Le Livreur
Ce mercredi-là, un meuble devait mêtre livré.
Je lisais tranquillement un (union), allongée sur le canapé et des images excitantes flashèrent dans ma tête.
Jaime rester nue chez moi.
La sonnerie de la porte retentie.
Jenfilais rapidement un top et me précipitais pour ouvrir presque nue.
Cétait Alain qui passait en surprise pour que je lui raconte mes vacances.
« Hummmm Bonjour Maryaline quel accueil »
Je rougie légèrement voyant que mon top cachait mal ma nudité.
« Entres, jattends des livreurs. »
Il rigole et me dis :
« Dans cette tenue tu vas te faire violer chérie »
Il voit alors que jai une revue à la main.
« A oui
Je vois mieux pourquoi tu es dans cette tenue. »
Il me dit :
« Et si jattendais avec toi les livreurs pour te jeter en pâture ? Tu resterais ainsi sans rien dessous cet après-midi pour accueillir les livreurs ? »
Je le regardais étonnée mais pas rebutée par lidée.
Je lui répondis :
« Cest cela, oui !!! Dans tes rêves !! »
Mais lidée faisait son chemin.
Alain se mis à me tripoter comme jaime.
Mon sexe qui était déjà bien humide.
Nue, je lui dis :
« Non, pas maintenant, les livreurs peuvent arriver dune minute à lautre ! »
Je me baissais pour remettre mon top lorsquAlain sen empara brusquement et me regardant droit dans les yeux :
« Non, non, pas ça ! »
Je lui souris et dit :
« Tu es un sacré coquin, toi, alors ! »
Il me dit :
« Non, non, je suis désolé chérie ! Tu resteras nue »
Lair faussement fâché je lui lançais :
« Sache que je le fais mais ça ne me fait rien ! »
Une heure passa.
Puis un camion se gara devant notre maison.
« Les voilà, laisse-moi me rhabiller sil te plait. »
Lui dis-je.
« Que nenni. A poil tu es. A poil tu les recevras comme la salope que tu es. »
Je le regardai avec un petit sourire timide et baissais les yeux rougissante et soumise.
On sonna.
Je fis signe à Alain daller ouvrir.
Alain me fit signe que non et mintima lordre de le faire. Provoquante je mexécutais et prononçais un :
« Bonjour messieurs, Nous étions impatients ! Entrez ! »
« Je vous présente mon ami »
Les livreurs restaient éberlués par cet accueil curieux.
Alain les saluât sans rien dire.
Ils se regardèrent, étonnés, avec un petit sourire au coin des lèvres.
Le plus âgé avait la cinquantaine, le visage buriné, lallure dun ancien militaire, et était large dépaules et musclé avec un léger embonpoint.
Lautre était jeune, environ 25 ans, grand et plutôt mignon. Leurs regards ne pouvaient quitter ma nudité.
Je vis lhomme plus âgé donner un coup de coude au plus jeune et du menton.
La seconde daprès, ils regardèrent Alain et il leur souris dun air entendu. Puis, ils dirent :
« Nous allons chercher le meuble dans le camion. »
« Allez-y, je vous attend pour le pourboire. »
Quand ils remontèrent avec le meuble, Ils faillirent le lâcher.
Entre temps Alain mavait demandé de le sucer et jétais à 4 pattes à le pomper les fesses bien en vue des livreurs.
Ils installèrent le meuble tout en reluquant de côté le spectacle que je leur offrais.
Alain me fourrait la bouche vigoureusement.
Les livreurs regardaient sans oser sapprocher.
Il senfonçait tant dans ma bouche que des larmes coulaient sur mes joues.
Jétais honteuse mais jaimais cette situation.
Alain se lâche au fond de ma gorge me créant des hoquets
Les livreurs nen croyaient pas leurs yeux ni leurs oreilles quand Alain leurs dis :
« Payez-vous messieurs ! Cette pute est à vous. Elle adore se faire mettre par des inconnus »
Hésitant au début, ils eurent vite fait de se servir de moi au grand bonheur dAlain qui jouait le voyeur maintenant.
Ils étaient si excités qui en étaient presque brutaux.
Mais cétait pas pour me déplaire un peu de rudesse.
Jen suçais un et masturbais lautre qui me triturait un sein à men faire mal de ses mains rugueuses.
Puis en râlant leurs jouissances, ils maspergèrent de leurs foutres.
Ils se rhabillèrent et partirent en remerciant Alain de leurs avoir laissé un si agréable pourboire.
Comme si rien ne cétait passé, Alain me dit :
" Alors la Corse cétait comment ? »
Encore sous lémotion et couverte de sperme, je le regardais béate sans répondre.
Là, il éclatât de rire.
« Tu sais que tu fais une sacré pétasse toi ».
Piquée au vif :
« Salopard tes bien content davoir une salope comme moi sous la main »
3te vexe pas chérie. Tu sais bien que je tadore »
Et il membrasse à pleine bouche.
« Mince faut que jy aille. Tu me raconteras la Corse plus tard ».
Le regardant partir, je restais là à me sucer les doigts plein de sperme.
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