Vacances Antillaises
Quelles merveilleuses vacances et quelle nouvelle expérience pendant ces vacances. Nous étions avec Karine en vacances aux Antilles. Cette quinzaine sans les s nous est profitable mais déjà plus que quelques jours avant notre départ. Nos s sont grands, et se débrouillent seuls : cest lavantage de les avoir eu très tôt. Après des vacances familiales, nous voici donc ici à quelques jours du départ. Karine est de plus en plus expressive sur sa sexualité et je la pousse à exprimer ses désirs. Après avoir fait du « lobbying », jai réussi à lui démonter quun après midi à la plage naturiste serait sympas pour profiter pleinement du soleil et de la mer et pourquoi pas de faire une bonne petite partie de jambes en lair avant que regagne note hôtel. Je métais renseigné sur lendroit, un peu chaud, dans tous les sens du terme et ça mallait très bien : très fréquentés des métropolitains et des autochtones. Cette anse est vraiment superbe. Nous nous sommes garés, pris nos affaires puis descendu vers la plage. En marchant, on découvre au loin la plage, la mer superbe et des corps dénudés qui apparaissent, soit au soleil, soit sous les palmiers et autres arbres locaux.
Nous nous approchons et nous trouvons un endroit sympa, sous des arbres très bas, laissant filtrer un peu de soleil mais assez enveloppant malgré tout.
Nous nous déshabillons, étendons nos draps de plage, aussi grand que des draps de lit. Nous restons allongés avec cette chaleur très agréable. Il est 14h, nous avons déjeuné léger, après un petit déjeuner très copieux. Déjà une heure que nous sommes là, et je préviens Karine que je vais me baigner. Juste quelques mètres de sable à parcourir et me voici dans leau chaude. Karine me rejoint et se rafraîchît aussi. Nous remontons sur notre endroit et après sêtre essuyé nous nous allongeons. Vers 15h, nous voyons arriver 2 hommes, des locaux : un qui a la peau très noir, et lautre un peu plus clair. Ils sont grands, bien bâtis, et le plus noir a un petit ventre.
- Pas mal non ?
Elle me répond en riant :
-Jen ferai bien mon goûter !
Je réponds :
- Au chocolat bien sur ! Je crois que tu as les yeux plus gros que le ventre, avec deux mecs comme ça, si leurs queues sont en rapport avec leur taille, tu serais bien emmerdé ! »
Elle répond :
- Ah cest sur que là, je serai rassasié.
Nous reprenons notre lecture, puis quelques minutes plus tard, quelquun arrive par le buisson devant nous et nous voyons arriver les deux mecs de tout à lheure.
Ils nous demandent pour sinstaller un peu dessus de nous, à 10 mètres, pour profiter de lombre de nos arbustes et ainsi ils peuvent avoir une vue sur la plage également.
Doù ils sont, ils sont protégés, car les buissons étant en arrondis, il faut être en face sur la plage et dans leau pour les voir. Les gens aux alentours ne peuvent les voir.
Ils étendent de grande serviette et enlève leur short pour sinstaller.
Derrière nos lunettes, je dis nos car je sens ma femme qui fait exactement comme moi, nous observons brièvement en relevant la tête nos deux « invités » qui nous apparaissent nus. Dans ma tête, immédiatement, je me dis :
- Ouah ! Ca cest de la bite. Celle qui est capable de prendre çà, elle doit douiller. Enfin douiller de plaisir si elle est aime les bonnes grosses queues.
Je me surprends à imaginer Karine en train de se faire pilonner la chatte par une queue pareille.
Je reprend mes esprits et me remets à lire.
Comme nous sommes dos à la mer, et allongés vers les 2 blacks, il suffit de lever le niveau des yeux au dessus de nos livres, pour voir les mecs.
Ils se sont assis, les jambes relevées, et les coudes sur leurs genoux, les deux mains étant jointes.
Les deux gars discutent, apparemment en créole, car seuls quelques mots nous sont compréhensibles, mais on ne comprend rien à leur discussion : en plus, il ne parle pas fort, mais jai limpression que par moment il parle de nous.
Cela fait 30 mn quils sont arrivés et je sens lair, comme dire, sélectriser, je ne sais pas pourquoi
Par moment, nos deux acolytes se touchent la queue, comme pour bien la remettre en place. Ils le font plusieurs fois.
Moi et Karine ne réagissons pas mais nous faisons juste quelques commentaires par moment.
Les gars sentant quon ne réagit pas, sont de plus en plus à laise, et par moment, ils décalottent leur sexe, montrant ainsi un gros gland très noir, et un autre très rose. Ils font quelques va et vient sur le manche et repose leurs queues. Je trouve cela excitant, bien que je ne sois pas homo. Je discute avec Karine en lui faisant remarquer quils devaient bien sexhiber, sans doute se sachant très bien foutu, et sans doute adulé par les femmes blanches, ils samusent sans doute ainsi histoires de faire fantasmer les blanches en vacances, et leur laisser un souvenir au retour. Karine trouve cela marrant.
Karine décide daller se baigner. Moi je reste mais je me lève et la regarde séloigner vers leau puis je mallonge en la regardant. Elle ne reste pas longtemps et revient sallonger et regardant vers la mer. Elle me dit que leau est encore plus chaude et que cest agréable. Je lui caresse doucement la fesse mais repensant à nos invités derrière, jenlève ma main et je dis à Karine :
- Sil me voit te caresser, ça va les exciter. Il faut mieux que je me calme, et puis moi aussi ça me ferai bander.
Nous discutons et je regarde Karine entre deux et je laperçois, tout en me parlant, bouger les jambes, puis les écarter doucement par moment. Karine se rase un peu le minou, mais il est toujours bien propre, avec juste ce quil faut comme poils. Elle est très bien foutu : 1,69 pour 62 kg, et une belle petite poitrine, avec un petit cul bien rebondi. Avec ses mouvements de jambes, je sais désormais que les mecs entrevoient par moment lentrejambe de Karine : je suppose, car je ne peux pas savoir, quils voient son anus, et son petit trou de chatte avec quelques petits poils autour. Ils doivent imaginer sa chatte bien humide, accueillante, et prête à absorber leurs gourdins bien dressés. Jimagine des scènes de plus en plus obscènes et avant que je mette à bander, je dis à Karine que je vais dans leau.
En me levant, jai vu, que les mecs se paluchaient la bite sans se cacher, ils nétaient pas raides, mais je dirais que leurs queues étaient à moitié en érection. Karine me regarde méloigner vers la mer.
Je mengouffre dans leau, nage et je suis vite rejoint par lun des blacks. Le plus jeune à la peau plus claire. En nageant, on sest rapproché et on se met à discuter de banalité. Nous restons ainsi 15 mn à discuter dans leau tout en marchant. Je lui explique nos vacances, notre retour dans quelques jours. Il me fait des compliments sur ma femme. A un moment, jose lui demander :
- Par hasard, je sais pas si vous savez, mais avec ma femme, on aime bien des fois, faire lamour dans la nature, et là, est-ce que vous savez sil y a un endroit un peu tranquille pour quavec ma femme on puisse tous les deux aller faire lamour.
Le gars mexplique un endroit. Ca na pas lair compliqué, juste à marcher pas mal pour être isoler du passage. Entre deux, je vois Karine qui discute toujours. De quoi peut-elle bien parler ?
Je sors de leau et remonte vers notre place, et le black remonte aussi. Le black qui est resté ne bande pas, et descend vers la mer se baigner avec son acolyte qui le rejoint.
Je demande à Karine de quoi elle a discuté : elle me répond de choses et dautres, tout comme moi.
Nous sommes allongés vers la mer, et en jetant un il et voyant que personne ne peut nous voir, je passe ma main entre ses fesse, elle serre les jambes, je lui dis, allez écarte un peu, et là, je passe un petit doigt et remarque aussitôt sa chatte toute humide. Est-ce la chaleur ou lexcitation. Je ne saurai pas, car les deux blacks remontent et jenlève ma main.
Les deux gars sessuient le corps et sassoient : je prend à boire et en propose à Karine : jen propose à nos deux voisins qui acceptent. Ils tirent sur serviette et savance plus près de nous. Nous nous mettons à discuter. Par moment, ils se tripotent la queue tout en discutant, mais sans malice, ça doit être machinale chez eux, je pense. Par moment, je regarde le plus âgé, il a dans le regard, quelque chose de fort, bestial, viril, masculin, et je sens que Karine est sous le charme mais bon. Nous parlons un peu de sexe : ils disent que ça arrivent dans le coin, des gens qui font leur affaire dans les parages, mais ça en reste là.
Lheure avance, et au bout dun moment, je propose à Karine dy aller. Nous préparons nos affaires, disons au revoir à nos voisins, en leur disant quon reviendra sans doute ici avant notre départ.
Nous repartons, et je dis à Karine, on irait bien baiser un ptit coup : elle me répond, jai la même envie que toi, et ajoute, tu sais, tout à lheure, quand je discutais avec le black, je lui ai demandé sil y avait un endroit tranquille et il ma expliqué où cétait.
- On y va ?
- Oui !
Je ne lui pas que jai demandé la même chose à lautre gars. Au moment de bifurquer vers le chemin indiqué, je regarde vers la plage et je vois les 2 blacks quitter à leur tour la plage.
Nous marchons et arrivons dans différents petits endroits, qui ont du être déjà fréquentés : la configuration des lieux fait quon dirait quils ont été fait pour çà. La nature est sauvage, et pas trop épaisse, impeccable pour se cacher ou même être vus dailleurs. Karine avance encore en disant, il a dit par là : tiens lautre ma dit pareil. On avance encore quelques minutes et elle dit quon pourrait sinstaller là. Je suis daccord : bien entendu.
On déballe nos draps et serviettes et on se prépare un coin sympa. On commence à sembrasser et je me mets à bander très vite. Je rentre déjà mon sexe qui glisse dans sa chatte toute humide jusquà la garde. Elle relève ses jambes et les nouent contre mes reins et je lui assènes des coups de queues assez violents, mais elle gémit : sa chatte est déjà hyper mouillé. Je relâche létreinte, je bascule le bassin pour faire sortir ma queue, et je descend lui bouffer le minou.
Sa vulve est chaude, et ouverte, et jy engouffre ma langue. Elle relève les jambes e se tient par les genoux bien écartés et je lui bouffe sa chatte et son cul. Je mets un doigt dans son trou et elle apprécie.
Je viens auprès delle, agenouillé, et elle me prend la queue à pleine bouche. Dune main, je lui triture doucement les tétons, et de lautre, je mets deux doigts dans sa chatte, et lui travaillant bien le trou. Elle soupire.
- Oui vas-y tes doigts, hum, cest bon, oui travaille moi bien mon ptit trou. Hum elle est bonne ta queue. Viens, prends moi.
Je change à nouveau de position et je reviens en levrette sur elle. Ma queue rentre comme dans du beurre ramolli, je ne sens même pas les parois de sa chatte, tellement elle est ouverte. Elle prend ses pieds dans ses mains et remonte ses jambes en les écartant. Inconsciemment, je me dis : quelle chienne. Je me redresse sur mes mains, et là, je coulisse en elle à fond. Ma queue rentre et ressors à chaque fois : je sais quelle aime çà : soit être cogné au fond, soit laminé sur le bord à lentrée du trou de chatte. Elle est vaginale !
Alors que je la ramone bien, en redressant la tête, je vois devant nous au loin, nos deux blacks. Jai un moment dhésitation mais je continue à besogner Karine. Elle me dit ya quelque chose, je dis non, cest trop bon mais je veux pas jouir maintenant.
Apparemment, ils sont fixes mais semble se branler. Difficile de voir dici.
Je ralentis le mouvement de mes va et vient. Je ne veux pas jouir et je ne veux pas quelle jouisse non plus tout de suite.
Je lui demande de changer de position et de venir sur moi. Je me retire de sa chatte et mallonge sur le dos, sexe tenu en main, et elle vient sagenouiller sur ma queue.
Ma bite disparaît complètement en elle, jusquaux couilles. Elle pose ses mains sur ma poitrine et moi je lui pelote les seins à pleines mains. Elle fait monter et descendre son bassin doucement puis de plus en plus vite tout en me regardant. Maintenant mes doigts commencent à agresser ses tétons. Elle gémit.
- Ah oui, cest bon, elle est bonne ta queue. Ah, vas-y donne des coups de reins aussi. Hummmmm. Oui bien à fond.
Je lâche ses seins et lui claque les fesses doucement puis jécarte ses lobes fessiers
- Tiens, allez, descend bien à fond là, oui, cest çà. Je lui indique le mouvement à suivre de mes mains.
Tout à coup, elle saffale sur moi et me parle à loreille.
- Hey, les deux mecs de tout à lheure, ils sont là.
- Quoi ?
- Les mecs de la plage, ils sont là. Ils nous regardent et apparemment ils se branlent tout en nous regardant ! Quest ce quon fait, ils vont nous voir ?
- Ben, là, ils nous ont déjà vu et ça doit faire un moment quils sont là. Ben on continue non ? Cétait trop bon ! Hein ?
- Tes sur ? Si ils sapprochent ?
- Mais non. Ils se rincent lil. Et si ils savancent, que veux-tu quils fassent ? Ils ne vont pas porter plainte. Hey cest nos vacances, cest bon, on en profite, on est que nous deux. Jaimerai bien jouir, pas toi ?
- Ben si mais bon
- Bon on continue ou tu veux quon rentre.
- Oui tas raison, on verra bien. Cétait trop bon
Elle se redresse et remet ses mains sur mes épaules et remue à nouveau son bassin. Je lui triture les seins.
Je lui dis :
- Voilà, allez vas-y. Fais toi jouir, profites-en, te gêne pas. Sils veulent se rincer lil, quil en profite. Ca doit super les exciter
- Ah oui, cest bon. Ah oui les seins aussi. Cest bon. Ah oui, jen veux, jen veux
Karine sen donne à cur joie. Rarement je lai vu comme çà. Elle a les yeux mis clos en se défoncer sur ma queue. Doù je suis, je ne peux pas voir derrière ma tête, mais jai entendu de bruissements sur le sol qui se rapprochent. Je pense que elle, elle doit voit avec ses yeux mis clos, mais fait comme si de rien nétait.
Jhésite entre tout arrêter ou continuer, me doutant que ça va finir en partie à 4 si je ne fais rien.
Cela dure environ 3 à 4 minutes puis je vois arriver au dessus de moi les deux noirs, de chaque côté de Karine. Je vois leurs queues au dessus de moi, à quelques cm du visage de Karine. Elles ne sont pas raides, ils doivent se demander si cest du lard ou du cochon
Elle lâche mes épaules et se redresse en bougeant plus lentement sur ma queue.
Les deux blacks lui prennent une main et la porte vers leurs queues.
Elle saisit les deux bambous noirs, et commence à les branler en les décalottant bien à fond. Elle prend la queue du plus âgé et la porte à sa bouche et lavale entièrement, mais cela ne dure pas longtemps, car elle fait ressortir cette grosse queue qui gonfle et ne peut être contenue dans sa bouche. Elle se met à sucer lautre et branle le premier. Le premier sappelle Norbert et lautre Augustin. La queue de Norbert est ENORME et je pense quelle doit faire au moins 3 fois la largeur de main de Karine, avec un paquet de couilles énormes. Son gland est gros comme une petite orange. Augustin est bien membré, je dirais deux fois la largeur de la main. Les deux queues sont au garde à vous. Elle essaie de sucer Norbert, et heureusement que sa queue se ramollit par moment, ce qui lui permet de le prendre un peu en bouche, sinon, elle le suce le long, les couilles, dans tous les sens. Elle arrive à bien sucer Augustin.
Norbert/
- Alors Karine, elle te plaise nos deux queues ?
Karine :
- Oh oui, elles sont grosses et bonnes.
- Profites en, tu vas ramener de bons souvenirs en France hein ? Tas jamais vu des queues comme ça hein ?
- Non, elles sont énormes.
- Allez, vas-y, suce bien Augustin, il adore çà.
- Je vais voir ta petite chatte, hein, je ne lai pas bien vu tout à lheure.
Il sest met entre mes jambes et relève le cul de Karine. Ma queue sort dans un bruit de pet un peu long.
- Oh, la bonne cochonne. Quand la chatte pète comme çà, cest quelle en veut, et quelle aime çà.
Ma queue raide est contre le pubis de Karine, et je vois Norbert qui crache dans la raie du cul de Karine et mouille les doigts puis commence à lui doigter la chatte. Je ne sais pas combien de doigts il a mis, 2 ou 3 je pense. Je sens au travers de ma queue contre sa chatte que les doigts sactivent très vite.
Karine :
- Ah oui, cest bon, oui, branle moi ma ptite chatte, oui là, bien à lentrée, hummmm, putain que cest bon !
Moi :
- Attend, Norbert, jai envie de la prendre à 4 pattes pendant quelle va vous pomper !
Norbert retire ses doigts, et dès quelle bouge pour se mettre en position, sa chatte pétouille à nouveau, ce qui nous excitent au plus haut point.
Je me dégage et elle se met en position à 4 pattes, la croupe bien remontée. Je viens me mettre derrière elle, je pose mes mains sur ses fesses que jécarte bien, son petit trou sentrouvre, et en basculent mon bassin, je fais rentrer mon gland puis en poussant, toute ma tige rentre en elle, faisant un bruit glaireux.
Je commence mes va et vient et les 2 blacks regardent ma queue coulisser dans son antre humide.
Augustin :
- Ouah, elle est vachement mouillé de la chatte, regarde sa queue est trempée ! Jirai bien my fourrer moi aussi. Elle doit être génial sa ptite chatte.
Je vois les yeux dAugustin qui ne quitte pas la chatte de Karine tout en se masturbant alors que Norbert sest mis devant pour se faire sucer les boules.
Augustin lâche sa bite et écarte les fesses de Karine.
Moi :
- Quest ce quelle est bonne ta ptite chatte. Ah oui, cambre bien tes reins. Oui remonte bien ta croupe comme çà. Ah oui cest bon ! Ah regardes ça Augustin, elle me prend bien à fond.
Norbert sest allongé devant Karine, les jambes de chaque côté delle, et elle le suce goulûment. Je narrive pas à voir précisément la bouche de Karine, mais apparemment, Norbert apprécie. Par moment, il parle en créole à Augustin et je ne comprends pas mais bon peu importe : jimage les choses quils doivent se dire.
Augustin :
- Ah jaimerai bien la prendre aussi ta femme et lui donner du plaisir avec ma queue de black. Tu veux bien ? Jai des capotes hein, pas de problème
Moi :
- Cest à Karine de décider.
Norbert prend la parole :
- Karine, si tu aimes bien la queue, tu vas adorer, il va te rendre folle Augustin.
Augustin me regarde et sourit.
Karine en retournant sa tête :
- Si tu es daccord, pourquoi pas ? Quen penses tu ?
Moi :
- Oui, il va mettre une capote, ça fait comme si cétait un god après tout ?
Elle ne répond pas, et suce à nouveau Norbert qui lui caresse les cheveux.
Je me recule et je ressors, la queue raide comme jamais je lai vu. En sortant, la chatte de Karine émet un gros bruit glaireux ce qui est normal avec sa position à 4 pattes. Déjà Augustin a enfiler sa capote, et sortit un gros tube de gel (je me dis, ben ils sont équipés les gars) : il appuie et une grosse giclée de gel coule dans la raie du cul de Karine. On a vu son trou du cul vibrer sous leffet rafraîchissant du gel. Il barbouille avec sa main du gel partout, et comme la chatte de Karine est encore béante, il dirige le bout de la bouteille vers le trou et appuie dessus. Une bonne pichnette rentre dedans. Puis il appuie a nouveau sur la bouteille de gel sur sa queue et létale bien. Il pose ses mains sur les fesses de Karine et les écarte vers lextérieur. Sa vulve souvre. Il approche son bassin et uniquement en bougeant ce dernier, il dirige sa queue vers lentrée bouillante de ma femme. Le gland est à lentrée et il pousse doucement. Je vois le gland disparaître dans ma femme. Il sarrête juste à lentrée et remue en cercle son bassin. Je vois sa queue se tordre et former des arrondis et dans le même temps, je vois le trou de la chatte de ma femme se remuer aussi, et son anus se plisse au rythme de cette queue infernale. Je devine Karine reculer son bassin pour engloutir cette bite démentielle, mais Augustin sait jouer du bassin pour se reculer et maintient fermement Karine en avant à la bonne profondeur, c'est-à-dire, juste le gland. Ainsi, il lui travaille la vulve, les lèvres, il lui échauffe toute lentrée du vagin. Je me dis : il va la rendre folle. En fait, il va la rendre salope, il veut quelle réclame de la bite à fond et quelque chose me dit quil va réussir son plan.
Karine :
- Allez, viens, prend moi à fond, baise moi !
Augustin :
- Attend, coquine, pas encore. Cest pas bon comme ça, juste à lentrée de ta ptite chatte hein ?
Karine :
- Si putain, cest bon, tu me travailles bien lentrée, mais rentre, remplis moi.
Augustin décrit des mouvements de bassin encore plus amples ce qui a pour effet de faire tournoyer la chatte de Karine dans tous les sens.
Karine :
- Tu vas me rendre folle. Vas-y baise moi, défonces moi.
Je suis choqué à ces mots, mais ça devait être les mots clés, car aussitôt après, Augustin enfonce continuellement et entièrement son gros mandrin marron jusquà la base de ses couilles. Il écarte très largement les fesses et les lèvres de Karine, comme sil voulait faire ressortir lintérieur de sa chatte et plaque son ventre contre les fesses de ma femme.
Il donne des petits coups de rein secs, bien à fond. Karine remue son cul dans tous les sens.
Norbert :
- Vas-y Augustin. Tapes, tapes, tapes. Tapes à fond. Cognes bien le fond. Fais la jouir, elle a bien mérité. Tapes, tapes, tapes.
Augustin :
- Oui, je sens bien le fond de sa chatte. Taimes ça Karine hein ?
Karine :
- Oui vas-y. Tu me baises bien. Oui bien à fond, ah cest bon !
Augustin commence à limer en longueur. Il fait coulisser son engin dans le fourreau de ma femme. Tel un moteur, on dirait le piston qui astique les parois de la culasse. Ses coups sont francs, rapides, profonds. Maintenant, il tient Karine par le haut des épaules, il la besogne, la pilonne, lempêche daller en avant en la maintenant par les épaules, ses coups de butoir font secouer Karine un max. Je glisse un doigt dans le cul de Karine, et je sens la queue à travers la fine paroi. Je sens son anus se contracter, elle fait le dos rond, et de mon autre main, je lui appuie sur le bas du dos pour quelle se cambre bien, son cul remonte, et Augustin la maintient encore plus fermement, et lui assène des coups de plus en plus violent. Il se relève légèrement et le met presque en position debout, les jambes de chaque côté du flan de Karine. Jenlève mon doigt de son anus, car je gène Augustin. Dans cette position, elle est complètement soumise, et Augustin accélère encore le rythme.
Norbert :
-Tapes, tapes, tapes, tapes, tarrête pas mec, vas-y, elle va jouir.
Karine ne suce plus Norbert, elle respire fort, gémit, le font contre la serviette. Norbert regarde son copain et lencourage. Je me positionne derrière Karine et je vois la queue rentrer et sortir à fond, les couilles cognant sa chatte. Le bas ventre dAugustin claque dans un bruit démentiel les fesses de Karine qui sagitent et ballottent dans tous les sens.
Augustin lui assène un dernier coup à fond comme sil voulait rentrer ses couilles en même temps.
Karine :
- Ah oui, je vais jouir, vas-y, oui vite, ah cest bon ! Oui, continue, cest çà. Encore, encore, oui, encore, encore.
Karine, tout en tremblant, le dos arrondi :
- Ahhhhrrrrrrrrrr
Huuummmmmmmmmm
Cest boooooonnnnnn !
Augustin, qui na pas jouit, remet ses jambes entre celle de Karine, sagenouille, bascule en arrière, et prend Karine contre lui, sans sortir de sa chatte.
Karine est en sueur, la tête sur lépaule dAugustin. Elle respire rapidement encore.
Moi :
- Cétait pas bon hein ?
Karine :
- Ah, si. Dément. Ma ptite chatte va être toute défoncée. Pffffff (elle soupire).
Norbert :
- Tu rigoles. Je crois avoir compris que tu étais vaginale, plutôt, alors pour ta ptite chatte, enfin grosse chatte pour le moment, tas pas à tinquiéter, dans 5 mn elle serait capable den reprendre autant, même pire.
Karine :
- Alors là, je crois pas.
Moi :
- Tu devrais pas faire des promesses que tu ne peux pas tenir.
Karine sadressant à moi :
- Donne moi à boire sil te plait, et à Augustin aussi, il est en nage.
Karine se redresse et se dégage la chatte. A nouveau, elle pète grave ! Désolé nous dit-elle. On éclate de rire.
Norbert :
- Au contraire, cest génial, ta chatte montre toute sa satisfaction. Jadore entendre se bruit là.
Nous nous allongeons quelques instants.
Très rapidement, je me dis que ça serait bien que Karine se prenne lénorme queue de Norbert, mais ça me semble un peu compliqué. Je me dis que je vais tenter. Cela fait 10 mn quon est allongé et on va rester là jusquà ce quil fasse nuit. Je commence à caresser lentrejambe de Karine et à ma grande surprise, elle entrouvre les jambes.
Je lui caresse le clito, qui est assez saillant, et très vite je sens à nouveau son bassin imprimer des mouvements ondulatoires.
Norbert et Augustin se redresse et se mettent de chaque côté de Karine et lui prenne chacun une jambe et la relève en lécartant. Je continue à lui titiller le clito, puis je sens leurs doigts lui tripoter les lèvres, la vulve. Il commence à la doigter à tout de rôle. Jinsiste sur son clito. Elle remue encore plus.
Augustin, sadressant à Norbert :
- Tu pourrais peut-être la prendre toi aussi.
Karine :
- Oh non, non. Elle est trop grosse. Ca ne rentrera jamais. Non, non.
Moi :
- Ben on pourrait essayer, juste pour voir. Juste à lentrée à la rigueur, juste pour te masser les lèvres.
Norbert me regarde avec un air complice. Il ma compris.
- Oui on peut essayer, juste à lentrée, tout doucement, à la rigueur le bout de mon gland, tu verras bien si ça le fait ou pas ?
Moi :
- Pa ni problem.
A lidée de pouvoir tenter le coup, je vois mes deux antillais se mettre à bander, ce qui a pour effet de me faire bander à mon tour ( ???).
On prend des serviettes quon place sous les fesses de Karine pour la rehausser. Norbert sagenouille devant elle et enfile 2 préservatifs (va la masse de sa bite, un seul pourrait craquer) en mettant beaucoup de gel. Il beurre le minou de Karine abondement et rentre le bout de la bouteille dans sa chatte et appuie plusieurs fois dessus. On voit du gel ressortir.
Karine :
- Ah cest frais, ça fait du bien. Ca me fait peur quand même votre truc là. Ca ne va jamais rentrer.
Moi :
- On verra bien. Si ça rentre pas, cest pas un drame. Penses à prendre du plaisir, cest tout.
Norbert et moi tenons les jambes de Karine bien relevées et écartées. Norbert savance et pointe son gland, enfin son, son, son je sais pas quoi car vu la grosseur, je sais pas si le mot gland est adapté, mais bon. Il pointe donc son gland juste au ras du trou de Karine. Il tient fermement sa queue en main et donne de tous petits coups de rein histoire de commencer à détendre la vulve et à la préparer doucement au terrible assaut. Karine y met du sien, et souffle doucement, elle se caresse elle-même le clito tout doucement. Nous voyons les tissus se détendre gentiment, puis au bout quelques instants, nous voyons le gland qui est rentré à la moitié et à linstant daprès, comme aspiré, le gland disparaît complètement. On ne voit plus que le prépuce de Norbert. Karine a juste fait un petit râle de rien.
Moi :
- Alors tu vois, le gland est rentré. Cétait pas si terrible que çà quand même ?
Karine :
- Cest vrai, je croyais que ça aurait été pire. Enfin, Augustin ma bien préparé avant aussi. Ma ptite chatte a déjà pas mal morflé quand même.
Augustin :
- Morflé ? Cétait pas bon ?
Karine :
- Ah si, mais ce que je veux dire, cest que tu y es pas aller de main morte, même si ça été denfer.
Norbert att de ses immenses mains le bassin de Karine, histoire de la maintenir fermement. Puis je le vois basculer doucement sur ses genoux et avancer son bassin. Sa queue sengouffre plus profondément.
Apparemment Karine ne dit rien. Je vois les centimètres de chair noire disparaître dans la chair blanche et légèrement poilue de ma femme. Norbert avance très doucement. Il est super ce mec. Déjà la moitié de rentrée, et je vois le bas ventre de Karine se gonfler. Il doit tout pousser la dedans. Je me dis : cest dingue ce quune femme peut se détendre et encaisser. Le tour de la queue de Norbert est proche en équivalent dun gobelet blanc en plastique dans sa partie la plus large au ras du pubis. La chatte de ma femme avale les centimètres de bite apparemment sans problème. Je nen reviens pas. Je regarde Norbert interrogatif. Il semble tout aussi surpris tout comme Augustin.
Moi :
- Alors Karine, ça va ? Ca rentre§
Karine :
- Oui, jai limpression dêtre bien remplis. Ca tiraille, mais bizarrement, cest agréable en même temps.
Elle se relève et regarde son entre jambe ou il reste un tiers dun gros bout débène à rentrer. Norbert recule de quelques centimètres, remet du gel sur le préservatif, et recommence sa plongée en avant. Il commence à imprimer des petits mouvements de va et vient, léger, sournoisement je dirais même. Karine commence à gémir et à haleter doucement. Elle lâche son clito pour se tripoter les seins quelle remue lourdement comme pour les soupeser. Elle ferme les yeux et ouvre la bouche. Sa respiration devient légèrement haletante. Je vois désormais le poil de la chatte de ma femme se mêler au poil du pubis de Norbert. Nous y sommes presque. Je me dis intérieurement : elle pourra dire quelle sest fait vraiment défoncer la ptite salope. Je men veux de ces mots, mais nous sommes dans la folie du moment de sexe que nous partageons ensemble.
Norbert se redresse et montre, en chevalier glorieux, son exploit. Il se ravise et dit :
- Bon on y est presque. Plus que quelques centimètres. Jai limpression dêtre au fond. En terme montagneux, je dirais, il faut dépasser le col !
Il tape des petits coups légèrement violents, mais pas trop, avec la régularité dun métronome. A chaque coup de semonces, Karine dit : ah, ah, ah. Ils sont bien en rythme. Régulièrement, Norbert se redresse pour montrer sa progression et il progresse le bougre. Bientôt, le compte y est. Tout est rentré. Il cambre les reins et montre son exploit. De mon côté, je devine la chatte distendue, ravagée, défoncée, malmenée, mais excitée, humide, chaude que ma femme ressent.
Norbert rentre bien ancrée à fond dans ma femme, tel un mat soudé à son bateau. Il remue son bassin en décrivant des cercles comme sil voulait encore plus détendre la chatte déjà complètement déformée de ma femme et comme si il voulait faire encore de la place pour en mettre plus gros ou plus long.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, Karine râle de plus en plus et jai limpression quelle recommence à vivre ce quelle vient de vivre il y une heure avec Augustin. Lexcitation la gagne. Je me dis : Yes ! Ca va donner !
Norbert commence tout doucement son va et vient. Il commence à limer doucement ma femme. Juste 2 ou 3 centimètres de queues qui ressortent et re-rentrent à chaque fois. Bien entendu, le nombre de centimètres sallonge au rythme des râles, gémissements, et onomatopées en tout genre que Karine commence à nous débiter.
Les centimètres qui rentrent et sortent sallongeant, le chemin devient de plus en plus facile pour cet engin pourfendeur de chatte.
Norbert demande à Karine :
-As-tu déjà éjaculé ?
Karine, entre deux respirations :
- Quoi ? Cest les mecs qui éjaculent !
Norbert :
Non les femmes aussi. Surtout les vaginales, car en général, cest du vagin que ça part. Ca te dirait dessayer, cest intense comme plaisir.
Karine :
- Pas pire que tout à lheure avec Augustin !
Norbert :
- Cest rien à côté dune éjaculation féminine.
Karine :
- Bon allons-y, je suis plus à ça prêt. De toute façon, cest trop bon, alors tant que jai pas mal, je veux bien essayer.
Augustin commence à frotter le clito de Karine.
Karine, en pleine lucidité :
- Ben je croyais que cétait avec le vagin que ça marchait
Norbert :
- Oui, mais avec le clito, ça amorce, et cest mieux, cest plus fort, et plus facile à faire.
Norbert commence à limer Karine de plus en plus vite, je vois ses queues rentrer et sortir à un rythme effréné et je me demande même comment ma femme peut supporter de tels assauts mais elle a lair dapprécier. On la croirait dans les vapes, dans un autre monde. Les yeux mi clos, elle se pelote toujours les seins.
Augustin frotte du bout des doigts la région du clito, et semble maltraitée, toute cette région comme sil voulait y mettre le feu. Il le fait à un rythme de plus en plus rapide : il sarrête jute par moment le temps de mettre partout dans cette zone une bonne pichenette de gel et reprend de plus belle. 2 ou 3 fois Karine a essayé de le faire arrêter, mais il repousse ça main, et lui dit de se laisser faire. Norbert tient fermement Karine par le bassin et ce nest pas un problème pour lui, vu sa corpulence, sa masse et la taille des ses mains. Karine ne pourrait se défaire de cette emprise même si elle le voulait. Maintenant, cest Norbert qui fait aller et venir la chatte de Karine sur sa bite raide et énorme. Cest incroyable la maîtrise du geste. Je vois maintenant la chatte de ma femme qui expulse cet gourdin noir jusquau gland et le ravale aussitôt.
Augustin :
- Alors, Norbert, elle est bonne ?
Norbert :
- Putain, oui. Ca cest dla chatte. Rarement vu une salope pareille. Non mais regarde moi çà, elle gobe tout, jusquaux couilles.
Norbert a de plus en plus de mal à continuer de branler la région du clitoris tellement Karine est remuée, ballottée dans tous les sens par Norbert qui la tient fermement.
Karine :
- Jai envie de faire pipi. Arrêtez. Vite, je vais finir par pisser sinon. Allez, je vais finir par vous pisser dessus merde§
Augustin à Norbert :
- Cest bon, ça vient. Tinquiètes Karine, laisses toi aller, cest ça ton envie de pisser. Cest parce que tu vas bientôt éjaculer. Alors vas-y lâches toi, pisses toi dessus.
Karine :
- Vous êtes sur ? Jai vraiment envie de pisser.
Je me branle en regardant ma femme en transe. Elle se contorsionne dans tous les sens et Norbert use de toute sa force pour la maintenir en position et continuer son va et vient infernal tel un piston de voiture de 300 chevaux. Augustin a passer une main sous les fesses de Karine pour la maintenir aussi en position et lui donner un appui le temps de continuer à lui massacrer le clito.
Karine :
- Je sens que je vais pisser. Ca vient, je vais me lâcher.
A chaque coup de butoir, je vois le ventre de Karine se gonfler. Elle gueule, râle, gémit, se contorsionne comme si elle était démente : de son côté Norbert la contrôle, la bloque, lui assène des coups de butoir, et la contraint à venir se coulisser sur ce membre infernale qui lui écartèle la chatte, la défonce, mais qui va lamener à une super jouissance.
Norbert, qui devient cru :
- Karine, putain, lâches toi. Vas-y, tu la sens ma queue qui te ramone à fond, tu le sens ton clito qui va exploser, hein ?
Karine :
- Oui je suis votre chose, baiser moi, faites moi jouir, ah, cest bon, je vais pisser, ça vient !
Norbert :
- Oui cest çà, je sens ta chatte se contracter, elle me comprime la bite, vas-y, lâche prise, putain ma queue est toute serrée.
Norbert maintient Karine encastrée à fond sur sa bite, elle se contorsionne encore car elle sent son vagin, enfin tout son intérieur se durcir.
Augustin libéré des mouvements de Norbert fait aller et venir sa main dans tous les sens sur le clito de Karine, il lui massacre les lèvres, le clito.
Norbert mordonne :
- Mets lui 2 doigts dans le cul et remue les bien pour masser le fond !
Je mexécute.
Karine :
- Ah oui, ça y est. Ahhhhhhhh. Ouiiiiii je vous pisse dessus. Tienssss.
Et nous voyons Karine se raidir, bombé le torse, et plusieurs jets de cyprines expulsent violemment de son corps et inonde la main dAugustin, trempe le torse et la queue de Norbert. Jai senti avec mes doigts la violence de sa jouissance. Norbert râle et je le vois agité par des soubresauts. Je me doute quil a jouit. Je regarde de côté et je vois quAugustin a balancé son sperme sur la serviette. Quant à moi, jai joui quand jai senti dans mes doigts le bonheur quavait ressenti ma femme avec cette nouvelle découverte.
Nous restons avachis quelques instants. Nous nous remettons de nos émotions. La fin de journée approche et la nuit tombe vite sous ces tropiques. Nous buvons un coup et regagnons le parking tous les quatre. Norbert propose de nous laisser son numéro car si on veut, on pourrait remettre ça avec quelques potes à eux avant notre départ. Nous ne sommes pas très chauds : cela fait juste quelques instants que nous venons de prendre un pied denfer. Nous gardons le numéro de téléphone. On verra
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