A La Ferme
Jai envie dune relation homosexuelle depuis quelques temps. Je vais sur des sites de rencontre homosexuel et je chatte avec quelques gars. Il y a de tout sur ces sites. Je me cale sur un agriculteur dans le Cantal. Il me décrit sa ferme, son activité et sa solitude. Il cherche un partenaire le week-end car il a trop de travail en semaine. Pour moi, cest mon éventuelle première aventure malgré ma quarantaine. Je nai connu que des femmes jusque là.
On échange dabord par mail, puis par téléphone. Je lui explique mes fantasmes et lui les siens. Je veux rencontrer un homme actif et tendre avec qui passer des week-ends, faire quelques parties de baise, je suis daccord pour caresser, sucer et branler et voir plus si je le sens. De son côté il recherche un passif qui participe de façon dynamique. Il a envie de se faire tailler des pipes, ne souhaite pas être pénétré mais aimerait bien enculer.
Le vocabulaire a bien évolué au cours de nos échanges.
Le week-end est calé, je pars en train, André mattend à la gare et vingt minutes de voiture nous rendent à son domicile. Surprise à larrivée, un homme est là. Cest un ouvrier agricole me dit-il. On mange à 3, cest Antoine, louvrier qui a préparé le repas et qui nous sert comme au restaurant. André me caresse le genou pendant le repas puis remonte sa main au niveau de mon entre jambes. Je bande bien déjà et ose aussi lui mettre la main sur le paquet. Ca ma lair bien dur derrière ce jean.
Antoine débarrasse et nous, on monte en chambre. On se douche individuellement puis on se retrouve. On sapproche, on sembrasse, on senlace. On tombe rapidement sur le lit. On se déshabille. Jai mis un string. André en profite pour me caresser longuement les fesses avant de lôter. Je passe mes mains dans son boxer et apprécie une belle queue, de taille supérieure à la mienne. Je sors cette bite de sa poche, mapproche et réalise mon premier fantasme : tailler une pipe. Il y avait un moment que javais envie de ça, jai moi-même éprouvé tant de plaisir à me faire sucer par des femmes dans ma vie.
Cest en suçant ce beau membre viril que je comprends le plaisir que les femmes peuvent avoir en taillant des pipes, leur gourmandise est maintenant expliquée. André marrête pour ne pas jouir, me prend en main puis en bouche. Il suce et lèche très bien. Je larrête avant de jouir. On se met alors en position du 69 et là, on se laisse aller. Nous avons tous deux la bouche pleine et ne pouvons prévenir lautre de la montée de notre semence. Nous jouissons en même temps dans nos bouches accueillantes. Je suis dessous et avale donc une bonne quantité de son foutre. Après une petite demi-heure de conversation et de caresses, André me lubrifie le cul. Je lui explique que cest ma première fois, que jai une certaine crainte, que je suis moins excité et que je préfère ne pas essayer ce soir. On sendort. Au champ du coq, quand je me réveille, André nest plus à mes cotés. Je me lève, me mets un caleçon, un marcel et vais descendre. Dans le couloir, jentends du bruit dans une chambre voisine. La porte est entrouverte, je regarde dans cette chambre et que vois-je ? Antoine à quatre pattes sur le lit et André à genoux, derrière lui en train de lui défoncer le cul
. Il sort sa queue et la rentre avec une vigueur qui me met en érection. Je suis un peu jaloux, me dis que je ne peux pas quitter la ferme trop éloignée de la gare et culpabilise davoir refusé la veille de ne pas avoir accepté de me faire pénétrer. Antoine a lair dapprécier. Au bout de 20 mn, André sort une dernière fois sa queue du cul dAntoine et lui crache sur le dos une quantité de sperme incroyable. Antoine se masturbe puis gémit en se lâchant aussi. Je retourne rapidement dans ma chambre et me couche comme si de rien nétait. Je me questionnais sur ma posture. Devais-je me vexer ? devais-je partir ? devais-je trouver ça bien ?
André passe se doucher et revient dans notre chambre. Il me caresse la quéquette, je fais semblant de me réveiller. Après avoir vu ce que je venais de voir, je sentais mon cul chaud et javais bien envie de profiter dun bon ramonage moi aussi.
Je me rapproche de son beau phallus et lenfourne dans ma bouche. Il sortait de la douche mais je pensais que quelques minutes avant, ce bel objet venait de défoncer un cul. Cela mexcitait terriblement. Après tout, je suis venu passer un week-end de baise, pourquoi me poser des questions, autant profiter du bel outil viril que javais sous la main et pour le coup sous la dent. Je mappliquais à bien lécher les couilles, la tige et le gland. Cette belle queue grossissait et durcissait progressivement. Jen profite un moment, puis la sors de ma bouche, me tourne en position 4 pattes et lui dis « prends moi, prends moi, je veux ta queue entre mes jambes » André, surement surpris était en état de répondre à ma demande. Il conduit sa bite devant mon illet et le pénètre doucement puis enfonce un coup sec. Jétais en train de me faire dépuceler le cul à sec. Cétait douloureux mais cela ne mempêchait pas de bander . Ses belles et grosses couilles tapaient sur les miennes bien plus petites. Au bout dun bon moment que je me faisais défoncer le cul, il dit « cest bon, je me vide les couilles dans ton petit cul », je me masturbe pour me faire jouir aussi. André ma vraiment cassé le cul, je narrive plus à serrer mes cuisses. Il me demande si ça va. Puis il appelle André pour me monter un plateau petit déjeuner. Jétais tellement KO que je ne bougeais plus de ma position sur le ventre, cuisses écartées. André entre, dépose le plateau sans dire mot. Il na lair ni choqué, ni surpris. Je nai pas de honte, je lai observé lui-même une heure auparavant. Il me faudra plusieurs heures pour arriver à me lever. Après le déjeuner, cest moi qui propose à André de monter au lit, javais peur quAntoine en profite avant moi. On se déshabille rapidement et jadmire mon beau taureau. Cette fois, je ne me prive pas, je lui taille une bonne pipe, je fais de bons fonds de gorge, je salive sur son gland. Je prends en main sa tige pour la frotter sur tout mon corps. Cest du béton ! Jenvie cette capacité à avoir une bite si dure, si longtemps et qui recharge si rapidement.
Cette fois, je lui demande de lubrifier mon petit trou. Il me doigte avec un doigt, puis 2, puis 3, puis
. Je sens ces 2 mains me tenir les hanches. Ce nétait plus ses doigts qui défonçaient ma rondelle. André me masturbait en même temps en me disant « quel gros clitoris je caresse, quelle belle chatte je fourre, on sent la saloppe qui sommeillait dans ce corps », et là pour sexciter encore il me traita de tous les noms doiseau « pétasse tu te régales, catin et rien dautre, tu aimes te faire foutre grosse cochonne, tu as fait la délicate hier soir mais aujourdhui, cest la fête de ta moule, tu es une vraie chienne
», cest peut-être bizarre, mais tout ce quil me disait et ses bons coups de queue me faisaient monter à lextase, jaimais ça et jai joui et crié comme jamais. Après quil ait vidé ses couilles au plus profond de moi, on sest reposé. Lheure de mon train de retour approchait. André me reconduit à la gare et je limplorais de maccueillir dautres week-ends avant de le quitter sans lui parler dAntoine.
admin
Jan. 31, 2023
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