Entretien
Julie, en théorie, avait confiance en elle.
Mais là, elle était objectivement déçue par lentretien quelle venait de passer. Elle avait perdu ses moyens et sétait empêtrée dans des réponses peu claires et approximatives qui ne rendaient pas hommage à son savoir faire technique. Cela faisait maintenant 5 ans que Julie travaillait en comptabilité et elle se savait compétente, sûre delle et à laise dans les relations professionnelles. Après avoir connu un début de carrière plutôt rapide, elle avait vite compris que son poste actuel ne lui permettrait pas dévoluer et avait donc postulé à diverses offres demploi. Mais elle savait que ce premier entretien ne serait pas concluant. Ce qui la faisait rager, cétait la raison pour laquelle elle avait perdu ses moyens : son interlocuteur la mettait mal à laise. Laurent R., le responsable du service qui lui avait fait passer cet entretien, devait avoir une petite quarantaine, un costume noir cintré qui laissait penser quil sentretenait sans en faire trop, une chemise rose pale munis de boutons de manchettes mat argentés. Il était brun aux yeux marrons, plutôt mignon mais pas non plus très loin dêtre franchement quelconque. Il avait mené lentretien de manière très professionnelle et les questions posées étaient pertinentes. Il avait bien eu quelques regards appuyés mais, en toute franchise Julie était obligée de reconnaître quil navait absolument rien fait pour la troubler. Et pourtant, troublée, elle létait terriblement...Cest ce qui énervait le plus la jeune cadre. Elle pensait sincèrement avoir passé lâge de trouver le premier venu incroyablement séduisant, surtout quand le premier venu en question navait rien dexceptionnel et pouvait être son futur boss. Mais elle devait avouer quelle lui trouvais vraiment quelque chose, sans trop savoir quoi. Sans doute ses yeux pétillants....
De son coté, elle avait mis une robe noire et une veste - le tout formait un ensemble élégant qui soulignait sa silhouette mais elle avait choisi de ne pas en faire trop.
Julie ayant choisi de venir passer cet entretien après son travail, il était déjà 20h et Laurent la raccompagnait maintenant jusquà la porte de son bureau. Alors quil s'effaçait pour la laisser passer, Julie avait cru apercevoir un sourire en coin. Elle ne put retenir un sourire également. Sans réfléchir, elle avait également plongé son regard dans le sien. Elle se repris rapidement et regardait fixement un coin vide de la pièce. Lui, en revanche, navait pas détourné son regard et continuait à la regarder. Au bout dun moment, elle finit par lui renvoyer son regard en feignant dêtre contrariée. Il lui dit alors de manière très posée :
Melle S. Pour être complètement transparent, je ne pense pas que nous pourrons donner suite à votre candidature.
Julie était interloquée : les réponses négatives faisait habituellement lobjet dune lettre ou, au maximum, dun coup fil et, en général, pas avant quelques jours. Elle était vexée que sa performance ait été suffisamment médiocre pour que la réponse soit aussi directe. Elle se contenta de balbutier un euh
je vous remercie de votre franchise, tout en regrettant immédiatement sa réponse peu assurée. Mais elle fut encore plus surprise lorsque son interlocuteur enchaina:
En revanche, on peut faire un débriefing dans mon bureau si vous le souhaitez
Là, franchement, elle nen croyait pas ses oreilles ! Elle se retint de le gifler mais elle ne fit rien. Lui, fit un pas dans sa direction. Toujours aussi posément, il ferma la porte. Il se trouvait maintenant à quelques centimètres delle. Il prit sa main tout en passant derrière elle. Ses geste étaient très lents, comme pour signifier à Julie que, si elle le laissait faire, cétait en toute connaissance de cause et quelle approuvait son comportement. Julie tremblait légèrement mais la fatigue mélangée au trouble quelle ressentait encore, le tout associé au fait quelle navait pas eu daventure digne de ce nom depuis plus dun mois maintenant, la conduisait à attendre la suite.
Il lui demanda de fermer les yeux. Elle s'exécuta. Toujours derrière elle, il passa lentement une main sous son menton et lui pencha la tête légèrement en arrière. A cet instant il fit une pause qui dura presque une dizaine de secondes. Julie attendait la suite. Laurent lui déposa alors un baiser dans le cou légèrement mais sans se presser. Il marqua à nouveau une pause avant de lembrasser à nouveau, plus fort cette fois.
Il approcha ensuite la jeune femme près du bureau. En prenant son temps et en prenant soin de bien marquer chacun des crans de la fermeture éclair, il entrepris de défaire Julie de sa robe. Le mouvement pris plusieurs dizaines de secondes, afin que Julie entende bien chacun des clics et quelle prenne conscience quelle navait aucune volonté de stopper le processus. Quand Laurent eu terminé avec la fermeture éclair, il passa deux doigts sur chacun des épaules afin de faire glisser la robe le long du corps de Julie. Elle était maintenant en sous vêtements, là au beau milieu du bureau, continuant à garder les yeux fermés. Elle portait un ensemble en dentelle noir. Son string contrastait à merveille avec les deux globes de ses fesses blanches. En dehors de cela, il lui restait uniquement ses bas et ses chaussures à talon, sa veste ayant glissé à terre.
Elle entendit une bruit de frottement léger. Puis sentit le contact dun tissu doux sur ses yeux. Sans doute sa cravate que Laurent utilisait pour lui bander les yeux. Elle ressentait maintenant un désir très fort et il lui était très clair quelle ne reculerait plus.
Elle sentit avec une certaine jouissance que Laurent venait de dégrafer son soutien gorge et libérant ainsi sa poitrine. Elle avait des seins fermes, de taille modérée.
Dun mouvement très lent, Laurent lamena à sincliner sur le bureau. Elle allongea sa poitrine sur le sous main. Le contact du cuir froid la fit frissonner et elle se cambra - sans pouvoir vraiment identifier sil sagissait dun réflexe ou dune provocation.
Laurent continua - toujours aussi lentement - à descendre le string de la jeune femme. Lorsque celui-ci se trouvait au milieu des fesses, laissant apercevoir lanus de Julie. Il sinterrompit à nouveau et sécarta du bureau. Julie allait exploser. Elle ressentait un mélange de plaisir, de désir et de légère soumission qui la rendait dingue. Ses sentiments furent rens lorsquelle entendit le bruit dune ceinture quon défait. Elle entendit que Laurent se rapprochait à nouveau du bureau, mais cette fois-ci au niveau du visage de Julie. Quelques secondes plus tard, elle sentait une main placée derrière ses cheveux. Elle attendait la suite, mais une fois de plus, Laurent se faisait désirer. Enfin, il déposa son sexe en érection sur les lèvres de la jeune femme. Julie nattendait que ca et sempressa dengloutir le pénis qui soffrait à elle. Au rythme des mouvements de la main de Laurent derrière sa nuque, elle suçait sa verge avec délectation, augmentant dautant son désir.
Après quelques minutes, il retira son sexe de sa bouche et revint se placer derrière elle. Il fit à nouveau glisser le string de Julie - cette fois ci plus rapidement. Il laissa le sous-vêtement à mi-cuisse. La jeune femme se retrouvait donc à moitié allongée sur le bureau, en talons, les jambes à moitié entravées par son string, et complètement offerte à cette homme quelle connaissait à peine.
Mais elle sentit rapidement le pénis de Laurent se présenter à lentrée se son anus. Elle avait déjà pratiqué la sodomie à plusieurs reprises, mais sans en être particulièrement fan. Mais là elle aurait donné nimporte quoi pour jouir. Laurent lavait compris et sengouffra rapidement entre les deux globes de chairs, tandis que Julie placait deux de ses doigts sur son clitoris pour se masturber. Elle accepta avec plaisir cette pénétration. Ses seins frottaient sur le cuir à chaque mouvement de hanches de Laurent. Ce dernier faisait des va et vient plus rapides et moins controlés.
Laurent continua tout en donnant de légères claques sur la croupe de la jeune femme. En se cambrant une dernière fois, Julie fini par atteindre le coit tant attendu. Elle poussa un long râle de soulagement avant de se laissait reposer sur le bureau. Laurent continua les va et vient quelques instants, avant de sortir sa queue pour jouir sur les fesses de la jeunes femme quil venait de sodomiser.
Toujours sans parler, il lui retira complètement son string, se rhabilla et sortit de la pièce.
Lorsquelle retira la cravate qui lui bandait les yeux, Julie se mit à rougir, pris un mouchoir pour se nettoyer rapidement et se rhabilla - sans pouvoir remettre son string que Laurent avait visiblement emporté.
Laurent avait également déposé sur sa robe qui gisait à terre une carte de visite sur laquelle il avait griffonné au dos ses coordonnées personnelles. Julie sempara de la carte et sortit à son tour rapidement de la salle.
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