Merci Patron
Merci patron !
Je suis un garçon. Javais 22 ans, javais mon BTS assistant de gestion en poche et hélas navais pas trouvé demploi depuis plus dun an. Je réponds à une annonce dune PME pour être secrétaire de direction. Je suis reçu à lentretien par le dirigeant de la boite. Dans un premier temps, il évoque le travail à faire, me fait parler de mes compétences. Javais limpression de terminer mais la conclusion de lentretien nous mène à cet échange :
- Je nai jamais eu de secrétaire homme, pourras-tu faire tout ce que fait une femme ?
- Oui, je ne vois pas pourquoi
- Les femmes savent faire le café et me lapporter quand je suis en négociation avec un client.
- Je peux aussi le faire
- Les femmes restent pour travailler entre midi et deux pour avancer leur travail
- Je peux aussi le faire
- Et surtout les femmes font tout pour que leur patron soit toujours satisfait.
- Je my efforcerai Monsieur
- Dans toutes les situations ?
- Oui, bien sur Monsieur.
- Bon, on va signer un CDD et si tu donnes satisfaction, on le transformera en CDI.
Jétais très heureux car ma situation financière était devenue critique et javais vraiment besoin de travailler. En sortant, je remarquais que le patron mavait tutoyé en fin dentretien mais à mon âge, cest compréhensible.
Le boulot avait commencé et le patron ne manquait pas de me faire des remarques que je trouvais plutôt équivoque du style :
- Ma secrétaire a de belles fesses bien rondes
- Tu as un beau jean, mais ce serait mieux sil était plus moulant.
- Dis moi, tu as une copine ou un copain ?
Un jour, mon patron est allé faire du sport en salle entre midi et 14h. En revenant, il prend une douche et mappelle. Il mexplique quil doit aller en rendez-vous et que son slip est trop transpirant, il minvite à lui prêter le mien ! Il me dit de me changer dans son bureau, je me tourne pour enlever mon boxer.
« Beau petit cul, ça fait envie ». Je rentrais chez moi sans rien sous mon pantalon. Toujours un peu surpris par les remarques du patron et du cadeau qui suivait. Le lendemain, un paquet cadeau sur mon bureau contenait un string et un jock strap. Quand je vois mon employeur, il me demande dessayer mes tenues si elles me plaisent et ajoute « cest mieux quun boxer pour une secrétaire ». Pour satisfaire M. D (le patron) et surtout obtenir mon emploi, je nose pas refusé. Je me change dans son bureau. Il sapproche de moi et me caresse les fesses nues. Que mest-il arriver, je bande et dans cette tenue, ça se voit. Là, M. D nhésite plus, il sapproche de moi et membrasse, une vraie soupe de langues. Puis il me dit que son épouse naime pas sucer et se défait le pantalon. Je tremble de peur mais je bande à fond. Je ne peux donc refuser de magenouiller devant lui et prendre cette magnifique queue en bouche. Je lui décalotte le prépuce.. Il me laisse le temps de la contempler. Jadmire cette rigidité, cette longueur, cette dureté, ses veines qui lentourent. Je le prends en main et dans ma bouche. Je navais eu droit dans ma vie sexuelle quà quelques fellations de mes copines mais javais compris le bonheur que procure une turlute. Je me mets à sucer, à baver sur le gland que javais décalotté. Je le sors de ma bouche, descend en léchant la tige et prend en bouche ses grosses couilles une par une. M. D me dit « je crois que tu vas signer ton CDI ce soir ma belle ». Cette phrase ma donné limpression de me prosti. Je léchais et suçais cette tige pendant ½ heure (javais un réveil en face de moi). Je trouvais délicieux ce gland bien baveux. Je bandais en continu. Je ne suçais plus pour le contrat mais bien pour le plaisir. Je métais transformé de putte en saloppe. Le patron ouvre un tiroir, sort un tube de lubrifiant, me fait mettre à quatre pattes sur la moquette. Il me graisse le cul par un doigté tendre. Je trouve ça bon, et le montre en écartant largement mes cuisses et en me cambrant.
« Tu nes pas sauvage » lance t-il ? Jai du plaisir, cest un bon patron très apprécié, il est doux avec moi, il mexplique maintenant que sa femme ne veut pas être sodomisé et que pour un patron, cest important de tout pouvoir faire sexuellement. Jadmets sa thèse. Cest lui qui sallonge sur le dos. Je monte à califourchon sur son corps pour mempaler très lentement sur son membre bien développé. Cest moi qui choisis le rythme des va et vient. Il marrête pour me faire changer de position. A nouveau à 4 pattes, cette fois il se défoule à grand coup de butoir. Ses couilles tapent sur les miennes. « Je tengrosse » me dit-il en poussant quelques gémissements. Ma queue lâche quelques giclées. Jai joui en même temps que M.D.
Jai dû nettoyer la moquette pour que personne ne saperçoive de ce qui sétait passé. Les jours suivants, je passais souvent sous le bureau entre midi et 2. Pour ne pas tâcher la moquette, javalais sa crème bien épaisse, il aimait dailleurs beaucoup que javale. Quelques fois, il me positionnait sur le dos, sur le bureau et se soulageait dans mon petit trou.
Cela a duré ainsi une année environ et là il me convoque dans son bureau et mexplique quun client qui vient dAthènes doit venir récupérer un contrat très important vendredi soir et le rapporter signé lundi matin. Je dois moccuper de réserver une suite en ville et faire la visite de la ville avec resto et boite si nécessaire pour occuper le client. Quand tout est prêt, jinforme M. D. Cest là quil mavoue que le client est gay et que je ne dois rien lui refuser pour ne pas perdre le marché. Jai compris le week-end qui mattendait. Jaccueille Georges, la cinquantaine, le conduis à lhôtel et lui fournis le contrat. Nos chambres communiquaient. Il me demande de rester dans sa chambre quand il va se doucher. Avant de sortir de la douche, il mappelle pour lui essuyer le dos. Je mexécute, quelques instants suffisent pour quil se tourne et que je vois que son phallus bien droit.
Inutile que je tergiverse, mon patron ma envoyé pour satisfaire le client. Je prends en main cette queue bien droite et la branle. Ses mains me conduisent à magenouiller et je lui taille une bonne pipe. Georges est circoncis, Cest la deuxième queue que je pratique, mais mon patron ma bien formé, je suce bien. Je prends chaque boule dans ma bouche, je remonte la tige en léchant, je salive bien en bouffant le gland, je tourne bien ma langue puis jaspire, je fais de bons fonds de gorge, je maide un peu des mains puis reprend lexercice en mettant mes mains sur ses fesses. Le bougre est résistant. Je commence même à trouver le temps long et avoir mal à la mâchoire. Au moment où je remonte en léchant la verge, je me prends quelques bouffées de sperme chaud. Il est plus liquide que celui de mon patron mais jen ai plein la gueule. Quelques instants de répit, je me douche et suis un peu frustré, mon patron me faisait éjaculer pour que je profite aussi. Georges ne sen inquiète pas. On mange en ville puis après une promenade, on rentre. Dès la porte fermée, Georges me prend dans ses bras, membrasse et me déshabille. Arrivé sur le lit, un long moment de caresses se passe. Georges nest pas aussi bien monté que le patron, sa bite même en érection est fine et beaucoup plus courte que celle du patron. Tant mieux, car on na pas de lubrifiant. Sur le dos, Georges me fait relever les cuisses et bien écarter les jambes. Il approche son buste, conduit sa bite à lentrée de mon orifice et je me prends son gourdin dans le cul. Jai compris que je dois me branler moi-même si je veux jouir cette fois. Au moment de jouir, il sort sa queue pour tout me déverser sur le ventre. Mon jus ajouté au sien font une belle quantité sur mon ventre. Georges ma encore baisé 2 fois dans la journée de dimanche puis il a signé le contrat, ouf !
En ramenant le contrat signé au patron, il ma donné 2000 euros en espèces, plus que mon salaire mensuel. Javais un peu mal au cul, mais la récompense était belle.
M. D me dit que plusieurs patrons ont besoin de ce genre de service avec des clients en semaine ou le week-end et que si cela mintéresse jaurais à chaque fois les mêmes émoluments. Depuis plus dun an, je gagne maintenant entre 8 et 10 000 euros par mois en 4 ou 5 nuits, je vous laisse compter le nombre de coups de queue que je prends. Tous les clients ne recommencent pas plusieurs fois dans la nuit. Je suis devenu une putte de luxe à mon compte et fais signer beaucoup de contrats. Je reste secrétaire à mi temps mais mon patron na plus besoin de se soulager au bureau. Après avoir divorcé, sa nouvelle compagne le suce bien et apprécie de se faire dégoupiller la rondelle. 3 Ans plus tôt, je nimaginais être homosexuel mais cétait avant de savoir que mon petit cul était une véritable tirelire. Merci patron !
admin
Jan. 31, 2023
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