Par Un Autre !
Cest une belle journée, je presse le pas sous le soleil de midi . Les lauriers en fleurs me font une haie dhonneur, je vais rejoindre ma petite femme. Le séminaire pour lequel je métais éloigné du foyer, sest vu amputé de deux jours, faute danimateur, pris dun malaise en pleine séance.
Le moment dinquiétude passé laisse vite place à un sentiment de liberté, de quiétude, de sérénité retrouvée. Dès ce soir, ma jolie petite nana recevra mes hommages du soir !
Il est 14h, le train me dépose gare dAlès. Sur le quai, je croise de jolies filles, qui me mettent en appétit. Tout en mactivant sur le bitume surchauffé, je mimagine déjà faire la surprise à Nathalie, lenvelopper de mes bras amoureux, je ne la lâche plus, la couvre de baisers, jusquà ce quelle comprenne que mon désir sera le plus fort, et que son jeune et joli corps ne pourra que céder sous mes avances.
Je rêve de son joli nez qui me nargue, de son sourire qui minvite, de ses hanches qui me draguent,
mon sexe sanime et ma démarche sen trouve affectée. Jai mal et je suis ravi à fois. Je finis par trouver toutes les filles jolies.
Une belle brunette mattend à la maison, je limagine sur le canapé, lascive, impatiente, gourmande
je songe à sa belle toison brune, douce et bien fournie, à ses seins de jeune fille, fermes et généreux, je remonte le chemin des pins au pas de course, le portillon de la maison est resté ouvert, notre petit de 4 ans est encore à la crèche à cette heure, si je me débrouille bien
Je déverrouille la porte, pénètre dans lentrée, prudemment.
Je vais la surprendre.
Un ronronnement agace mes oreilles.
Cest un bruit que je reconnais : Le mouchard qui nous permet de veiller sur notre petit dernier, quand celui-ci fait la sieste, là-haut.
Une conversation sen échappe ! Cest la douce voix de ma belle brune
elle chante ?
non elle rit
ou plutôt ricane
puis semble soffusquer
contester quelque chose.
Je comprends quun homme est présent
là-haut
avec elle !
Un, copain que je connais ?
sa voix ne me dit rien
Silence
Puis ce qui me parvient aux oreilles me crucifie !
Nathalie ! sa voix
dont je connais la moindre des intonations, susurre en un souffle :
- Oh ! dis donc ! ,
mais tu es fou ! Non arrête
attends !
Je reste pétrifié, immobile, à laffut de ce que me rapportera le mouchard qui me fait face.
Il se déclenche à nouveau :
- si !
cest pas ça, mais quand même !
Oooh quest ce que tu fais !
Arrête ! .. je dois me préparer
pour les s, il est presque lheure
Hummm
Lhomme ne parle plus, il semble occupé .. je comprends tout
je ne bouge pas ..
Il est trop tard
jai mal ... mon sexe a fondu
je réalise
petit à petit.
Jen suis tout à fait certain maintenant, dans la voix de Nathalie, il y a du désir et je sais à quel point dans ces moments là, cette femme est désirable !
Jentends glousser dans lescalier
ils descendent
jai tout de même le temps de méclipser
dans la buanderie
pour ne pas fuir
pour me remettre un peu
pour réfléchir.
Nathalie passe devant moi, le chemisier défait les pommettes rosies, lémotion est perceptible mais elle reste digne, le port altier, de jolis restes de ses cours de danse dantan.
Lhomme lui emboite le pas, je me dis quelle le fuit
Ce type, sa tête me revient, je lai déjà vu, un beau mec, le genre - je suis bien fait et je le sais
Le teint halé comme il faut, une voix de baryton timbrée, que la nature semble avoir calibrée dans le seul but démouvoir la gente féminine et je sais que là, Nathalie peut y être plus sensible quune autre. Il a des gestes élégants. Il lui parle, beaucoup,
lui prend les mains.
Je suis captivé par la scène, je sens la séduction opérer, mais elle semble hésiter. Elle résiste et minaude en même temps et ceci la rend plus désirable encore
Je ne bougerai pas.
Elle saisit les clefs de la C3, sapprête à gagner la sortie, il lui barre la route, Nathalie recule mais arbore un sourire qui me perce le cur. La situation lamuse, se faire courtiser par ce beau gosse doit la flatter, je suis bien persuadé quelle ne doit plus contrôler grand-chose du coté de son entre jambe, mais elle joue lingénue, elle sait lire dans le regard des hommes.
Elle a compris que celui là ne la lâchera plus, il a trop envie delle, elle sen trouve émue et je suis sûr que son ventre bouillonne
Il savance, elle recule mais se laisse bêtement enfermée entre les plans de travail de la cuisine et la table. Cest évident elle ne souhaite plus vraiment fuir. Elle aimerait boire à la fontaine de ce bel homme.
Celui ci a changé dexpression, son sourire enjôleur a laissé place à un regard pénétrant.
Deux belles mains puissantes sinvitent sur la poitrine de ma belle. Surprise, elle pose ses mains sur les siennes, je souhaite quelle combatte, mais déjà il inspecte ses beaux seins fermes à travers le tissu, et je la vois se pâmer, sa bouche sentrouvre, ses narines palpitent, je la sais conquise.
Lhomme lenlace, et les bouches se collent, je comprends quelle a accepté la langue de cet inconnu et quelle a plaisir à la déguster.
Je suis pétrifié, mais la scène est dun érotisme bouleversant.
Il na pas lâché ses seins, il les pelote amoureusement, Nathalie lencourage en lui caressant la nuque puis en lui prenant la tête afin de mieux lembrasser encore.
Je suis en sueur, mon sexe gonfle.
La porte de la buanderie grince, je fais un pas de côté, je ne les vois plus et je reste immobile
Ils se parlent à nouveau, chuchotent, je ne veux rien manquer et me replace dans lentrebâillement de la porte.
Ils ne sembrassent plus, front contre front, les yeux dans les yeux, ils se respirent fort, cherchent à défaire le pantalon de lautre. Les mains sont impatientes, maladroites ratent les boutons, tirent sur les tissus et parviennent à leur fin.
Je ne perçois pas le sexe de monsieur, mais seulement le visage de Nathalie qui sest illuminé puis teinté dinquiétude.
Elle a maintenant les deux mains occupées, le regard fixe, je comprends que sa surprise est de taille ! Il y a de ladmiration dans son regard et je lentends lui dire :
- je
je crois que je ne
pourrai pas
Lhomme a senti son embarras, sest agenouillé, et afin quelle ne puisse plus se refuser, il sactive entre ses cuisses.
Leffet est immédiat :
- Oooooooh !
oui
ouiii
.oooooh !
-
Après quelques minutes de doux léchages, il comprend quil a gagné la partie, sinterrompt un instant et dune soudaine politesse, le sourire en coin, demande à ma belle la permission de continuer :
- Mademoiselle,
êtes-vous satisfaite de mes services,
souhaitez vous que je poursuive ?
- Aaah ?!
tes bien sûr de toi
et si je te dis non ?!
.
Lhomme joue le jeu et se retient, les deux amants se fixent
cest Nathalie qui craque
- Oooh sil te plait, retourne toccuper de moi, tu es trop doué, allez vas !
Elle est radieuse, son sourire est éclatant, des étincelles plein les yeux.
Il lentreprend de nouveau, et sur sa jolie petite frimousse on peut lire aisément le plaisir quil lui procure. La tête à la renverse, puis se redressant pour contempler lamant qui la fouille, la lèche, la boit, taquine son bouton de chair jusquà ce quenfin, elle accepte de crier son plaisir :
- huuuum ! oooh là
mais que cest booon ! mais
Ooooh
.oui !
encore !
encooore !
Il se relève, satisfait de ses prouesses. Nathalie est dans un état second, je lai rarement vu aussi réceptive aussi soumise. Dans quel état il vient de la mettre ! Je nen crois ni mes oreilles ni mes yeux ! je suis en colère, triste, heureux, excité, émerveillé
je ne sais plus !
Ma belle Nathalie
Japerçois la toison de ma belle, autour de sa vulve gonflée, les poils gardent lhumidité de la langue qui sest permis de les outrager.
Lhomme la regarde la prend par la taille. Nathalie, déstabilisée, se cramponne des deux mains au plan de travail, faisant valser les couverts qui sy trouvaient.
Ses seins nont ainsi plus de défense et lhomme déchire son chemisier.
Une paire de seins surgissent, effrontés, fiers, les tétons durcis par lenvie.
De superbes seins quil ne peut sempêcher dempoigner, de jeunes seins naïfs et inconscients, ne mesurant pas lexplosion de désir quils déclenchent ainsi, dans le cerveau dun homme qui les découvre.
Du creux de la main, il se met à les effleurer
tendrement,
les tétons plient sous la caresse
Nathalie frémit, Nathalie est aux anges, râle de plaisir et offre, reconnaissante, sa poitrine comblée à ces mains expertes qui la régalent.
Ils sembrassent goulument,
je nen peux plus
A nouveau, il malaxe ses seins et les couvre de baisers humides
je vais me sentir mal
Puis il se décide enfin, saisit son propre sexe de la main droite, comme une offrande, le présente à Nathalie.
- Jeune femme, vous navez quun mot à dire, je suis disposé à vous honorer !
Elle se cabre, se croit encore capable de résister.
Ses joues sont écarlates, comme au temps où lon sétait connu, une marque de fabrique chez Nathalie, elle rougit rapidement, à la moindre émotion. Je constate quelle se calme, quelle se ravise enfin
- Range moi ça, tu as suffisamment abusé de ma personne ! Et puis il fait chaud et je dois aller chercher les petites ! Dis donc, tu as lair bien encombré avec ce truc là entre les jambes. Je suis désolée, tu mas donné beaucoup de plaisir mais il faut que je file !
- Cest toi qui décide
un dernier baiser dadieu ?
Et il lenlace
lembrasse avec fougue
la couvre de baisers, parcours son cou, son visage de ses lèvres, de sa langue comme pour y laisser sa marque, son odeur. Les yeux clos, elle saccorde encore cet instant, mais elle est bien vite saoule de cet arome de mâle excité. Elle sabandonne encore, cest trop bon, elle se laisse butiner. Il retrouve ses seins, elle les lui donne, il sacharne sur ses tétons, Nathalie chavire, elle nest plus quune petite chose dans ses bras. Lhomme mime laccouplement et la comprime contre le meuble. Elle rouvre subitement les yeux, quand le membre majestueux de son amant, pubis contre pubis, applique une pression voluptueuse sur son clitoris. Le plaisir est étourdissant, elle se colle alors à sa bouche, lui offre toute sa langue, espérant sen satisfaire, une dernière fois.
Elle doit contenir cette excitation qui enfle et la mène sur une pente où le plaisir devenu incontrôlable ne vous permet plus de renoncer.
La jalousie me tue à petit feu, elle se donne !
Nathalie va se faire prendre par un autre
devant mes yeux
je ne bouge pas
le désir me gagne presquautant quelle
je voudrais être à sa place
Des effluves damour me taquinent les narines, cest délicieux, je sais quil va la saillir, elle abdique
- Viens
oui viens
jnen peux plus, cest trop fort !
tant pis, merde ! prends moi
Son sexe luisant lengloutit dun coup
- Ooooooh mon Dieu .
Oooh !
mon salaud !!! mon salauuud !!!!
.Houuuu Ooooh tu es membré
huuum, tu es vraiment bien membré !
doucement,
ooooh !
.sil te plait,
doucement
Nathalie nest plus quune poupée savamment besognée. Les images se gravent dans mon cerveau à jamais. Jai le sexe au garde à vous, je me caresse, jai envie de jouir.
Elle suffoque, saccroche à son corps, une main crispée sur son petit cul basané lautre agrippant sa taille, ne le quittant plus des yeux, possédée, conquise, semblant parfois sévanouir puis revenir à la vie
Ils se font lamour, je nexiste plus, je ne compte plus ...
Une montre abandonnée sonne 15h quelque part, Nathalie jette un il sur la pendule
- Je vais être en retard. Ooooh
Finis-moi ! mouiiii !
- Je ne cesserai, belle coquine, que si jobtiens votre orgasme ! êtes vous heureuse ?
- Huuum ! tu en doutes ? je te sens bien, tu méventres, tu mempales
oooh !
- Suis-je aussi habile que ton mari ?
- Oooh,
.ouiiii cest bon tu es jeune, beau garçon, tu sens bon, tu me remues
oooh comme un Dieu, tu mexcites
!
- Tu ne regrettes pas mes avances alors ?, tu nas pourtant pas été simple à séduire tu sais !
- Ah,
ha,
han,
han
han
oui
ooh
mais tu mas eu .. hein ?! oh oui tu mas eu !!!
- Tu me veux plus fort ?
- Oooh non, cest juste comme il faut, continue !
baise, oooh oui baise ! et donne moi ta bouche
- Comme ça ?
- Mouiii huuum oooh tu
tu vas me faire jouir !
.
Pour mieux contrôler ses coups damour, il la soulève et la dépose sur la table, elle continue de gigoter sur sa queue, incapable de se calmer même un instant.
Cest un cadeau quil me fait, la vue est imprenable ! Japerçois lépaisseur de ce sexe masculin qui dilate son joli minou, je comprends maintenant mieux son extase !
Les chairs sont repoussées à chaque poussée puis une partie des muqueuses semble être emportée avec le membre qui se retire au gré des va-et-vient
Nathalie se tortille se mords la main un moment, puis saisit les fesses de son amant pour en profiter davantage !
Ce joli minois, que jaime tant, je le contemple, ravagé par le plaisir, presque grimaçant.
- Dites donc jolie dame ?! Il ne faudrait pas que votre homme débarque à limproviste nest ce pas ?
- Ooooh
que dis-tu ? Tais toi,
enfonce
encore,
toujours,
encore !
cest bien, cest bon !
il est loin
en séminaire
je crois
baise
ouiiiii
baise moi, joli cur !
Jai joué un rôle dans leurs ébats
quelques secondes !
Il sait lui parler, ces quelques remarques quil lui fait en la travaillant, ne font quaiguiser son appétit.
Lhomme est un expert, il se contrôle avec une maestria stupéfiante !
- Veux tu quon en reste là ?
- Aaaah !
. je tinterdis ! Couine-t-elle, les narines dilatées, les joues en feu.
!...
- Alors prends ! goûte ! sois belle,
. et jouis !
- Ton sexe ! ton sexe ! Oh ton sexe
oooh je viens ! je vieeeeeens !!!
Nathalie jouit
électrocutée par lorgasme qui létreint.. plus aucun son ne sortent de sa bouche.
le silence se fait, comme pour respecter son plaisir,
son corps tressaute encore quand elle reprend sa respiration, bruyamment, par saccade,
Lhomme se vide en elle
Nathalie se cabre une dernière fois sous les coups de boutoir de son amant, bouche grande ouverte, craignant un instant de ne pourvoir contenir ce monstre de chair qui se déchaine.
Chaude journée
Jai taché mes sous-vêtements
Je me reprends, traverse la buanderie, gagne le jardin, les gravillons crissent sous mes pieds. Il est 16h, je redescends le chemin des pins, en direction de la gare, fatigué mais le cur léger, je dois trouver un hôtel pour ce soir !
La C3 me dépasse
elle ne sera pas à lheure à la crèche
Scorpion.
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