Sulfureuse Adeline

Ce soir, c’est le cinquième anniversaire de mariage de Gil et Nadège, trente cinq ans. L’évènement se passe dans une boite branchée de la ville. Adeline et Marc, frère de Gil, sont là. Ils sont âgés de vingt cinq ans. Buffet, champagne, rien ne manque pour que la soirée soit parfaite. Le DJ envoie une série de slows. Les deux frères, Gil et Marc sont sortis griller une cigarette.
-Nos mecs nous ont laissées en rade, dit Adeline, dommage, je me serai bien fait serrer.
-C’est vrai, répond Nadège, et si on dansait toutes les deux, tu sais…avec la lumière tamisée.
Un large sourire éclaire le visage d’Adeline.
- Et pourquoi pas, après tout, on est belle sœur. On y va ?
Les deux jeunes femmes rejoignent la piste. Soudain, Adeline sent la main de Nadège se faufiler sous sa courte jupe, se plaquer entre es cuisses. Adeline tique un peu, ne réagit pas, veut éviter le scandale, mais lui murmure à l’oreille.
-Mais que fais-tu, tu es folle, je ne suis pas lesbienne.
-Dommage, répond Nadège, ton string est trop serré, je t’aurai bien caressé la chatte, je la sentais humide.
Le slow terminé, les deux belles sœurs regagnent leur table. Adeline est toute troublée par ce qu’elle vient de vivre. Et elle n’est pas au bout de ses surprises. Une seconde série de slows commencent.
-Heu…on y va, demande Adeline.
-Un moment, dit Nadège.
Elle passe sous la table, et quitte la culotte de sa belle sœur. Elle la prend par la main, et l’entraine aux milieux de la piste en souriant. Une fois collée une à l’autre, Nadège reprend son exploration sous la jupe d’Adeline.
-Ah…c’est mieux comme ça, dit Nadège…c’est bien ce que je pensais, ta petite fente est toute mouillée…
-Salope, souffle Adeline, c’est toi qui me la fait mouiller…oh mon dieu…c’est trop bon…
-Ecarte toi ma chérie que je trempe mes doigts dans ta chatte…oui…comme ça…tiens…c’est quoi ça ?
-Hou…hou…tu le sais, soupire Adeline, c’est mon clitoris…
-Tu veux que je te le décalotte, que je te le doigte…je peux te branler aussi…
-Oh oui…vas-y…j’ai envie…fais moi jouir avant que ça s’allume…oui…je joui…oui…tu me gouines là…
Adeline atteint l’orgasme, étouffe ses cris de plaisir sur l’épaule de sa belle sœur.

Les deux femmes se regardent, s’effleurent les lèvres.
-Je sens qu’on va passer du bon temps ensemble, dit Nadège en souriant. Je vais aux toilettes me laver les mains, tu devrais en faire autant avec ta chatte.
Sur le chemin du retour, Marc a quelques envies. Il glisse une main entre les cuisses de sa femme.
-Mais…ma chérie, dit-il surpris, tu n’as pas de culotte ?
-Figures-toi qu’à force de rire, j’y ai fait pipi dedans. Je suis allé aux toilettes pour la quitter, et l’ai oubliée.
-Et c’est de rire si ta chatte pleine de mouille.
-Oh non, mon amour, c’est qu’elle a besoin d’un bon coup de queue. Ta queue.
Une fois au lit, Marc commence à caresser son épouse. Celle-ci saisit la bite de son mari et s’aperçoit qu’elle est loin des quinze centimètres habituel. Sans doute du à l’alcool. Tant bien que mal, Marc arrive à lui mettre un petit coup. Trop peu pour elle, surtout après s’être fait gouiner par Nadège, qui a réveillé en elle un côté lesbien qu’elle ne connaissait pas. Elle sent encore les doigts de sa belle sœur aller et venir dans sa chatte. Elle enfile un peignoir, va s’asseoir sur la terrasse. Là, elle cherche Nadège sur le répertoire de son portable. Elle appelle. C’est une petite voix, à la respiration haletante qui lui répond.
-Qu’est- ce- qu’il y a ma chérie, s’inquiète Adeline…
-Oh, ma chérie, gémit Nadège, si tu voyais la bite que j’ai dans le cul…depuis qu’on est rentré, il n’arrête pas de me niquer…j’en suis à mon troisième coups de queues…entend comme il me fait jouir ce salaud… hou...oui…vas-y…bourre moi le cul…viens dans ma bouche…viens te vider les couilles…que je t’avale… excuse-moi ma chérie…je vais lui tailler une pipe…mais tu peux écouter si tu veux…hum…c’est bon…une minute, je lui nettoie le gland et je suis à toi…voilà, elle est tout propre maintenant…bon, à toi ma chérie. Adeline raconte sa nuit gâchée par le manque de performance de Marc.
- Ecoute, dit Nadège, fais toi ce que je t’ai fait ce soir, tu te caresses la fente, jusqu’au clitoris, tu le décalotte pour mieux l’exciter. Puis tu glisses deux doigts dans ta chatte, et tu te branles. Tu vas te régaler. Allez, avec Gil, on a décidé de passer vous voir demain.
Le dimanche, Gil et Nadège arrive à la villa vers onze heures. C’est Adeline qui les accueille, vêtue, comme d’habitude, d’une mini jupe, et d’une chemise nouée sur le ventre. Elle est ravissante
-Bonjour, ça va, dit-elle, Marc nettoie le filtre de la piscine au sous sol, il ne va pas tarder.
-Je le rejoins, dit Gil, vous devez avoir des choses à vous dire.
Adeline va à la cuisine, suivie de Nadège. Celle-ci la prend par la taille, lui fait faire un demi-tour, et la plaque contre le frigo. Les deux belles sœurs se prennent les lèvres, les langues se défient. Nadège glisse aussitôt une main entre les cuisses d’Adeline. Elle n’a pas mis de culotte
-Décidément, tu aimes avoir ta petite chatte à l’air, salope. C’est pour mieux te la faire gratter.
-Marc n’est pas arrivé à bander cette nuit, et j’avais tellement envie de prendre un bon coup de queue.
-Je peux demander à Gil de combler cette lacune, ironise Nadège. C’est un bon baiseur, tu sais.
-Mais tu es folle, je n’ai pas l’intention de tromper mon mari, encore moins avec son frère, t’imagines.
-Chérie, cri Marc, mon frère mange ici, je vais chercher du pain.
-Attend moi, dit Nadège, je viens avec toi, je prendrai le dessert.
Du coup, Adeline se retrouve seule avec son beau frère. Celui-ci la rejointe à la cuisine.
-Alors, dit-il, on à passé une bonne soirée hier, c’était sympa.
-Super, répond Adeline, bonne ambiance, on a bien dansé avec ta femme, c’était vraiment chaud.
-C’est vrai, poursuit Gil, tiens, au fait, j’ai trouvé ça dans le sac de mon épouse, ce n’est pas à toi ? C’est Nadège qui te la quittée, c’est ça… tu sais qu’elle est bi…et tu lui déplais pas…elle a du te régaler.
Adeline devient rouge écarlate, se prend le visage dans les mains, ne sait que répondre. Gil la fixe du regard, la prend dans ses bras. Adeline se blottit contre lui. -C’est pas grave ma chérie, dit-il en s’écartant, ce sont des choses qui arrivent. Regarde moi…allez…
Adeline et Gil ne se quittent pas des yeux. Gil la saisit par la taille et l’assoit sur le plan de travail. Lentement, il défait le nœud de la chemise, fait glisser les manches sur les épaules. Toujours aussi calme, il caresse les seins, au bout saillant. Puis, il glisse ses mains sous la mini jupe, à l’intérieur des cuisses qu’il écarte, ôte le léger vêtement. Adeline se retrouve entièrement nue, offerte à son beau frère.
-Houa, dit-il, que tu es belle.
-Déconne pas Gil, s’il te plait, on va faire une énorme bêtise…oh mon dieu…
Gil se met à genoux. Avec les pouces, il caresse les lèvres intimes, les ouvre, extrait le diamant de son doux écrin, lui souffle dessus, ce qui a pour effet de le faire durcir. La langue lèche l’intérieur de la chatte, la pénètre, aspire le clitoris.
-Arrête Gil...tu es fou…tu me rends folle…c’est tellement bon ce que tu me fais…hou…oui…salaud…
Malgré toute sa bonne volonté, Adeline ne peut s’empêcher de jouir dans la bouche de son beau frère.
- Ben dit dont, sourit Gil, tu avais une grosse envie. Mon frère ne doit pas s’emmerder avec toi.
-Moi si, soupire Adeline…si tu savais comme j’ai envie de me le faire mettre…
Gil baisse son pantalon, libère une énorme bite de vingt centimètres, très en dessus des quinze de Marc. Adeline n’en croit pas ses yeux, pousse un « ho » admiratif. Elle prend le calibre à pleine main.
-Houa, s’exclame-t-elle, ça c’est de la bite…c’est toi qui as tout pris…tu aurais pu en laisser à ton petit frère…et cette paire de couilles...elle ne tient pas dans ma main…met moi un coup de queue…s’il te plait…nique moi…par ta faute, mon minou est tout mouillé et brulant de désir…éteins le…
Adeline hausse ses jambes pour mieux s’écarter. C’est elle-même qui décalotte l’énorme pieu, et le fait coulisser dans l’antre chaud de sa chatte, en poussant un cri de plaisir. Les couilles butent contre les fesses. Gil entame de lents va et vient, sort frotter son gland contre le petit trou. Adeline s’agrippe à son cou. -Fais celui là aussi si ça te fait plaisir, gémit-elle, faut bien que je sache ce que c’est…au moins une fois… Mais Gil ne veut pas trop r de la femme de son frère, pas tout de suite. Il reprend donc sa place initiale. Les gémissements, se transforment vite en hurlement de plaisir. L’orgasme est puissant. Gil aussi vient, elle le sent et le repousse. Elle tombe à genoux, lui prend la bite pour lui tailler une pipe. Elle le maintient par les fesses pour le garder en bouche. Elle veut lui offrir ce que les hommes adorent, éjaculé dans la bouche d’une femme, même si elle a horreur de ça. Elle aspire la bite jusqu’aux couilles. Les jets de sperme giclent en saccades au fond de sa gorge. Elle ouvre la bouche, montre la semence blanche stocké sous sa langue.
-Non, dit-il, ne fait pas ça…t’as pas le droit…crache dans l’évier…
Adeline ferme la bouche, avale tout le jus. Avec son petit doigt, elle récupère un filet de sperme qui coule sur ses lèvres, et le lèche. Elle se penche, nettoie le zob jusqu’à la dernière goutte.
–Hum…j’ai horreur du gaspillage, sourit-elle. Dommage, ils vont arriver, j’en aurai bien repris encore. Heureuse, elle lui prend les lèvres. Elle voulait un bon coup de queue, elle la eu, au-delà de ses espérances.
Elle sort juste de la douche quand Marc et Nadège arrivent. Celle-ci lui envoie un clin d’œil complice.
Après le repas, les deux frères décident d’aller faire un tour à la pèche. Adeline, épuisée, va s’allonger. Nadège la rejoint, parcours le corps nu de sa belle sœur, qui frissonne sous les caresses.
-Alors, petite garce, satisfaite, tu te l’es bien fait mettre, hein…c’est un bon amant mon mec. -Salope…c’est ta faute…c’est pour ça que tu es partie…tu savais que j’avais envie de me faire baiser…
-Tu regrettes, poursuit Nadège.
-Oh non, répond Adeline…comme il est monté…comme il m’a fait jouir ce salaud…à hurler…
-Tant mieux, je peux te le prêter quand tu as envie d’un bon coup de bite…
-Tu ferais ça, se réjouit Adeline…tu es un amour…mais bien sur que je veux…
-Et pourquoi on ferait pas une partie à quatre un de ces week-end, propose Nadège.
–Savoir si Marc serait d’accord, dit Adeline, il se sentirait si complexé en voyant la bite de son frère.
–Je vais m’en occuper, en attendant, embrasse moi…après ce que j’ai fais pour toi, je pense que je mérite une récompense, dit Nadège en se déshabillant.
Adeline voit Nadège l’enjamber, jusqu’à ce que sa chatte parfaitement épilée soit au niveau de sa bouche.
-Vois comme elle est mouillée…rien que de penser que tu t’es faite niquer par mon mari…vas-y…bouffe la. Tant bien que mal, Adeline essaie de satisfaire sa belle sœur, c’est une première pour elle. Nadège lance un bras en arrière, glisse deux doigts dans la chatte ouverte d’Adeline. Les premiers soupirs apparaissent.
–On va bien se gouiner maintenant…gémit Nadège.