Soirée Coquine Au Cinéma
Bonjour chers lecteurs,
Cest avec beaucoup de plaisir que je viens vous parler de notre deuxième expérience coquine, que ma femme Sophie et moi avons eu.
Il y a quelques mois, je vous avais raconté comment jai pu réaliser à son insu, mon fantasme dexhibitionniste dans les bois autour dAnnecy. Visiblement lexpérience ne lui avait pas déplu, puisque quelques semaines plus tard, elle accepta ma proposition de passer la soirée au cinéma en tenue légère.
Sophie est à mon goût une jolie femme de 42 ans, avec des petits seins fermes et surtout un cul bien bandant.
En voici donc le récit.
Le soir venu, nous amenâmes nos s chez une amie, puis de retour à la maison, Sophie partit dans notre chambre pour changer de tenue. Elle en sortit quelques minutes plus tard, en mini-jupe et en débardeur blanc.
« Ça te convient mon chéri ? »
« Ouahhh !!! »
Sans attendre, nous regagnâmes la voiture.
Il nous a fallu tout de même 45 minutes pour arriver à Genève, où se trouve un vieux cinéma situé dans un quartier de banlieue. Vu la tenue sexy de ma femme, nous avons préféré nous rendre assez loin dAnnecy, histoire de ne pas tomber sur nos voisins de palier !!!
Comme je lespérais, Il ny avait pas trop de monde dans le hall.
Le gars du guichet nous tendit les tickets sans même nous regarder.
Par contre en montant les escaliers qui mènent à lunique salle, un jeune homme denviron vingt-cinq ans, la casquette en arrière, scrutait ma femme de haut en bas.
Lambiance dans la salle était à limage du guichet : beaucoup de places vides, une tapisserie vieillotte, des fauteuils usagés, etc.
Nous nous assîmes dans un coin relativement discret, à larrière de la salle.
Sophie me chuchota à loreille :
« Je naime pas du tout cet endroit. Tu ne veux pas quon aille ailleurs ? »
« Maintenant quon a payé les places, on ne va quand même pas rentrer ! »
« Moi ça ne me dit rien de rester ici ! »
La lumière séteignit
, place à la traditionnelle pub.
Sophie me faisait la tête
Un spectateur dune bonne cinquantaine dannées sinstalla devant nous, en jetant un bref coup dil sur ses jolies jambes nues.
Cela ne semblait pas lui déplaire, car elle rougissait.
Le bonhomme retira sa veste et en profita pour la mater à nouveau.
Sophie ne bronchait toujours pas !
Je me risquais alors à relever sa jupe.
« Tes con ou quoi
On va se faire jeter ! »
Dun geste brusque, elle remit sa jupe en place.
Cette fois les lumières séteignirent complètement et le film put enfin commencer.
« Dans le noir personne ne te verra
à part celui qui est devant nous »
« Cest pas mon genre ! »
« Belle soirée en perspective ! » lui répondis-je.
« Mais tu veux faire quoi exactement dans cette salle pourrie ? » dit-elle en haussant le ton.
« Chut
moins fort ! »
Les spectateurs nous dévisagèrent un instant.
Je la pris alors dans mes bras afin dessayer de la rassurer.
« Du moment quon ne fait pas de bruit, je te répète quon na rien à craindre »
« Et ben moi, je nai pas envie de passer la nuit en Suisse dans un commissariat de police ! »
« Tu tinquiètes vraiment pour rien, ma chérie »
Je lembrassai tendrement, très tendrement, et le calme revint.
Peu à peu, nos langues se mêlèrent.
Notre compère se retourna de nouveau pour la lorgner. Il devait sans doute simaginer que nous étions un couple tout à fait ordinaire.
Pendant que nous nous embrassions, je sentais quil nous regardait avec insistance.
Sophie sen aperçu, et contre toute attente elle écarta ses jambes.
Je crois que comme beaucoup de femmes de son âge, Sophie sent le besoin de plaire, voire dexciter les mecs. Et lorsque la situation sy prête, elle en arrive parfois à ne plus pouvoir se contrôler. Tant mieux !
Le voyeur se penchât discrètement vers laccoudoir du fauteuil pour essayer de voir sa petite culotte, malgré lobscurité.
Moi je bandais comme un âne.
Je ne pus mempêcher de lui glisser à loreille :
« Tu lexcites ! »
Par moment, le type faisait semblant de regarder le film, ne sachant pas vraiment à quel jeu nous jouions, puis il se baissa à nouveau pour zyeuter.
Sophie avait mis de côté son habituelle pudeur. Pendant que nous nous embrassâmes, elle écarta un peu plus les cuisses.
Le voyeur se mit à se masturber, on pouvait discerner les petits mouvements du bras.
Je caressais sa chatte à travers sa culotte.
Cette fois il nous observait ouvertement en se branlait sans retenue.
« Mumm, tu aimerais quil te bouffe la chatte, salope ! »
Elle ne répondit pas, mais ses petits déhanchements en dirent long sur ses fantasmes.
Le voyeur se risqua à poser une main sur son genou gauche, mais instantanément, elle eut le réflexe, sans doute incontrôlé, de la repousser.
Dommage, jaurais bien aimé !
Jabandonnai alors son minou pour peloter ses petits seins, dabord à travers son débardeur, puis dessous, au contact de sa peau douce à souhait.
Nos langues exhibées se léchèrent inlassablement, sans même que nos lèvres nentrèrent en contact. Cette forme de baiser, Sophie aime le pratiquer quand elle est très chaude.
Le film continuait son petit bonhomme de chemin.
Notre voyeur tenta une seconde fois sa chance. Il posa délicatement une main sur son genou, mais ce coup-ci elle ne broncha pas
Waouh !
Que devait-il penser de ma femme ?
Quimporte ! Pour un mari, cest une sensation des plus palpitantes.
Ma verge était tendue à lextrême.
Pendant que je la pelotais, linconnu caressait ses cuisses sous tous les angles, profitant au maximum de laubaine.
Sophie membrassait avec une exaltation inhabituelle.
Soudain, elle eut un léger mouvement de recul ; je compris que la main baladeuse avait atteint la zone interdite. Je pressai fermement ma bouche contre la sienne afin quelle abandonna toute opposition.
« Taime ça
» insistais-je
« Mmmm »
« Tu as envie de sa queue, salope ! »
Mes paroles étaient devenues incontrôlables.
« Jaimerais te voir baiser avec lui dans les toilettes »
Elle magrippa par la nuque et membrassa en tremblant de tout son corps.
Malgré la sono, jentendais le clapotis des doigts dans sa chatte toute trempée.
Une fois ce premier orgasme passé, elle repoussa la main baladeuse et se blottit dans mes bras, sans rien dire.
Le bonhomme resta aussi quelques instants dans son coin avant de séloigner. Je me disais quil avait sans doute eu son compte. Détrompez-vous ! Le voilà quil revint à la charge, mais cette fois en se dirigeant dans notre travée.
Jétais assis contre le mur, Sophie était à ma droite. Il sinstalla donc juste à côté delle.
Connaissant ses sautes dhumeur, jeus peur quelle le chassa sèchement. Certes elle était bien excitée, mais elle nen demeurait pas moins impressionnée par la tournure des évènements.
Il sortit sa verge et se masturba de nouveau.
Jembrassais tendrement ma chérie sur le cou.
Sentant quelle préféra que je me taise afin quelle puisse prendre elle-même les initiatives, je me contentais désormais dêtre un simple spectateur.
Lhomme exhibait son pénis tout entier en descendant sa main jusquà la base, comme pour dire : allez-y, touchez madame !
Sophie avait une respiration courte qui trahissait son état de nervosité.
Elle meffleurait le visage du bout des lèvres.
Soudain :
« Jai envie dune queue » sexclama-t-elle.
Son souffle chaud sur mon visage était dune telle sensualité que jen fus carrément scotché. Elle se tourna alors vers son voisin et se pencha sur son sexe. De là où jétais, je ne pus voir grand-chose, mais de toute évidence, elle commença par des petits préliminaires avec la langue.
Je sortis un préservatif de ma poche, car je navais pas envie quil éjacule dans sa bouche
question dhygiène ! Cependant je nosais pas trop linterrompre tout de suite.
Le type glissa une main le long de son dos. Il sarrêta sur ses magnifiques fesses quil caressa avec délice. Il souleva ensuite sa jupe, baissa sa culotte et introduisit lentement le majeur dans son anus.
A cet instant, Sophie engloutit la verge. Je vis sa tête onduler de manière presque insolite. Ces mouvements de va et vient me procurèrent des sentiments confus où se mêlèrent à la fois la jalousie et lextase.
Quelle impression de voir le cul de sa femme tout contre soi, en train de se faire fouiller !
Je pouvais même sentir lodeur ; désolé pour les détails, mais cela ne faisait quaccroître ma libido.
En me penchant vers elle pour lui donner le préservatif, le fait de voir cette grosse bite dans sa bouche mexcitait au point de le remettre dans ma poche. A la place, Je sorti mon sexe pour me branler, et de lautre main je me mis à caresser ses petits seins tout gonflés.
Malheureusement, jétais déjà au bord de la jouissance. A peine ais-je eu le temps de me redresser quun jet de sperme gicla sur le fauteuil de devant.
Le voyeur nallait pas non plus tarder à se libérer. Sophie le sentait bien, elle accélérait le rythme.
Il posa une main ferme sur sa tête, et avec une discrétion des plus inattendues, presque frustrante pour moi, il éjacula dans sa bouche.
Son doigt était enfoncé à fond dans lanus.
Dans le feu de laction, nous ne nous étions pas rendu compte quun mec était venu sassoir juste derrière pour profiter du spectacle.
Ma femme navait pas encore fini sa petite gâterie. Elle prit soin de bien nettoyer le sexe de son partenaire. Décidément, elle avait vraiment le feu au cul !
Lorsquenfin elle se redressa, il sortit son portefeuille et lui dit :
« Vous êtes très jolie mademoiselle. Tenez, voici ma carte. Si ça vous dit un soir de passer chez moi avec votre compagnon »
Sophie encore toute excitée me sauta au coup et membrassa à pleine bouche. Ça sentait le sperme !
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