Leslie Ar11
Leslie AR11 Sophie, les confessions dune collègue
Une de mes collègues de travail, une lesbienne qui ne cachait pas ses attirances pour les femmes et avec qui javais lhabitude de déjeuner le midi un jour me fit des confidences.
Cela faisait deux ans que nous travaillions dans le cabinet de Michel, et au fil du temps nous nous sommes rapprochées lune de lautre. Dabord pour cause de travail, puis nous estimant mutuellement pour des relations amicales, avec le temps était devenue une amie.
Nous aimions bien cest petit midi à papoter sur nos vie installées devant un bon plat dans notre petit restaurant favori, nous y allions de nos joies et de nos peines, de nos relations passées et présentes, elle connaissait mon secret et le respectait, dailleurs cest une des rares personnes du travail qui connaissait mon état. Ouverte desprit, vivant elle-même différemment que le tout un chacun, elle savait écouter.
Nous navons jamais envisagées davoir des relations physique ensembles, nous tenions à garder cette intimité permettant les confidences les plus intimes, sans terminer dans un lit.
Je me souviens des confidences de Sophie, quand elle me parla de ses débuts dans le saphisme.
« Jétais partie, cette année-là en vacances avec les parents de ma meilleure amie, copines de lycée.
Nous nous rencontrions souvent chez lune ou chez lautre pour faire nos devoirs ensemble, nous sortions ensembles aussi, en fait nous étions quasiment inséparables, quand lune apparaissait, lautre en général nétait pas loin.
Nous dormions souvent chez lune ou chez lautre, mais nous étions jeunes et restions prudes et réservées sur nos corps. Parfois nous faisions de petites remarques sur le corps de lautre, sans jamais aller très loin, mais nous remarquions que nos corps changeaient et que parfois un certain émoi nous remplissait nos corps.
Cette année-là, notre bac en poche, nous sommes partie avec les parents de Cathy, à Banyuls sur mer, où ils avaient loué deux chambres dhôtel, une pour eux et une autre pour nous.
Nous étions heureuses et allions profiter de ne rien avoir à faire après une année bien chargée, le deuxième jour cétait la fin de laprès-midi.
Cela faisait moins dune heure que nous étions rentrées de la plage. Je métais douchée la première et métais étendue sur le ventre, au milieu du grand lit de notre chambre dhôtel. Il faisait chaud et je ne portais quune petite culotte de coton blanc en feuilletant un magazine.
Sophie sortit de la salle de bains en essuyant ses cheveux avec une petite serviette. Elle la posa sur une chaise et sassit sur le lit à côté de moi. Elle me caressa doucement des doigts de sa main droite mon dos nu, en me disant :
- Cétait sympa à la plage aujourdhui, dit-elle. Tu nétais certes pas la seule, mais, tu sais, jadmire vraiment ta liberté de te baigner complètement nue.
- Ben, ce nest rien du tout, répondis-je, tu sais bien quavec mes parents jai fait du naturisme depuis que je suis petite, cest très naturel pour moi
Sophie me sourit.
- Là, tu as tout à fait raison ! Mais jai remarqué que tu es complètement épilée, nest-ce pas ?
- Oui, cest plus joli, tu sais les poils sous les bras et sur le pubis, cest vraiment moche.
- Cest vrai que cest plus joli, je devrais mépiler moi-aussi.
Cathy paraissait troublée, du bout de son index, elle suivait le bord de ma culotte en disant :
- Et puis, comme tu restes nue sur la plage tu nauras pas les traces de maillot.
- Cest lavantage de vivre nue ! Dis-je à Cathy.
- Tu sais, heu, je voulais te demander quelque chose.
- Oui, je técoute, répondis-je.
- Cet après-midi, quand je tai vue nue sur la plage, jai réalisé que cétait la première fois que je te voyais ainsi, tu te rends compte depuis si longtemps quon se connait, la première fois.
- Bon, daccord, rien de fabuleux.
- Oui, mais, jai soudain pensé à quelque chose que je narrive plus à menlever de la tête.
Jai souris à Cathy en posant une main sur son épaule, en lui disant :
- Alors, Cathy, dis-moi simplement ce qui te trotte dans la tête, navons-nous pas de secrets lune pour lautre ?
- Oui, bien-sûr, mais cest délicat !
Je sentais les doigts de Cathy caresser doucement mes fesses au travers de ma fine culotte.
- Pendant que je te regardais, nue sur la plage, jai eu envie de te voir intégralement nue pour moi, rien que pour moi et je me suis demandé si tu me serais daccord.
- Cela ne me pose pas de problème, lui dis-je.
- Me retournant, jai enlevé ma culotte pour apparaitre nue devant Cathy.
- Voilà, ton désir est exhaussé.
Cathy me regardait avec des yeux plein de désir, et je me suis à cet instant dit que nous allions basculer dans un autre univers que notre simple amitié denfance.
- Tu sais que je ferais nimporte quoi pour toi.
- Oui je le sais répondis-je à Cathy.
- Et toi, tu ferais tout pour moi !
- Demandes-moi et tu le sauras.
- Jai un peu peur que tu refuses, répondit doucement Cathy.
En disant cela Cathy se recroquevilla sur elle-même, comme si elle était certaine de recevoir un refus de ma part.
- Tu sais, continua-t-elle, en te voyant nue sur la plage, jai vu ta vulve imberbe et cela ma fait des choses, tu sais, ohhh comme cest difficile, enfin, je veux dire, des picotements dans le bas du ventre, des désirs quoi et je me suis demandée
- Et tu tes demandée, insistais-je.
- Bon, heu, doucement Sophie, je me suis demandée si tu voulais mépiler ma toison pubienne et que mon sexe soit aussi nu et lisse que le tien, et, heu, oui bon, si tu me regarderais différemment et que tu me désires comme moi je te désire depuis longtemps déjà.
Cathy restait prostrée attendant ma réponse, elle venait de mavouer, sans le dire vraiment, quelle maimait et quelle avait envie de moi, depuis longtemps.
Il est vrai que nous aurions pu basculer depuis pas mal de temps déjà, mais nous étions restées chacune dans lattente de lautre.
Ma réponse allait déterminer la suite de notre amitié, où cela se terminait maintenant, où nous basculions dans un rapport les bien que, sans me lavouer vraiment, je désirais tout autant que Cathy.
- Alors là !
- Tu vois, je savais bien que tu le prendrais mal, minterrompit Cathy.
Je regardais Cathy dans les yeux et lui dis :
- Cathy, si tu en as vraiment envie, je vais tépiler, mais, après, plus rien ne sera pareil entre nous
Cathy me regardait dun air ébahi et demanda :
- Que veux-tu dire ?
- Il est bien possible que nous devenions amantes pour de bon.
- Depuis si longtemps que jen crève denvie ! »
Etrangement la suite de la confidence, Sophie me la confié comme une histoire, cela donna un ton plus narratif à ce quelle me conta.
Sophie a regardé Cathy, elle la trouvais belle et désirable, ensemble elles allaient se donner du plaisir, et Sophie sentie qua cette instant elle mouillait pour Cathy.
- Maintenant, murmura doucement Sophie, mets-toi nue, je reviens dans un instant.
Cathy eut un sourire espiègle, elle avait compris elle aussi que leur relation venait de basculer, alors elle dit :
- Je suis si impatiente de sentir ta langue sur ma vulve lisse !
Sophie navait pas attendu, elle sétait levé le cur battant et le sexe en feu et elle revenait maintenant de la salle de bains avec quelques objets quelle étala sur le lit. Elle glissa un doigt sur la toison de Cathy.
Il nous faut enlever tout cela, dit-elle dune voix tremblante dexcitation.
Cathy sétait allongée sur le lit les cuisses écartées pour offrir son épaisse toison sombre et bouclée au regard de son amie.
- Je crois quil faut que tu saches, Cathy, dit Sophie, quil faudra te montrer, avec moi sur la plage, dans ta toute nouvelle splendeur. Je sens que je vais adorer les regards sur ton sexe imberbe.
Elle empoigna de sa main droite les ciseaux chromés. Cathy sentit un moment le froid du métal alors que Sophie manuvrait lengin sur son mont de Vénus.
Elle entendait les coupes plus quelle ne les sentait.
Elle avait fermé les yeux et tenait maintenant les cuisses très écartées, une main sur chaque genou.
Après que Sophie eût parcouru à plusieurs reprises avec ses ciseaux lentrejambe de Cathy, elle balaya de la main les mèches coupées.
Sophie était concentrée sur son travail et eut tôt fait de couper très courts tous les poils des grandes lèvres de Cathy, jusquà sa rosette. Cathy soupira doucement lorsque Sophie lenduisit de mousse à raser quelle sentit un peu fraîche.
Puis elle glissa doucement le rasoir sur la peau de Cathy, laissant parfaitement lisses les endroits où les petits poils gâchaient encore le tableau. Bientôt le mont de Vénus de Cathy se trouva parfaitement lisse au-dessus et des deux côtés de ses lèvres intimes. Attentive et disciplinée, Sophie continuait le rasage des grandes lèvres brillantes dhumidité jusquà ce quelles soient dépourvues de tout poil. Et même les plus petits restes de poils de sa rosette néchappaient pas au regard et au rasoir de Sophie et, peu de temps plus tard Cathy rouvrit les yeux, elle était, depuis le nombril en passant par son sexe et jusquà son anus, complètement dépourvue de poils.
Cathy laissa glisser sa main droite entre ses cuisses et parvint pour la première fois à sa peau totalement lisse que Sophie venait denduire de crème.
Sophie sourit à Cathy, se pencha sur elle et lembrassa tendrement sur la bouche.
- Tu es mon amour, murmura Sophie doucement.
A suivre
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