En Congrès
L'assemblée générale de cette grande institution se tient cette année dans notre charmante ville moyenne, dynamique, au patrimoine historique passionnant. Les locaux d'accueil des manifestations sont spacieux et entourés dhôtels de qualité à la portée de toutes les bourses. L'essentiel de mon travail consiste à accueillir les congressistes, à les guider vers les lieux d'activité, de couchage et de repas. Parfois, j'accompagne aussi leurs visites de notre jolie cité. Pendant les séances, je suis dévolue à la circulation des microphones pour les interventions de la salle et à la sécurité. Je passe donc l'essentiel de mon temps debout et éventuellement assise au dernier rang de la salle. J'aime bien nos nouveaux uniformes en stretch moulant qui mettent si joliment nos formes en valeurs. La trentaine et une première maternité ont sculpté ma plastique et j'attire facilement le regard des hommes lorsque je la mets en valeur. De taille moyenne, la cambrure de mes reins, mes épaules droites et mes seins en poire assez volumineux aimantent lil. Cheveux courts bruns et yeux noisette, j'ai un visage assez régulier qui complète assez joliment mon aspect physique. Je réussis habituellement à me faire engager comme hôtesse sur nombre de manifestations.
Cette fois-ci, les organisateurs sont hyper rodés et je travaille de façon détendue. Ils nous ont dispensées de rester debout dans les travées et nous utilisons les sièges libres en bout de rang pour nous reposer entre deux débats Pendant ceux-ci, je circule dans les allées armée de mon micro HF et me penche pour le remettre aux intervenants. A ce moment là, ma courte veste remonte et met en valeur mon postérieur tandis que ma jupe se trousse sur mes cuisses. Plus d'un regard se concentre sur moi à ce moment : essentiellement celui des hommes. Lorsque le rapport d'activité commence, je massois le plus élégamment possible sur un siège en bout de rang. Mon dos est très droit et ne repose pas sur le dossier.
Est-ce ce ressenti qui a influé sur mon attitude et créé quelque attitude lascive ? Toujours est-il que je sens le souffle de mon voisin de fauteuil. Deux mains légères se placent sur ma cuisse nue et au creux de mes reins. Je tressaute alors que celui-ci pose un léger baiser au coin de mes lèvres. Je n'ose ouvrir les yeux et reste impavide pour n'attirer l'attention de personne. Les deux mains en profitent pour cheminer. Une me caresse le bas du dos sous ma veste. L'autre a gagné l'intérieur de mes cuisses et remonte vers l'aine. Je suis terriblement gênée car mon voisin ne peut plus ignorer l'absence de tout sous-vêtement pour rendre ma silhouette plus élégante sous ma tenue moulante. Un doigt caresse mes grandes lèvres et un autre glisse dans ma ceinture de jupe pour atteindre ma raie culière. Mon ventre se contracte et mes reins se cambrent à lextrême. Les doigts s'enhardissent et pénètrent mes fesses et l'entrée de mon vagin. Lorsque je dois me lever pour le débat, je suis terriblement gênée et ai l'impression de donner une image sexualisée de mon corps. Mais je retrouve très vite mes réflexes professionnels.
J'en profite pour regarder mon agresseur . C'est un homme sans charme et sans age, un peu plus grand que moi, assez enveloppé. Son regard bleu me détaille insolemment dans un sourire provocateur. J'ai du mal à le soutenir. Je ne lui trouve aucun charme et pourtant je ne rêve que que de le laisser me caresser et pénétrer mon corps. Je profite d'une nouvelle intervention à la tribune pour venir m'asseoir à nouveau près de lui, dans la pénombre. Il s'est enhardi et déboucle va veste pour caresser mes seins dressés tandis qu'il trousse ma jupe au point de dénuder partiellement mon bas ventre.
Je suis entièrement dénudée lorsqu'une feuille de papier est glissée sous la porte. Il y est écrit : « ouvrez moi que je vous contemple ! » J'hésite, puis finalement tourne le loquet. Mon agresseur ouvre largement la porte au point que j'en rougis et cache ma poitrine et ma toison pubienne. Je ne sais qui m'a vu. Il referme et me contemple. Il me fait tourner sur moi même d'une main tandis qu'il me caresse de l'autre. Il m'oblige à faire face au mur en lui montrant mes fesses, à me plier en deux et à écarter les cuisses. Il humidifie tous ses doigts dans ma bouche qu'il dilate et déforme. Il engage deux doigts dans mon sexe et laisse trainer son pouce sur mon clitoris. Puis il humecte copieusement mon cul de sa salive avant d'y enfoncer prudemment un puis deux doigts. Le tourbillon commence et je ne m'appartiens plus. Le mouvement coordonné devient de plus en plus rapide et violent. Je me sens habitée par lui et chaque mouvement me pousse un peu plus vers un énorme orgasme qui semble devoir m'envahir. Son souffle trahit son effort. Mon corps vibre et mes jambes ne me portent plus. Je suis enfichée sur ses deux mains sans pouvoir en sortir. J'ai l'impression que tous ses doigts longs et doux sont maintenant en moi et me soulèvent. Jexulte et les orgasmes succèdent aux orgasmes. Je mords mon poing pour éviter de hurler. Lorsqu'il sort de moi, il me retient par la taille pour m'éviter de chuter lourdement.
Il me rhabille et je reprends conscience. Je suis étonnée de ne trouver aucun désordre dans sa vêture. On le croirait à peine sorti de séance. Au passage il caresse mes seins qui se tendent douloureusement. Il essuie délicatement mon entrejambe qui s'échauffe encore. Lorsque je le quitte pour reprendre mon poste, j'ai l'impression de n'être plus qu'un sexe sans autre capacité d'action.
Lorsque nous pénétrons dans sa chambre, je suis étonnée d'entendre une voix aiguë dire : « c'est toi mon chéri ? » Mon étonnement redouble lorsque je vois sortir de la salle de bains un jeune homme asiatique d'une trentaine d'années et d'une grande beauté. Il n'est revêtu que d'un caleçon prés du corps qui moule un phallus aux fort bonnes proportions. Il embrasse mon ur sur la bouche goulument en lui caressant les fesses. Il s'approche de moi et écarte mes bras pour mieux contempler mon intimité. Je suis embarrassée de découvrir l'amant habituel de celui qui m'a si bien fait l'amour. Je le sens jaloux de moi et en même temps plein de désir.
Il me fait signe de m'allonger à plat ventre sur le lit et commence à m'attacher sur celui-ci, membres écartés à lextrême. Je ne vois plus rien car j'ai la tête dans l'oreiller. Une main sèche me caresse les fesses puis m'enduit la rondelle d'un gel frais. Un doigt mesure la dilatation de mon cul. Je sens ensuite un corps léger s'installer entre mes jambes et un long vit s'enfoncer dans mon cul. Malgré l'absence de préliminaires, je méchauffe rapidement sous la douce caresse de l'amant asiate(?). Lorsque je commence à donner de la voix, il sort de mes fesses et une nouvelle queue y rentre et son propriétaire m'écrase de son poids. Mon premier amant(?) donne de violents coups de reins dans mes entrailles en feu. Je hurle mon orgasme bien avant qu'il n'éparpille sa semence dans mes tripes, alors que le foutre chaud de mon autre amant gicle sur mon visage tourné vers lui.
Je vais rester toute la nuit en leur compagnie. Il vont revenir dix fois vers moi pour me baiser dans toutes les positions. Par contre, le rituel reste le même : l'asiatique m'échauffe et sort de moi pour laisser son amant aller jusqu'à mon orgasme. Ce sera le cas lorsqu'ils envahiront aussi plusieurs fois ma chatte. J'apprécie la longue pine asiate qui flirte avec le col de mon utérus. Par contre, ils vont violer ma bouche chacun leur tour jusqu'au bout. Au début je les oblige à sortir de moi pour évacuer leur semence. Par la suite, j'apprends à l'avaler. Au matin, ils me prennent en double longuement. Mais là, ils se font l'amour et je ne suis plus quun ustensile. Ils s'embrassent et se touchent. Je sens leurs queues se rechercher et se frotter longuement à travers mon périnée. Je m'efforce alors de les caresser pour me sentir moins exclue. L'excitation vient quand même pour un orgasme d'intensité modeste.
Au matin, quand je reprends mon service quelque peu défraichie, tout le congrès semble au courant de mes frasques. Je croise des regards insultants, envieux ou lubriques. J'ai préféré me montrer hostile avec tous pour m'éviter une nouvelle et phénoménale indignité publique. A l'heure des adieux, mes deux amants sont venus se frotter contre mon corps et envahir la bouche de leurs langues et mes zones érogènes de leurs mains. J'ai ensuite pris ma paye et me suis enfuie sans demander mon reste.
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