Glissades
Il faut se méfier des sols mouillés dans les grandes surfaces. C'est mon aventure : hier, je faisais donc mes courses dans une grande surface quand d'un seul coup je dé sur le sol. J'aurais pu me faire mal, c'est sans gravité, j'essaie de me relever quand arrive une jeune femme responsable, d'après ce que j'ai compris plus tard, de plusieurs rayons. Heureuse finalement d'être aidée, je sens son parfum qui monte aussitôt au cerveau. C'est drôle d'être ainsi attirée par un peu de cannelle, de cèdre ou autre chose plus prégnant. Je me sens transportée ailleurs, vers je ne sais quoi de nouveau.
Elle s'est accroupie à mes côtés, ses mains m'entourent alors que je pourrais me lever seule. Ce n'est pas possible, elle le fait exprès quand ses mains sont sur ma poitrine. En plus je trouve la façon de faire agréable. En levant mon visage vers le sien, je vois son grand sourire.
Vous allez bien ?
Oui, merci.
Pouvez vous vous lever.
Si vous m'aidez.
Je demande sans le dire qu'elle s'occupe encore de moi. La voilà devant moi, ses bras sous mes aisselles qui force pour que je sois debout face à face. Une fois à peu près remise, elle entoure ma taille, me serre contre elle. Je me sens transportée dans un monde différent, à tel point que je suis prête à tout. Toujours me tenant contre elle, elle m'emmène vers un bureau.
Une fois qu'elle m'a assise, elle m'offre un verre d'eau. J'en bois la moitié avant de lui rendre le récipient. Un grand sourire comme pour me remercier, puis en prenant le verre elle retient ma main.
Je la regarde plus en détail ; une jeune femme de 25 ans, blonde comme ce n'est pas permis, des yeux pervenches et dessous un poitrine à donner des boutons aux mains qui ne peuvent pas la toucher. Elle est mignonne comme tout, trop sans doute, je me laisse prendre quand elle s'approche de moi, qu'elle se baisse à peine pour m'embrasser, comme ça, sans préliminaires, sur le bouche. Ma surprise est telle que je la laisse faire.
Je n'ai pas le temps de répondre qu'elle m'embrasse encore. Nos langues jouent comme si elles se connaissaient depuis toujours. Pour une glissade je m'en sors bizarrement, avec une bouche de fille sur la mienne, et en plus j'aime ça. Une découverte pour moi qui trimbale toujours des préservatifs dans mon sac, à coté du gode.
Comme dans un éclair je perçois la suite, je sens que je vais me laisser faire, comme ça, par curiosité, pour le fun. Je n'aurais rien à demander quand je sens une main passer sous ma cuisse. Pour moi c'est une attaque en règle non pas de ma vertu perdue il y a longtemps, mais de mon libre arbitre : elle ne me laisse réellement pas le choix. Je sens ce petit manque vers le vagin qui me pousse à accepter ce qu'elle risque de me faire.
Normalement quand un mec me drague, que j'accepte la suite, je m'arrange pour donner mon accord par un petit geste vers la queue, même si je le touche pas vraiment. Mais avec un fille je suis dépourvue. Je ne peux pas refuser ce qu'elle ne m'a pas proposé ; ce qu'elle risque de me proposer.....Je redoute la suite, je la veux, je ne sais plus.....
Elle ne me donne plus le temps de réfléchir quand sa main en passant par dessous trouve le chemin de mon intimité. Mes cuisses s'ouvrent pour laisser passer l'orgasme que j'attends finalement. Ses doigts se faufilent d'abord vers mon anus où ils passent sans toucher puis, caressent le périnée pour arriver là où je l'attend. Mon clitoris a gonflé quand elle le touche.
J'écarte bien les jambes : elle passe son autre main entre les cuisses. J'ai maintenant ma chatte emprisonnée par ses deux mains. Si elle change de main pour le clitoris, je sens l'autre sur l'anus.
Non, pas une main de fille à cet endroit réservé aux bites ou aux godes. Je ne peux rien dire : ma bouche est close par la sienne. J'aurais dis quoi, d'abord, qu'elle me faisait mal alors que je la laisse me caresser le cul avec plaisir.
Ainsi cette blonde magnifique me branle et le con et le cul, comme une double pénétration ou presque. Sa langue entre encore plus profond. Je suis comme une noyée qui cherche à sortir de l'eau quand je me décide à agir enfin, à essayer de la caresser aussi. Je trouve heureusement le bas de sa courte jupe. J'y trouve une cuisse dont la peau est douce. Je caresse cette peau comme pour me rassurer. Sans forcer je monte ma main, passe juste entre ses jambes. Elle les écarte légèrement pas assez pour que je passe facilement. En forçant un peu ma main arrive sur un sexe tout mouillé.
C'est le pouce qui trouve son point faible. Je caresse lentement le clitoris, j'entre aussi deux doigts dans le vagin, c'est plus facile que je le croyais : elle est trempée.
Elle oublier totalement ma bouche, je respire à peine un peu mieux. Je regarde son visage rayonnant de plaisir. Il faut croire qu'elle apprécie : ses yeux sont fermés, un peu comme moi tout à l'heure, juste avant de me laisser aller.
Je fais jouir une autre femme qui me rend la chose encore plus agréablement. J'ai en tête mon plaisir avec des deux doigts dans mon corps, celui de la main qui occupe l'anus en y entrant profondément et l'autre dans le con, directement enfoncé lui aussi à fond. Les mouvements alternatifs me font jouir presque aussi bien que quand j'ai deux pines en moi.
La voici qui commence à me déshabiller totalement. Je ne suis pas bégueule, j'accepte la chose avec le souhait de la voir aussi nue que moi. Elle n'attend pas que je m'occupe d'elle. J'ai enfin toutes sa poitrine à ma hauteur, avec ses seins qui au début semblent tenir par un soutien gorge transparent. Dieu que ses seins appelle mes lèvres. J'embrasse toute la poitrine, en commençant par les tétons qui bandent encore plus que les miens.
Décidément elle me donne des envies de la faire jouir encore et encore.
Nous sommes debout, moi appuyée les fesses contre son bureau, elle contre moi, nos seins se soudant, les bas ventre réunis dans une parfaite impudeur.
Je tiens sa tête entre mes mains, elle me fait tellement de bien que je renonce à bouger pour ne pas arrêter ce qu'elle me donne. Mes seuls petits mouvement de va-et-vient sur sa bouche ne la gênent pas du tout. Je suis sur le point de crier mon orgasme quand elle me fait coucher sur le sol, vient sur moi, prend ma chatte dans sa bouche, vient me donner la sienne. Un 69 de filles, extraordinaire.
Je suis envahie par son odeur de fille en rut. J'ouvre en grand la bouche comme pour avaler tout son sexe. Il est délicieusement parfumé. J'aime avant son futur orgasme qui fait qu'elle me donne une bonne dose de cyprine que j'avale comme j'avale le sperme de mes amants.
Elle relève la tête pour me dire :
Oui, continue, suces moi encore. Tu es la reine des salopes que j'ai connue, tu es la meilleure fille de ma vie.
J'en profite pour accélérer ma langue à laquelle j'ajoute deux doigts dans son cul de pute. Je ne puis me détacher de son corps que je trouve parfait, mieux que le mien. Même si je le voulais, je ne pourrais pas partir, elle me tient pas les fesses, les doigts plantés dans la raie.
J'avais pas mal d'amants ? J'y ajoute une amante que je vois plus souvent que la normale au moins deux fois par semaine chez elle ou chez moi. Nous somme indécollables, sauf qu'il me faut des bites alors qu'elle s'en passe mieux que moi.
Souvent, sachant où est son bureau je fais y faire un tour, court vêtue pour gagner du temps. Je l'ai trouvé un jour les jambes écartées sur son bureau, sa main sur le clitoris : elle se masturbait les yeux fermés, comme moi.
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