Anaïs

Pendant mes années de lycée, j’allais souvent passer le weekend chez ma tante Hélène. Je m’amusais bien avec Anaïs ma cousine qui avait deux ans de plus que moi. Anaïs était une belle brune avec de jolis yeux verts en amande, une poitrine bien ronde et bien ferme et un cul a la courbure magistrale dont j’avais un mal de chien pour essayer de détourner mon regard. Et que dire de ses pieds ? Ils étaient d’une perfection de déesse et elle en prenait bien soin : toujours impeccables, toujours de jolies couleurs de vernis (j’avais un petit faible pour le rose) et toujours mis en valeur par les chaussures qu’elle portait. Je passais mes nuits à fantasmer sur son corps si sexy à mes yeux, et, étant fétichiste des pieds (vous l’aurez remarqué), ses pieds avaient une part importante dans mes fantasmes.
Un vendredi soir après le diner, on regardait un film ensemble assis sur le canapé. Elle avait croisé ses jambes et balançait sa chaussure sur le bout de ses orteils m’offrant ainsi le spectacle de mes rêves… inutile de préciser qu’à partir de ce moment le film ne représentait plus aucun intérêt pour moi !). et pendant que j’étais hypnotisé par le mouvement de son pied, j’entendis une voix me tirer de ma rêverie :
-tu ne suis pas le film ?
Gêné, je m’empressai de balbutier maladroitement : Si ! Si ! Mais je l’ai déjà vu.
Après cela elle continua son manège jusqu'à ce qu’elle se déchausse puis s’allonge sur le canapé en posant ses pieds sur mes genoux. Mon Dieu ! J’en ressentis une telle excitation ! L’objet de mes désirs juste la sous mes yeux !
-ça ne te dérange pas j’espère ? Me demanda t-elle.
-non pas du tout, répondis-je (j’aurais volontiers renoncé a tout l’or du monde pour ça !) puis sautant sur l’occasion :
-tu voudrais que je te fasse un massage ?
-oh oui c’est gentil !
En vérité, j’étais loin d’être un expert en massage mais j’y mettais tout mon amour pour honorer comme il se devait ces pures merveilles.

Anaïs a du s’en rendre compte car elle me dit :
-hum… Tu fais ça super bien ! c’est vraiment relaxant !
-Heureux que ça te plaise.
J’ai continué ainsi en exerçant une légère pression sur la plante tout en caressant délicatement l’arche. Mon bas ventre était en feu, je voulais aller plus loin : je mourrais d’envie d’embrasser ces divins pieds, sentir leur tendre contact contre mon visage et en humer le doux parfum.
J’étais sur le point de tenter le coup quand ce fut la fin de ce maudit film, Anaïs se lava, éteignit la télé puis me dit :
-Il est tard, on devrait se coucher tu ne penses pas ?
-oui, je suis crevé, répondis-je en pestant intérieurement contre la malchance.
Elle me prépara le canapé puis m’embrassa sur la joue en me souhaitant une bonne nuit avant d’aller dans sa chambre.
Je suis resté allongé durant une bonne demi-heure : j’étais bouillonnant et je n’arrivais pas à chasser de mon esprit l’image des pieds d’Anaïs entre mes mains…
Puis, cédant à la tentation, j’ai décidé d’aller dans sa chambre vérifier si elle dormait. J’ai ouvert le plus discrètement possible la porte de sa chambre avant d’entrer. Là, je vis Anaïs qui semblait dormir a poings fermés. Je me mis à genoux devant son lit et soulevai doucement le pan de drap couvrant ses pieds : J’avais devant moi la perfection incarnée que j’ai tant désiré.
Sans perdre de temps, j’ai collé mon visage a sa plante en m’abandonnant au parfum enivrant qui me fit bander comme jamais. Je sortis ensuite ma langue pour lécher et adorer dignement ces pieds divins. Après un moment de pur plaisir, je n’en pouvais plus : je devais me vider. Je mis donc mon engin entre ses pieds et entamai un mouvement de va-et-vient de plus en plus frénétique, j’étais comme un fou et je ne faisais même pas l’effort de retenir mes râles jusqu'à ce que j’éjacule un long jet de sperme chaud le long de ses jambes.
-Maintenant que tu t’es fait plaisir c’est mon tour !
En entendant Anaïs je fus d’abord figé de stupeur, puis elle ajouta : viens la mon salaud !
Elle prit ma bite qui venait tout juste de débander et entama une douce fellation, elle suçait si bien qu’il me fallût à peine cinq minutes pour bander de nouveau.
Anaïs se mit en levrette, écarta ses fesses et cria : encule moi ! Le moins que l’on puisse dire c’est que je ne me suis pas fait prier ! Je me mis de suite derrière elle, puis je plaquai mon gland contre son œillet avant de l’enfoncer doucement et de la sodomiser de plus en plus fort sous ses gémissements qui m’excitaient de plus en plus…
Anaïs se tripotait le clitoris quand elle me lança :
-Jouie a l’intérieur de moi !
Le mouvement de mes coups de reins devint infernal, je serrais son derrière très fort contre moi quand j’ai enfin atteint le point culminant : je vidais ma semence dans son joli cul…
Après cela on est resté un moment savourer ces moments qui nous avaient emmenés au septième ciel, puis je suis reparti me coucher l’esprit dans les nuages.
Mes prochains weekend avec ma cousine seront à coup sûr beaucoup plus HOT…


A SUIVRE…

PS : ceci est ma première histoire merci de me donner votre avis.

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