Leslie Ar09

Leslie AR09 - Les confessions de Catherine, suite

Notre séjour se passait entre plage et lit, caresses du soleil et caresses mutuelles, sexuellement nous nous entendions à la perfection et Jade se montrait de plus en plus coquine.
Un jour au petit-déjeuner, elle me dit :
- Tu sais, notre aventure sur la plage m’a bien plut et nous pourrions profiter d’être ensemble pour aller à une petite soirée, heu, disons spéciale.
- Tu veux dire que tu aurais envie d’aller à une soirée échangiste et avoir des rapports avec d’autres femmes ou même des hommes.
- Heuhh, oui, dit-elle d’un air un peu gêné, j’ai tellement de désirs…
- Dois-je comprendre que tes envies sont urgentes.
- Non, tu me combles, mais je t’avoue qu’un bon membre me ferait du bien, l’aventure sur la plage à réveiller ma libido.
- Mais, dis-je, je pensais que tu étais bien avec moi.
- Tu sais je t’aime et je suis très heureuse avec toi, mais j’ai envie de profiter de la vie et de ces instants de liberté.
Jade me sentit chagrine, alors elle rajouta :
- Ça te déranges de penser me voir dans d’autres bras que les tiens ?
- Un peu, avouais-je.
- Mais tu en profiteras aussi, il ne faut pas que nous soyons jalouses l’une envers l’autre, nous nous aimons et ce sera juste un peu de piment dans notre relation et je t’assure que cela ne changera rien dans notre relation.
C’est vrai que j’avais aussi envie d’un peu de piment, et puis une soirée cela ne nous engageait pas trop et nous pourrions en tirer beaucoup de plaisir.
Jade rajouta, comme pour me faire voir mes divergences :
- Et puis tu as aimé l’autre jour, je crois que tu as aimé te faire sodomiser, et chaque soir tu ne te refuses pas à moi pour ce genre de relations.
- Oui, je te l’avoue, j’adore que tu m’encules avec le gode-ceinture, mais je suis bien chagrine.
- Je te resterais, et puis tu vas peut-être aimer et en redemander…
- Bon, dis-je, je vais voir ça.

- T’es un amour, dit Jade en m’embrassant à pleine bouche.

Dans la matinée j’ai téléphoné à Audrey, surprise dans un premier temps que je lui téléphone alors que je n’avais pas répondu à ses messages, mais elle fut enchantée de ma proposition.
- Justement j’ai une amie qui organise une petite partie demain soir, samedi.
- Super, dis-je, et tu crois pouvoir nous faire inviter.
- Tu sais, deux belles femmes seules et ouvertes d’esprit, ça ne se refuse pas pour ce genre de soirée, en plus elle habite une jolie villa où elle donne ses réceptions privées, c’est tranquille et nous ne serons pas dérangées.
Audrey m’expliqua comment nous rendre à cet endroit, et me dit :
- A demain, vingt heures, faites-vous belles.
- A demain Audrey.
Jade fut heureuse de savoir que nous allions sortir demain soir, et toute la journée elle ne tint plus en place.
Elle profitait de chaque instants pour que je l’embrasse et que je la caresse, et même se caressant elle-même parfois devant moi.

Le lendemain après s’être faites belles et désirables, nous nous sommes rendues en voiture à la villa en question.
Nous avons garé la voiture et nous nous sommes rendues tranquillement vers la porte d’entrée de cette villa bourgeoise.
Je sentais Jade excitée comme une puce, en montant les marches du perron
- Catherine ?
- Oui, ma chérie.
- J’ai envie, je n’en peux plus, il faut me soulager avant de rentrer !
- T’es folle on pourrait nous surprendre.
- Alors, je vais me donner un peu de plaisir, dit Jade.
Elle m’entraina dans le coin le plus sombre de la terrasse et aussitôt elle releva sa jupe en disant :
- Préviens-moi si l’on vient !
Elle se mit à se caresser en appuyant ses fesses sur la balustrade de la terrasse et très rapidement elle se mit à gémir de plaisir, je jetais un coup d’œil vers Jade pour la voir se caresser dans une position étrange, mais l’excitation la gagnait rapidement.
- Dis-moi ce que tu fais et ce que tu ressens, dis-je, ça va m’exciter, lui demandais-je.
- Je suis appuyée contre la balustrade et sens le métal de la barre contre mon anus, il est un peu froid et tout en me caressant le clitoris, je me frotte contre les torsades, c’est trop bon, d’ailleurs quand je me cambre encore un peu je peux faire glisser la barre dans ma fente.
- Tu dois être mouillée ?
- Je suis trempée, et toi tu te caresses ?
- Non, mais j’ai très envie.
Un grand break noir entra dans la cour, faisant crisser les graviers et se gara. Le conducteur que je n’avais pas vu, coupa le moteur.
- Merde, dit Jade en se réajustant.
Une belle femme, aux cheveux noirs descendit de la voiture, elle portait un tailleur noir et ses longues jambes étaient gainées de noir également, et une autre femme en tailleur rouge la suivit, blonde aux cheveux longs et très mince.
Le chauffeur descendit et ensemble, ils se dirigèrent vers la porte d’entrée, sans un regard dans notre direction et certainement sans nous avoir vu.
Un homme leur ouvrit et après avoir embrassé les deux femmes, il fit entrer les trois personnes qui disparurent à l’intérieur de la maison.

Une autre voiture entra dans la cour et se gara près de la précédente, un homme descendit et après avoir fait le tour de la voiture, il ouvrit la porte du passager.
Audrey, en descendit, elle était vêtue d’une robe rouge moulante, avec des bas-résille et de chaussures rouges aux talons vertigineux. Ses cheveux noirs contrastaient avec sa peau blanche et sa tenue rouge, elle était superbe.
Elle embrassa l’homme sur la bouche et ils se dirigèrent vers l’entrée de la maison.
C’est une femme vêtue en soubrette, qui leur ouvrit et qui les fit entrer.
Après avoir attendues quelques instants nous avons été introduites dans la maison par la femme habillée en soubrette, juste un petit tablier cachait sa nudité avec difficulté.
Audrey et la femme en noir étaient en train de discuter en buvant du champagne, avec l’homme qui conduisait la voiture et une femme qui devait être certainement la maitresse de maison.
- Il est beau, me souffla Jade, j’aimerai bien qu’il s’occupe de moi tout à l’heure.
- Attends, je pense qu’il t’a remarqué, dis-je.
- J’espère, je suis tellement excitée, je mouille comme une folle.
Audrey nous a fait signe de nous rapprocher et elle a fait les présentations, puis nous sommes parties vers le buffet, pour faire connaissance avec les autres invités et déguster quelques amuse-bouche.
- J’ai hâte qu’on s’occupe de nous ! Me dis Jade.
Le début de soirée se passa très tranquillement, nous étions quatorze personnes, six femmes et six hommes, plus notre hôte et la servante habillée en soubrette.
Les conversations se faisaient devant le buffet en buvant du champagne.
Puis, accompagnée d’Audrey, notre hôte vint vers nous pour nous dire :
- Alors mes chéries, j’espère que vous vous plaisez dans ma demeure et j’ai hâte de vous voir tous en action…
Notre hôte, Diane, une belle femme d’une quarantaine d’année qui devait avoir beaucoup de succès auprès des hommes et certainement des femmes, regarda Jade en lui disant :
- Amuses-toi, tu es très belle !
Audrey, après avoir embrassé Diane, se rapprocha de nous et prit Jade par la taille pour l’emmener près d’un muret. Elle se colla à elle et l’embrassa à pleine bouche.
Puis délicatement elle remonta la robe de Jade sur ses hanches et glissa ses mains vers la chatte de Jade, en lui faisant poser une jambe sur le rebord du muret afin de la faire s’offrir encore plus.
Jade n’ayant pas mis de culotte se retrouva offerte à Audrey, et à tous ceux qui regardait Jade. Puis Audrey se mis à la masturber, en enfonçant deux doigts dans son sexe.
Jade ahanait et se cambrait sous la caresse devant Diane qui montrait sa satisfaction en disant :
- Voilà qui est bien, c’est un très bon début de soirée…

C’est le moment que choisi la femme en noir pour rejoindre Diane et ensemble elles s’installèrent dans un canapé, la soubrette tout près d’elles.
Dans un coin de la pièce deux hommes se faisaient sucer par deux femmes.
Trois hommes se dirigèrent vers Diane et la femme en noir, ainsi que l’homme que Jade avait remarqué, puis Diane me montra du doigt et ils se dirigèrent vers moi.
Sans un mot ils commencèrent à me caresser et à se frotter contre moi, puis un par un ils se dévêtirent ne gardant chacun qu’un slip ouvert, laissant leur sexe libre et bandé.
Un des hommes m’obligea à m’agenouiller devant les trois autres sexes dressés à ma disposition. Je me mis à sucer les trois sexes offerts sans me poser de question.
Audrey, tout en la doigtant, forçait Jade à me regarder et de leur côté la femme en noir se faisait faire un cunnilingus par la soubrette.
Diane regardait partout, l’air ravis.
Les hommes me tenaient la tête chacun leur tour, pour me forcer à les prendre complètement en bouche, parfois j’en suffoquais presque.
A cet instant je voulais qu’ils me prennent, qu’ils me sautent l’un après l’autre comme une chienne, j’avais le feu au corps.

Diane leur demanda :
- Elle suce bien ?
- Oui, elle se débrouille, elle en veut, dit un des hommes.
- Et bien elle en aura, et son amie aussi !

Je me suis retrouvée allongée sur la table du salon et j’ai vu que Jade se faisait prendre par un des hommes que je venais de sucer, tandis qu’Audrey se faisait sodomiser par un autre debout contre le muret.
Un des hommes me présenta son sexe tendu à mes lèvres et je me mis à le sucer, alors il prit ma tête entre ses mains pour me forcer à le sucer à fond.
Pendant qu’il me baisait la bouche, les doigts du quatrième s’activaient dans ma chatte et dans mon cul. L’homme que je suçait ne se gênait pas de me malaxer les seins, et aussi en triturant sans ménagement mes pointes.
J’étais offerte sur une table jambes écartées et une voix de femme me demanda :
- Alors, tu aimes te faire partouzer ?
- Ohhh oui, j’adore.
- C’est bon de sucer des queues ?
- Humm.
- Tu es une vraie salope !
- Oui, j’en suis une,
- Tu aimerais qu’on te prenne par tous les trous ?
- Ohhh oui, j’aimerais, mais...
- Tu vas te faire défoncer, petite chienne.
L’homme que je suçais explosa dans ma bouche et je ne pus dire mes craintes de me faire sodomiser par des sexes trop imposants.

A suivre…