Jeux Coquins Au Club Naturiste

J’avais décidé de passer une semaine dans un camp de naturiste.
Moi qui adore rester le plus souvent nue.
Cà aller être un régal.
Un soir une sorte de Géo, nous propose de nous inscrire pour un jeu qui devait se dérouler le lendemain.
Il nous expliqua que ce jeu était réservé aux filles.
Vous aurez un parcours d’orientation de 1 km qui vous amènera au check point 1.
Un premier atelier vous y attendra où vous devrez sucer un géo.
Vous y serez noté sur votre art de la fellation et chronométré sur le temps jusqu’à l’éjaculation de votre géo.
Encore 1 km et vous arriverez au check point 2.
A cet atelier, vous serez pénétré et sodomisée.
Bien entendu, vous serez notés sur la qualité d’accueil de votre chatte et de votre cul.
Vous serez également chronométré jusqu’à l’éjaculation de votre contrôleur.
Ensuite encore 2 kms et vous arriverez au check point 3.
Là vous attendra Elodie, Sophie et Michèle.
Elles auront leurs fesses bien offertes.
Vous devrez sous le contrôle d’un géo qui vous chronométra, leurs bouffer les fesses jusqu’à ce qu’elles hurlent leurs jouissance.
Les derniers 2 kms termineront votre parcours.
Le dernier atelier vous permettra de montrer votre disponibilité à accueillir plusieurs hommes en même temps.
Les dernières de ce concours, seront les esclaves misent aux enchères de la soirée et subiront sans rechigner tous les jeux bdsm les plus pervers que leurs propriétaire d’un soir exigeront d’elles.
« Quant à vous messieurs, vous serez les contrôleurs notateurs.
Je trouvais ce jeu très excitant mais l’enjeu plutôt duraille.
Je m’y inscrivais en espérant bien ne pas être la dernière.
Le rendez-vous était donné pour 10 heures.
Après une photo de groupe, on nous remis les dossards et on nous spécifiât que le short était obligatoire car les parcours de course à pied se déroulaient parfois en zone textile.

Pour la première épreuve, nous avions 2 kms de course à pied.
De la rigolade pour moi qui fait du semi-marathon.
Mais sans soutif c’était moins évident avec mes seins qui ballotaient au gré des foulées.
J’arrivais dans le groupe de tête, les seins rougi et sensibles.
Une fille suçait déjà un géo.
Sans perdre de temps, un peu essoufflée je me précipitais sur la queue qui se présentait à moi et exprimais tout mon art de la pipe.
Je réussie à le faire gicler dans ma bouche très rapidement.
Je me retrouvais en tête.
Je repris ma course la bouche pleine de sperme et essayant de déglutir la semence de mon contrôleur.
Je ralentis un peu car mes seins étaient de plus en plus sensibles.
J’arrivais au check 2.
Une fille m’avait devancée et se faisait déjà baiser la chatte.
Elle poussait de petits cris à chaque fois qu’elle s’enfonçait sur la hampe du géo.
Pas grave j’étais seconde et je pense que ma prestation précédente avait été excellente.
Là ce qui me faisait le plus peur, c’était la sodo car j’aime pas trop et puis je ne savais pas si j’aillais tomber sur un gros engin.
Bref, je me présentais devant le premier contrôleur libre.
Quand je vis son sexe, j’eu un recul tellement je le trouvais gros.
Il me dit :
« Si tu te défonces pas sur ma bite jeune fille, tu seras forfait et tu sais ce qu’il t’attend ce soir dans ce cas. »
Sur ces mots, je m’enfilais sur le pieu.
Il rentra assez bien même si je me sentais bien remplie par cet énorme chibre.
Je poussais malgré tout une sorte de grognement me sentant comme transpercé par son glaive.
Il me prit par les hanches et commença un long va et viens.
A chaque fois, J’avais la sensation d’être transpercée et je poussais un cri de bête blessée.
J’avais de plus en plus peur en pensant qu’après ma chatte, il s’occuperait de mon cul.
« Ta chatte est bonne maintenant on va voir ce que donne ton cul »
J’essayais de retarder l’échéance mais en vain.
Il me souleva et après avoir quand préparer mon petit trou, il pointa son gland sur ma rondelle et se mit à pousser doucement au début.
Puis il forçat et je me mis à crier et supplier d’arrêter.
Quand la tête de son énorme gland passa, la douleur fût si forte que je crus défaillir et hurlais ma douleur.
« nooooon haaa t’es trop gros haaaa tu me déchires arrête haaaaa »
Il s’enfonçât encore un peu et ressorti en me disant :
« Bon t’es trop étroite donc la note va s’en ressentir puisque tu n’as pas conclu ta sodomie jusqu’à mon éjac »
« Tu peux aller à l’atelier suivant »
Penaude, je reprenais ma course doucement car ma rondelle me faisait mal.
Ma foulée était maladroite.
Cà semblait bien amuser les contrôleurs.
Ne pouvant pas courir normalement après cette grosse sodo, j’arrivais au point 3 en ayant pris du retard.
Je fus surprise et amusée de voir dans quelle position se trouvaient les filles que l’on devait faire jouir de nos langues et nos bouches.
Les trois filles étaient nue enfouie dans le sable avec juste leurs fesses bien offertes.
Huum j’allais me régaler sur ces belles moules ouvertes.
Je pourrais peut-être rattr les points perdus sur l’atelier sodo.
Le contrôleur me dit alors :
« Alors mademoiselle on n’a pas réussi à se faire enculer ? »
Confuse et rouge de honte, je lui réponds :
« Non il était trop gros pour mon petit cul, désolée »
« Ce n’est pas grave, vous allez bouffer la chatte d’Elodie » me dit-il
Une concurrente léchait déjà le minou de Sophie la faisant gémir.
La fille devant moi arrivât à la faire jouir dans les délais.
J’avais la pression et je me jetais sur la chatte appétissante d’Elodie qui poussât un cri de surprise tant j’étais vorace.
La salope était trempée de mouille et je me retrouvais barbouillée de sa cyprine.
Au bout de deux minutes alors qu’elle allait jouir, le contrôleur me claquât les fesses en me disant :
« Trop tard ! Le délai est écoulé. »
« Mais elle allait jouir !!!!!! » m’insurgée. ».
La concurrente suivante pris ma place.
Elle n’eut aucun mal à arriver à ses fin puisque.
J’avais fait tous le travail.
Je jouais de malchance.
Il me restait encore une épreuve mais comme là, je devrais être prise en sandwich, j’aurais encore un gros handicap avec la sodo.
J’avais vraiment la sensation que le jeu était truqué pour le bon plaisir de ces mâles.
Je redoutais d’être mal classée et de me retrouver l’esclave du soir.
Moi qui espérais me retrouver comme voyeuse voir domina.
Je repartais pour les derniers kilomètres en ayant ces mauvaises pensées en tête.
Arrivée au dernier contrôle, je voyais des hommes les queues bien dressées prêtent à défoncer nos orifices.
Même si çà allait être dur pour moi je devais prendre mon courage à deux mains et me lâcher pour reprendre des points.
Aussitôt, je me mettais à sucer le premier.
L’autre m’enfila la chatte et alternativement passait de mon minou à ma rosette sensible.
Les autres concurent commençaient aussi à se faire mettre.
Un troisiéme laron s’approchat.
« Alors ma grande, la sodo n’est pas ton truc ? Et bien on va voir ce que çà donne avec un sandwich »
C’était terrible mais je voulais rattr des points.
Cà gémissait, couinait criais l’ambiance était volcanique.
Moi j’essayais de faire de mon mieux pour donner du plaisir à mes trois lascars en espérant être récompensée de mes efforts.
La plage ne devenait que cris et gémissements.
Les queues passaient de bouche en cul en chatte,
Les assault des mâles en ruts devenaient frénétiques.
Les langues léchais des chattes, suçaient des queues.
Même des mecs se suçaient.
Se fut ensuite une explosion de de sperme dans des jouissances extrêmes .
Tous repus, nous repartîmes vers le club house en devisant de cette extravagante journée.
Les hommes la queue pendante et les filles couvertes de sperme.
Nous partîmes ensuite prendre une douche bien méritée.
Le géo en chef nous donnait rendez-vous pour 18h00 au club house pour la proclamation des résultats.
C’est impatiente et angoissée que je me rendais le soir au club-house.
J’avais très peur des résultats en repensant à la grosse queue qui m’avait fait échouer à l’épreuve de la sodomie.
J’en avais encore le petit trou sensible malgré les massages que je m’étais prodigués sous la douche.
Arrivée au club-house, l’ambiance était conviviale.
On nous offrait des cocktails et rapidement je fus pompette.
De toute façon, je crois que tous avions un peu trop abusé de ces boissons alcoolisées.
Un couple s’éclatait déjà au fond de la salle.
L’homme la sautait en levrette en la faisant boire à la bouteille du champagne.
Elle semblait apprécier le traitement.
La fête allait bon train mais j’étais pressée de connaître les résultats.
Puis, la soirée bien avancée, alors que je finissais de sucer un magnifique black,
Et qu’il venait de se lâcher sur mon visage,
Le géo nous arrêtait en proclamant :
« Ladies and gent, voilà le moment tant attendu des résultats de notre petit jeu de la journée »
Je me relevais immédiatement comme un ressort sans me préoccuper de ma figure aspergée de sperme dégoulinant sur mes seins.
Nous étions une dizaine de filles à concourir.
Et les quatres dernières seulement serviraient d’esclaves et seraient vendues aux enchères pour la soirée.
Le géo commençât par la première qui sauta de joie et eu le droit de choisir le mec qu’elle voulait dans la salle.
En fait, elle choisit une fille en l’embrassant à pleine bouche.
Tous applaudir en rigolant leurs baisé était si chaud.
Puis le géo annonçât la deuxième, et ainsi de suite jusqu’à la sixièmes.
Chaque fille nommée choisissait un homme pour cette chaude nuit.
Ils se caressaient baisaient tout en écoutant le reste des résultats.
Le géo calmât un peu les ardeurs en disant :
« Attendez attendez ! Le meilleur arrive !
Voici nos quatre esclaves de ce soir »
« Je demande à ces demoiselles de me rejoindre sur scéne.
Anne-Sophie,
Margaux,
Maryaline
et Charline. »
J’appel de mon prénom un frisson court le long de mon dos.
J’étais angoissée en montant sur scéne.
Tous se mirent à se foutre de moi.
Je ne comprenais pas.
En fait dans l’émotion, je ne mettais pas essuyé la bouche et j’avais du sperme qui coulait encore sur mes seins.
Je devins rouge et cherchais quelque chose pour m’essuyer.
Le géo intervint :
« Restes comme çà ma cocotte, çà te va à merveille »
He bien çà commençait mal pour moi.
Nous fûmes alignées, attachées et montrées comme des bêtes de foire en vantant nos chattes, nos culs, nos seins.
Nous soupesant, nous palpant, nous faisant ouvrir nos bouche, nous décrivant nos avantages de façons très crues.
Les enchéres montaient et je fûs vendue à un vieux vicieux.
Aussitôt en me prenant par les cheveux il me foure sa vieille queue dans la bouche en me secouant la tete.