermement ma mâchoire ça, un gars ? Elle a une chatte serrée pour aspirer ta queue, des petits seins à lécher, des belles lèvres pour te pomper, ajoute-t-il en écartant mes fesses encore rouges, en léchant mes tétons et en enfonçant deux de ses doigts dans ma bouche pour que je les suce en plantant mon regard vicieux le plus vicieux possible dans les yeux de Habib.
Je ne sais si cest le manège de Monsieur, la vue de mes lèvres humides ou simplement les mois dabstinence de Habib qui ont raison de sa résistance, mais il finit par dézipper la longue fermeture Éclair de son vêtement de travail et par laisser retomber le haut de celui-ci de chaque côté de ses hanches. Son torse est légèrement musclé, mais cest surtout son boxer distendu qui attire mon attention. Bien vite, il descend lélastique de son sous-vêtement sous son scrotum pendouillant et prend son sexe à pleine main. Cest la première fois que je vois une queue noire en vrai et javoue que même si elle est de taille plutôt normale, quoique très large à la base, le simple fait quelle soit foncée mexcite au plus haut point. Habib doit remarquer cette excitation et, beaucoup plus à laise que tout à lheure, il approche sa bite de ma bouche. Avant de me la donner, il se tourne tout de même vers Monsieur, quêtant son approbation. Jimagine quil a compris que je ne décidais pas de grand-chose ici
Monsieur lui ayant évidemment donné son accord, Habib dépose son gland sur mes lèvres et ne bouge plus. Surprise, puisque mon Maître me laisse rarement linitiative de la pipe, il me faut quelques secondes avant dengloutir cette belle queue à l'odeur de sueur très prononcée. Décidée à mettre en pratique lexpertise que jai développée avec mon Maître, je me mets à sucer Habib passionnément, faisant tout mon possible pour ne pas le quitter des yeux, ce qui nest pas toujours aisé à cause de lorgane de Monsieur qui va et vient rapidement dans mon cul. Lorsque, après quelques contorsions de ma bouche et de ma gorge, je referme mes lèvres sur la base de ce joli sexe noir, le nez perdu dans ses poils pubiens bouclés, Habib ferme ses yeux et soupire daise, la tête inclinée vers l'arrière. Il dépose ensuite sa main fermement sur mon crâne, me forçant à garder sa bite en bouche et donnant de petits coups de bassin pour être bien certain que sa bite est entièrement en moi.
- Whoaaaah! Quand je pense que j'ai failli rater ça ! ajoute-t-il en retirant lentement sa queue luisante de ma salive tandis que je déglutis profondément après cet effort. Tu suces comme une vraie pute, toi, ajoute-t-il en s'amusant à balancer son sexe devant le sourire que j'exhibe et qui provient autant du plaisir que me procure mon Maître sous moi que de l'envie de gober à nouveau le bel engin de Habib.
Constatant que Habib s'est dégêné, Monsieur saisit mes deux bras et me les fait croiser dans le dos en me faisant comprendre de les laisser ainsi. Je suis désormais plus offerte que jamais et mes deux mâles ne se gênent pas pour profiter de mes orifices, Habib prenant de plus en plus de plaisir comme en témoignent ses profonds soupirs à voir mes joues déformées quand son sexe se fraie un chemin en moi.
Après quelques minutes, Monsieur se lève de la cuvette et, sans se donner la peine de me parler, sortant à peine un instant de mon cul, il me reprend par derrière en saisissant mes hanches. Je me trouve maintenant debout face à Habib, les mains sur ses épaules et mon visage tout près du sien. Croyant peut-être que je m'apprêtais à l'embrasser, Habib me fait aussitôt pencher vers son bas-ventre pour que je reprenne sa bite entre mes lèvres, les mains posées sur ses cuisses pour me soutenir. Il se fait maintenant plus actif et cest davantage sa belle queue débène qui baise ma bouche que moi qui la suce, ce qui n'est pas pour me déplaire puisque je peux ainsi m'abandonner complètement aux assauts de mon Maître qui ajuste son rythme pour me pistonner en alternance avec Habib. Toutefois, un peu trop rapidement à mon goût, Habib ralentit ses mouvements et questionne mon Maître :
- Elle avale, vot' pute ?
- Si c'est ce que tu veux, oui. Sinon, tu peux aussi arroser sa face et lui faire un beau masque de colle.
Habib continue à baiser ma bouche de plus en plus rapidement et je sens sa queue qui durcit de plus en plus jusqu'à ce qu'il sarrête, son gland tout juste entre mes lèvres, et se vide copieusement en tressaillant de plaisir, éclaboussant mon palais de sa semence chaude que j'avale avec plaisir. Il effectue ensuite quelques derniers va-et-vient pendant que jen profite pour nettoyer son sexe ramolli. Lorsque je sens sa bite commencer à durcir à nouveau, Habib me larrache et la range prestement dans son vêtement.
- Merci, Msieur, cest vraiment une sacrée lope que vous avez !
- Ça ma fait plaisir, crois-moi. En passant, le numéro de son bureau est le 5***. Si jamais tu passes dans le coin et que tu as envie de te vider un peu, tu n'hésites pas. Elle est là pour ça, ajoute-t-il en me claquant les fesses.
- Comptez sur moi, M'sieur !
Une fois Habib parti et la porte des toilettes refermée, Monsieur recommence à me baiser férocement, signe qu'il a probablement l'intention d'en finir bientôt, ce qui n'est, pour une rare fois, pas pour me déplaire, mon cul commençant à être douloureux par manque de lubrifiant. Entre deux halètements d'effort, Monsieur réussit tout de même à me parler :
- Alors, tu l'as trouvée comment sa queue ? Hmff, et son jus ?
- Très bonne, Monsieur, mais pas autant que la vôtre. Et son sperme était moins crémeux et moins abondant, Monsieur
- Bref, tu as encore soif, c'est ça ? Me demande-t-il en augmentant encore l'amplitude et la vitesse de son pilonnage, rapprochant mes jambes l'une de l'autre et empoignant fermement mes cheveux de ses deux mains pour me cambrer davantage, comme il aime. La position est incroyablement obscène, la pénétration incroyablement profonde et je sens la jouissance qui monde dans ma verge, dans mon cul, dans tout mon corps. Honnêtement, je ne sais même pas si je jouis en homme, en giclant, ou bien en femme, sans sperme. Mais je sais ce que je veux plus que tout...
- Ooohhh oui, Monsieur, s'il vous plaît ! Je veux tout avaler ! Ahhhh!
- Ta gueule, tu ne veux rien. Je vais tellement arroser ta face de salope que tu ne pourras même plus ouvrir les yeux. De toute façon, ton cul est tellement ouvert que je ne sens plus rien. On dirait un hangar à bateaux.
Quelques secondes après que mon Maître adoré ait prononcé ces mots tout à fait plausibles étant donné la grosseur de sa queue et la vigueur avec laquelle il me baise, le gourdin qui me défonce royalement depuis une bonne trentaine de minutes quitte mon cul d'un seul coup et Monsieur, enserrant toujours mes cheveux dune main, me force à me mettre à genoux devant lui. Automatiquement, comme la chienne bien entraînée que je suis, je tire la langue, fixe des yeux ce magnifique membre gonflé, au bord de l'explosion, à quelques millimètres de mon nez, et le masturbe frénétiquement de mes deux mains. En quelques instants, Monsieur pousse son traditionnel grognement, sa verge se tend une dernière fois entre mes doigts et expulse un énorme jet de semence en plein dans un de mes yeux. Sous le coup de la surprise, je pousse un petit cri de plaisir, mais je dois avoir cessé ma masturbation sans le savoir, car Monsieur se saisit de sa bite pour finir de se vider sur mon visage. Enfin, il force mes lèvres et dépose les dernières coulées de sa sève épaisse sur ma langue. Incapable d'ouvrir les yeux à cause du foutre accumulé sur mes paupières, je m'applique quand même à succionner le phallus de mon Maître qui me donne quelques instructions en caressants ma tête :
- S'il revient te voir dans ton bureau, je veux que tu lui obéisses au doigt et à l'il, mais s'il veut te fourrer, il met une capote. Je vais t'en donner. Je veux que tu restes bien propre pour ma queue.
- Ar'ait, On'ieur...
- Tu sais, j'ai adoré te partager comme ça. Tu as été une adorable petite chienne. On va remettre ça, tu peux me croire.
- Bien, Monsieur, lui dis-je en cajolant doucement son sexe flasque mais encore imposant avec mes deux mains, avant de reprendre son gland dans ma bouche bien chaude. Moi aussi, j'ai adoré, Monsieur, merci..., ajouté-je avec un sourire sincère, les lèvres engluées dans le sperme.
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