Tatie Suzanne
Depuis le mois daoût jai entamé une relation avec une tante de ma femme.
Suzanne a 71 ans, boulotte, des seins généreux. Cela a débuté sans préméditation. Comme souvent quand tu veux embrasser quelquun sur les joues il y a confusion et les lèvres se touchent. Cest ce qui sest produit avec sa tante.
Je fais « oups ! » puis en rigolant je rajoute « cest plus simple comme ça ! » et je lui pose un baiser sur les lèvres.
Au lieu de protester, Suzanne a pouffé et dit « quel couillon ! » en riant mais la graine était semée.
Rien ne sest passé durant le dîner mais je lembrassais à nouveau sur la bouche au moment de partir. Cette fois elle ne rit pas et comprit que je souhaitais aller plus loin.
Suzanne nayant pas protesté lors de ce dernier baiser, je pris cela comme un acquiescement.
La semaine suivante cétait à son tour de nous rendre visite. Elle devait arriver le samedi soir pour repartir le dimanche soir.
En fait, elle se présente à 14h00. Sylvie est au boulot et ne reviendra que vers 20h00.
- Sylvie nest pas là. Lui dis-je, étonné de la voir si tôt.
- Je sais.
Je comprends aussitôt et la prenant dans mes bras je lembrasse sur la bouche.
Après un très long baiser où nos langues sunissent et fouillent nos bouches respectives je lui montre sa chambre.
Jais terriblement envie delle et cela est réciproque mais je me suis masturbé devant internet et je ne suis pas sûr dassurer aussi, plutôt que de la coucher sur le lit et risquer un fiasco je lui propose de jouer au jeu de loie porno qui peut nous stimuler agréablement.
Suzanne accepte et je vais le chercher. En passant je madministre un viagra 100mg qui devrait maider un peu.
Son premier gage la fait ôter son corsage. Hummm quelle poitrine !
Quand mon pion mimpose de lembrasser sur la bouche, je ne peux résister et lui caresse les seins en même temps.
- Eh ! Ce nest pas du jeu ! Tu triches !
La partie dure une heure entre effeuillage, baisers, caresses et autres léchages.
Quand enfin nous arrivons à la case 63, nous sommes nus, les caresses et le viagra ont fait leur effet et je bande suffisamment pour impressionner Suzanne.
Suzanne a gagné la partie et la case 63 nous enjoint de rejoindre la chambre pour faire lamour.
- Allez viens mon drôle ! me dit-elle avec son accent charentais.
Vingt ans nous séparent. Collé derrière elle, lui pétrissant les seins, je la sens onduler du cul contre ma queue tendue. Je lembrasse dans le cou. Suzanne ronronne, mencourage, guide mes caresses pour obtenir un plaisir maximum.
Je la retourne et tandis que nos bouches sunissent et que jemprisonne son sein, je sens sa main saisir ma queue et commencer à la branler.
Gourmande et totalement impudique, elle se couche, écarte les cuisses et mordonne de la baiser. Elle est trempée. Ma queue est comme aspirée. Je lime en elle, ses jambes à 90 degrés relevées contre mon torse. Dans cette position jai tout le loisir de voir ma bite aller et venir dans sa chatte. Je caresse son ventre, ses cuisses, ses seins
Après quelques minutes je me couche sur elle sans cesser de limer dans son vagin et nous nous embrassons avec avidité.
Suzanne passe sa main entre nous et me caresse les couilles.
- Je vais jouir Suzanne !
- Oui, crache-moi tout !
Quelques coups de reins
je sens que je vais gicler
je sors, Suzanne sempare de ma bite, je lime dans sa main et ça y est !... mon sperme englue sa main et se déverse en saccades sur son ventre.
Je me redresse. Suzanne étale mon sperme jusque dans sa toison et sur sa chatte.
- Viens me lécher ! ordonne-t-elle.
Je ne me fais pas prier et me voilà, le visage enfouit entre ses cuisses, à lui lécher la chatte engluée de sperme avec gourmandise.
- Oh, ce nest pas bien !
- Oh non ! pas bien du tout Suzanne !
- Viens !
Je remonte contre elle. Elle se pelotonne dans mes bras. Nous nous embrassons tendrement.
Un coup dil à la pendule la rassure :
- On a encore du temps Daniel ?
-
oui, au moins trois heures
Suzanne me renverse doucement et me chevauche.
- Laisse-moi faire chéri, je vais te remettre en état
Suzanne est une experte. A force de caresses savantes et sans doute grâce au viagra, je bande de nouveau.
- Je te veux dans mon cul mon tout beau !
- A tes ordres salope !
A 4 pattes, la croupe offerte Suzanne me laisse lui préparer le cul et lui dilater la rondelle.
Je promène mon gland sur ses fesses et le guide vers lanus ouvert.
Hun !... je lencule
je lime en elle. Le haut de mes cuisses claque sur ses fesses. Hummm oui
bien à fond
- Ouiiii !!! encule-moi salop !...
- Oui, gueule putain !... plus fort !!! excite-moi !...
Suzanne sait y faire. Elle crie, hurle, gémit, revendique puis supplie
Je maffale sur son dos. Elle sallonge sur le ventre sans que je cesse ma sodomie. Je lui martyrise lanus, lui arrachant des cris de jouissance. Je passe la main devant et lui pétris le pubis et pars à la recherche du clito que je titille.
Le cul défoncé, le clito caressé, embrassée dans le cou Suzanne parvient enfin à lorgasme quelle hurle avant de retomber molle comme une poupée de chiffon.
Encore quelques coups au fond de son cul et jexpulse les quelques gouttes de sperme que mes couilles avaient eu le temps de produire
Il nest pas loin de 17h00. Une petite toilette ne serait pas un luxe.
Jentraine Suzanne vers la salle de bain pour une douche sensuelle
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!