Mon Beau Frere, Mon Amour...
Je suis assise sur un coin de la table à moitié desservie avec la queue de mon beau frère qui me défonce la chatte, désorientée je la regarde entrer et sortir toute luisante de mouille.
Tout a commencé quatre ans plus tôt a cette époque javais treize ans taquinée par les premiers troubles de ladolescence, quand ma sur a amené a la maison ce beau jeune homme brun pour le présenter comme son fiancé a nos parents , jen suis tombée immédiatement amoureuse , lui ne me remarquait même pas , mes tétons commençaient juste a pousser, javais trois poils sur le pubis mais mes sens étaient pourtant en plein émoi, cest en limaginant nu en érection bien que le mot érection ne voulait pas dire grand-chose pour moi , comment était une verge en érection ?? Cest donc en imaginant une tige de chair énorme que mes doigts exploraient ma vulve vierge
Au fil du temps je multipliais les occasions pour massoir sur ses genoux, jécrasais mes petites lèvres sur sa cuisse, ça ne lui était pas indifférent car une bosse finissait par déformer sa braguette, ça agaçait ma sur qui me chassait loin de lui, je marrangeais aussi pour sortir de la salle de bain en petite tenue quand il était a la maison, ou bien des décolletés outrageux et des coups dil langoureux en douce
Une fois, enfin, nous étions a lextérieur avec toute la famille, nous jouions a je ne sais plus quel jeu débile genre cache- cache, quand dissimulé derrière labri jardin je lai vus sortir sa verge pour uriner, se doutais il que je lobservais ? en tout cas il a commencé a tirer la peau de sa queue vers lui, un champignon énorme et rose est apparut, en quelques secondes il a plus que doublé de volume ainsi que toute la hampe puis il la recouvert pour a nouveau le découvrir encore plus a fond, il allait de plus en plus vite a manipuler sa queue, je me suis montrée mais ça ne la pas empêché de continuer au contraire il a accéléré la masturbation en me fixant et soudain il sest tendu comme un arc, des jets abondants on jaillis très loin de lui cétait fascinant, mes cuisses se serraient lune sur lautre, mon clitoris gonflé sortit de sa cachette frottais sur ma culotte, une onde bienfaisante a envahit mon bas ventre, emportée brusquement par un orgasme inattendu je me suis enfuie honteuse
Après ça tout était bon pour nous frôler, moi, en passant devant pour me frotter a sa braguette , lui, laissant une main trainer sur mes seins ou mon cul rebondit, puis ils se sont mariés, partis de la maison je les voyais moins souvent, un bébé est né, laventure que je désirais secrètement tombait a leau, il navait dyeux que pour son bébé
.
A table Il était en face de moi il cherchait visiblement à communiquer avec moi, en plein repas devant la famille jévitais son regard insistant, soudain un pied effleure le mien, surprise je retire aussitôt le mien, il revient a la charge cette fois je laisse faire, il a quitté sa chaussure, son pied nu remonte le long de mon mollet, mon genou, je desserre les cuisses et mavance sur le bord de ma chaise imperceptiblement, lui aussi, le gros orteil effleure ma culote, au risque que quelquun puisse voir mes contorsions je me colle au maximum sur la table qui me rentre dans le ventre, cest mieux, lorteil fait pénétrer le tissu qui sépare mes lèvres elles se lubrifient immédiatement, mon clito est labouré sans ménagement, je doit être rouge comme une pivoine au bord de la jouissance mais
.
- Eh bien Laurence ? tu te trouve mal ? tu ne mange plus quy a-t-il ?
- Rien maman, rien ça va ! cest juste que jétais dans les nuages !
- Tu es amoureuse surette ? toujours pas de petit copain ?
- Oh non ! pas du tout
- Ça viendras vite tu verras
- Ne parle pas de malheur à dix sept ans elle à le temps, les études avant tout !
Le déjeuné à peine finis Lola, leur petite fille, va jouer dans le jardin une demie heure plus tard elle arrive en hurlant la bouche en sang évidement tout le monde est affolé, elle est tombée et sest ouverte une lèvre
- Cest bien ouvert, il faut lemmener aux urgences pour lui faire mettre des points
- Tu es trop affolée pour conduire ton père et moi allons temmener
- Voulez vous que je vous accompagne belle mère ?
- Non ce nest pas grave, restez avec Laurence
- Je vais desservir la table et faire la vaisselle partez tranquille
Une impression bizarre sempare de moi, je deviens nerveuse, mon beau frère finalement gêné que lont se retrouvent seuls sort de la maison pour aller prendre lair
Je remplis le lave vaisselle et lave a lévier ce qui ny rentre pas, soudain je sens une présence derrière moi, les deux mains dans la mousse je ne bouge pas, il se colle a moi, une protubérance déforme sa braguette et appuis sur mes reins, deux mains englobent carrément mes seins, je tente de me dégager mais en ai-je bien envie ?
- Du calme jeune pouliche, je vais tapprivoiser
- Tu es fou laisse moi !
- Je suis sur que mon pied ta faite mouiller tout a lheure je peux vérifier ?
Joignant le geste a la parole il glisse une main sous ma jupe je suis effarée mais ça ne mempêche pas décarter les pieds et de maccrocher au bord de lévier sans bouger, en bon connaisseur du sou- vêtement féminin il accroche lélastique de mon entre jambes et le passe dans laine opposée, ma chatte est découverte, deux doigts se faufilent adroitement pour aller dégager mon clitoris exacerbé, mes genoux se plient et souvrent pour que les doigts puissent aisément me caresser
Il appui sa formidable érection sur mes fesses, cest une barre très dure qui me colle au meuble
- Tout doux petite, je vais te faire du bien laisse toi faire
.
Lautre main relève ma jupe et prend mon slip à la taille pour le faire glisser vers le bas
- Ne reste pas inactive, tu te souviens quand tu me regarderais me branler ? je savais que tu étais là ! depuis je me suis juré que je taurais, rince-toi les mains et dégage ma queue qui étouffe dans mon pantalon
Comme une marionnette jobéis, je passe une main pour chercher la boucle de sa ceinture, puis le maudit bouton qui ferme le vêtement, la braguette était déjà baissée il tombe en accordéon a ses pieds, le gland que javais aperçue un jour dépasse du boxer je men empare, cest chaud très doux et dur comme du béton
- Bien, très bien caresse le doucement, Huuuummmm tu me fais du bien, tu es mouillée comme une serpillère ta envie de baiser hein ?.... Tu ne réponds rien ? tourne toi et agenouille toi tu va voir mon chibre de plus prés
Jai devant les yeux la barre qui ma faite tant fantasmer mes doigts nen font pas le tour, je me souviens de ses mouvements quand il se branlait devant moi, jimite ses gestes
- Ooooooohhhhh oui, masturbe moi, oui comme ça muuuuuummmmmm cest bon, accélère un peu approche ta bouche et lèche la goutte qui perle a mon bout
Profitant de ma naïveté il appuis derrière ma tête et donne un coup de rein, la chose entre dans ma bouche
- Ne recrache pas tu va voir comme cest bon le jus dune queue, continue à faire bouger la peau, va plus vite
plus vite
PLUS VITE !!!! AAAAAAAHHHHHH
- RRRAAAAAAAAHHHHH !!! pooouuuaaahhhh ! salaud ! tes malade ? jai faillis , pouah cest dégueulasse
- La prochaine fois cest toi qui me demanderas à tout gicler dans ta bouche, aller vient tassoir sur la table je vais te bouffer la moule tu va voir que la langue cest meilleur que tes doigts
- Non, il ne faut pas cest mal
- Tu veux que je te baise ou pas ?
- Beeeennnn, je ne me suis pas préparée pour ça
- Limprévu cest le meilleur ! aller ouste ôte moi le chiffon mouillé que tu as entre les jambes
Partagée entre le bonheur de me faire trousser et la honte de me montrer quasiment nue a mon beau frère je fais ce quil me demande, les jambes de chaque cotés de la table assise juste sur le bord je me tiens des deux mains aux rebords ma chatte est prête au grand sacrifice
Il passe une de mes jambes sur son épaule son souffle chaud me fait du bien, aussitôt sa langue me pénètre avant de remonter vers mon clitoris, je me mords les lèvres pour ne pas hurler, il me semble que mon vagin devient torrent, il aspire, lape, mordille, mâchouille mes lèvres,
- Tes bonne petite salope, ya trop longtemps que tu mallume on va passer aux choses sérieuses car on na pas trop de temps la prochaine fois je te ferais grimper aux rideaux, pose tes talons prés de tes fesses ta chatte va bailler comme une carpe
oh putain quel tableau ! retient ton souffle je vais tembrocher
.
- Ooooooouuuuuuuuuuhhhhhh !!!!!!!
- Putain tes plus serrée que ta sur ça me serre la bitte, accroche toi a mon cou
Les deux mains croisée je maccroche a lui, il passe les siennes sous mes fesses et me soulève je descends en mempalant entièrement sur son membre, de la table il me pose sur le rebord de lévier et comme un obsédé recommence un pilonnage intense, tout mon corps est secoué il grogne de rage, de nouveau je suis soulevée il me pose prés de la porte, soulève une de mes jambes et me cogne contre la cloison, un ruissèlement chaud sécoule de mon vagin
- Emmène moi dans ta chambre je vais te finir a la missionnaire je veux voir ton visage quand tu va jouir salope
- Mais ils risquent de revenir
..
- Toccupe ils en ont pour un bon moment jai le temps de mamuser avec toi, que dirait tu si je te prenais par le petit ? ta sur aime bien ça
- NON ! je ne lai jamais fait par là et cest sale !
- Tu ne diras pas la même chose quand tu lauras plantée jusquaux couilles, tu me fais confiance ?
- Cest que je taime et je suis prête à tout pour baiser avec toi
- Ah ben voilà ! allonge toi je vais te préparer tout en te baisant par devant, remonte les genoux ça me gêne
muuummm on dirait une fleur a laquelle il ne manque plus quune tige
- Alors quattends-tu pour mettre la tienne
- Aaaahhh mademoiselle se libère ! OK et deux doigts dans ton illet
.. embrasse moi en même temps comme ça tu gueuleras moins fort
Nos salives se mélangent tandis quil me laboure merveilleusement bien des bruits de sucions émanent da ma moule éclatée, je dois reconnaitre que pas un garçon ne ma baisée aussi bien, nos poils sont collés par le même jus, ses doigts me font du bien les muscles de mon rectum se relâchent peu a peu, je ne savais pas a quel point cette zone pouvait être aussi érogène
- Le moment est venus tes assez ouverte, je vais décharger sans ton cul
- Jai peur
.
- Ça va bruler légèrement, caresse toi le clito ça va faire diversion
Il me semble que mon anus va déchirer mais je serre les dents pour ne pas monter la douleur, soudain la queue pénètre, il marque un arrête la douleur sestompe, cest moi qui vais au devant de lui en donnant un coup de rein, aussitôt il se met en mouvements, il membroche lentement jusqu'à ce que ses couilles butent sur mon cul ensuite il me pilonne aussi vite que par devant, je suis étonnée de ressentir autant de plaisir que par la chatte jai jouis deux fois de chaque cotés avant que mon beau frère ne décharge abondamment tout au fond de mon boyau intime, a peine sa queue sest retirée delle-même ayant perdue sa raideur quun bruit de voiture se fait entendre dans la cour
- Mon dieu tu vois avec tes conneries nous voilà piégés !
- Petite conne cest autant ta faute que la mienne, je vais sortir par la fenêtre je mhabillerais dehors, démerde toi a être présentable
Je me rhabille précipitamment et vais dans la cuisine
- Ah tu es là, ou es mon mari ?
- Je ne sais pas dehors je pense
- Mais tu es encore toute rouge et tu as les yeux sacrément cernés dit donc, qua tu fais pour être dans un tel état ????
- Ah bon ? je suis comment ?
A ce moment là japerçois au pied de lévier mon slip trempé de mouille, je me précipite pour le ramasser avant que ma sur ne laperçoive, des coulées épaisses continuent à descendre le long de mes cuisses il faut que jaille aux toilettes vite fait avant que ça natteigne mes genoux !
- Quest ce cest ?
- Oh rien un chiffon
..excuse moi je vais faire pipi
Elle me jette un regard noir et sort de la maison
Quelques semaines plus tard jai du provoquer un avortement, je nai jamais revus mon beau frère seul et cest à peine si ma sur me parle
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!