La Douanière
En rentrant dAndorre, je suis arrêtée par les douaniers. Ils doivent bien sennuyer. Je ne me fais aucun soucis, je ne transporte rien de particulier, sinon une bouteille de Rioja (vin espagnol meilleur pour moi quun bordeaux) Ils commencent par fouiller la cabine puis la malle, enfin le moteur. Je dois être prise pour une parente dEscobar. Evidemment ils ne trouvent rien de répréhensible. Jai donc droit à une fouille au corps. Je craignais que les hommes présent viennent me fouiller et en profiter pur me peloter.
Heureusement cest une femme de mon âge, aux alentours de 30 ans. Nous allons dans un bureau dédié aux fouilles. Elle commence par remplir des papiers avant de me demander de ma déshabiller. Jai vu à la télé ce genre de scènes. Je ne garde sur moi que mon soustingue et mon string.
- Jai dit à poil.
- Je le suis.
- Non, il faut tout enlever.
Je me demande ce quelle compte trouver une fois que je serais toute nue. Je lui tourne le dos pour enlever ce que jai encore sur le dos. Quand je suis nue, je me tourne en gardant un bras sur mes seins et une main sur ma chatte. Elle fait la gueule alors quelle a un si joli visage. Je la soupçonne dêtre sensuelle dans la vie de tous les jours. Elle sapproche de moi, me fait baisser le bras qi cache mes seins quelle regarde longuement et enfin a chatte. Je dois me retourner, me pencher en avant pour lui montrer mon cul. Elle en profite pour écarter mes fesses pour bien voir mon illet. A mon avis elle se rince lil. Elle peut me faire ce quelle veut, je nai pas horreur des femmes, au contraire dans la vie jaime faire lamour en trio.
Elle me laisse un bon moment dans cette position qui commence à devenir humiliante. En plus rester ainsi est fatigant, je mappuie sur le bureau avec les bras. Elle me faire écarter les jambes pour mieux voir entre les jambes. Cette fois elle regarde et mon cul et ma chatte. Elle commence à mexciter ; je mouille.
- Normalement je fouille les femmes longtemps. Si je ne trouve rien, jy prends du plaisir.
- En attendant je ne prends pas de plaisir, je préfèrerais en prendre : je suis excitée.
- Jaime exciter les filles. Jaime les filles. Relève-toi.
Je fais un ouf de soulagement en me redressant. Elle est juste derrière moi, elle prend mes seins quelle caresse lentement en insistant sur les tétons.
Je me colle à elle pour être mieux caressée. Je passe une main derrière moi pour chercher à ouvrir son pantalon pour chercher sa moule : je ny arriver pas. Elle descend une main sur ma chatte, là jécarte un peu les jambes sans contrainte. Elle trouve rapidement mon grain de riz. En peu de mouvement elle le fait sortir de sa coquille et commence à me donner du plaisir. Elle branle divinement bien. Pour mieux profiter de cet instant je pose ma tête sur son épaule. Elle en profite pour membrasser au coin de la bouche. Je sens mon ventre se creuser sous le plaisir. Je mouille fortement, plus que dhabitude, sans doute à cause des circonstances. Je pense aux douaniers dehors qui donneraient je ne sais quoi pour nous voir.
Je ne me retiens plus, je jouis sous son doigt, en ayant mon ventre qui se creuse et se remet en place au fur et à mesure de mes crispations. Mais que cest bon de sentir ce plaisir envahir tout mon corps. Elle me retourne, membrasse sur la bouche, elle me donne ce baiser que jattends depuis le début de ces caresses. Sa langue est agile dans ma bouche, ma langue cherche à lintérieur de sa bouche je ne sais quoi. Je peux à présent ouvrir son pantalon, le faire tomber et passer ma main sur sa chatte, malgré son slip type mini. Je passe ma main par le coté ; jy trouve dabord des poils et enfin de grandes lèvres que je caresse lentement avant de monter sur son bouton. Je la branle. Cette fois cest à son tour de gémir, dabandonner sa tête sur mon épaule.
Je la pousse sur le bord du bureau, elle y pose ses fesses.
- Cest bon, salope, continue à jouer avec mon cul. Viens dans mon con et sur mon clitoris.
Je ne peux répondre, en tout cas je suis tombée sur laffaire su siècle. Son sphincter se resserre quand elle jouit, je force pour garder ma langue là où elle est.
- Oui, cest bon, baises moi comme il faut.
Je me relève pour mettre ma bouche sur son bouton. Ma langue lui donne encore un ou deux orgasmes. Elle a trouvé le moment pour se mettre elle aussi nue. Je me relève tant pour la peloter que pour me redresser : je commence à en avoir asses dêtre pliée en deux. Ses seins sont durcis par le plaisir. Je caresse ses tétins. Elle pose ses mains sur le mienne comme pour mempêcher de partir.
Elle reprend linitiative en mallongeant sur le bureau parmi ses papiers. Elle vient sur moi, me fait ouvrir le compas : cest sa bouche qui vient me faire du bien. Elle lèche mon cul, monte sur le puits où elle entre le plus possible. Je le sens bien quand le bout de sa langue est sur mon point G. Là je supporte une langue longtemps, elle me fait jouir plusieurs fois.
Enfin elle se tourne pour me donner son sexe. Je le prends à pleine bouche. Je lembrasse comme si cétait sa bouche den haut. Ses jambes passes sur mes épaules. Je peux lui faire tout ce que je veux. Jécarte ses lèvres avec deux doigts pour lécher à mon tour son sac à jouissance. Je ne cherche que son plaisir, même si elle men donne à nen plus finir. Je cherche un peu son point G en représailles. Nous gémissons à deux maintenant.
Jentre deux doigts réunis dans son cul. Elle men fait autant. Jaimerai me faire mettre par une bite, nimporte où, devant ou derrière, je nest pas de préférence.
Elle revient se coucher, les jambes ouvertes.
- Tu préfères devant ou derrière, moi cest derrière.
- Je men doutais.
- Bien sur tu mas enculée avec la langue et des doigts.
Nous nous installons confortablement, si on peu dire, elle soccupe de récupérer de la cyprine sur nos deux chattes, elle en mat le lus possible sur les bouts du gode. Elle commence par moi, elle entre doucement mon bout. Je peux la voir quand elle sencule. Elle actionne le gode, et nous voilà parties dans une drôle de sarabande. Elle manie le gode avec dextérité : elle en a lhabitude. Elle est très douce au début pout finir comme si elle voulait nous défoncer : cest plus que bon.
Seulement lheure tourne. Nous avons encore envie de jouir. Nous nous rhabillons, elle part, je la suis jusquà chez elle.
La nuit va être longue, surtout quelle ma promit de me fister.
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