La Douanière (Suite)
Je suit sa voiture jusquà Bourg Madame, pas loin de lEspagne, à plus de 20 kilomètres dAndorre où nous venions de baiser pas mal de temps. Elle habite un tout petit immeuble au centre de la cité. Je trouve une place pour me garer presque à ses cotés. Je navais pas remis mon string, javais encore la chatte mouillée, dabord pour ce quelle mavait fait en ensuite à cause de sa promesse de me fister. Je la suis jusquà chez elle. A peine entrées nous nous embrassons longuement.
Nous avons encore envie de lautre. Pour ma part, mise à part les débuts de notre relation un peu "spéciale fouille", le reste était rare. Même mon manque de bite était satisfait en double avec elle et dans le cul en plus. Elle commence à me déshabiller, je me laisse faire, elle a peu de travail pour arriver à ce que je sois comme Eve. Je suis bien serrée contre elle : je sens les boutons de son uniforme contre moi : cest excitant. Ce qui lest encore plus est de sentir ses mains sur mes fesses : elle peut ainsi me serrer encore plus. Je voudrais moi aussi la toucher, la caresser, même les fesses, les seins, les hanches, bref tout ce qui fait une femme. A force de chercher laccès je trouve enfin son premier bouton du blouson. Je le défaits et passe la main à lintérieur : elle est chaude, je ne veux plus partir de là. Heureusement quelle se recule un peu pour caresser ma poitrine. Jarrive ainsi à lui enlever le blouson et le soutien gorge. Même si elle me caresse, je peux à mon tour caresser sa paire de nichons. Ils sont durs. Avant de lembrasser sur la bouche je lui demande son prénom : nous avons baisé en oubliant la moindre des politesses, connaitre le prénom de notre amante. Elle cest Cathy et moi Charlotte ; au moins dans nos souvenirs nous saurons comment sappelle notre amante dun soir.
- Cathy, ma chérie, si nous allions nous coucher.
- Attends déshabille moi avant.
Jenlève son blouson suivi de son soutien gorge. Le pantalon est vite à ses pieds.
Maintenant nous sommes complètement allongées contre lautre. Cest plus confortable que son bureau. Aussitôt nous recommençons notre jeu : nos mains parcourent longuement le corps de lautre. Elle est douce au possible. La seule chose à lui reprocher est lodeur de ses aisselles. Je my fais très bien : cest une odeur naturelle que la civilisation a bannie. Nos lèvres parcourent aussi nos corps, nous arrivons vite sur les chattes. Je pensais être la seule mouillée, elle la plus que moi. Ma bouche retourne là où elle aime : jentre dans son rectum. Cathy aussi met sa langue dans le cul. Nous arrêtons vite ce début de 69 pour nous aimer autrement avec ses jouets : Elle me laisse le choix entre un plug anal, un gode vibrant ou non. Je choisis le gode vibrant. Pour elle ce sera un chapelet de billes de plus en plus grosses ; Avant de me les donner pour les lui mettre, elle les enfile dans son con bien mouillé.
Jentre la plus petite bille ans son anus, suivit de lensemble : à chaque fois que jentre une bille, je vois son cul délargir et se refermer quand elle passe. Je pousse les 8 autres jusquà ne faire ressortir que le lien qui les réuni. Je la laisse ainsi un bon moment : je mattache à lécher son bouton. Jai beaucoup de plaisir à lécher sa cyprine. Japprécie la douceur de sa chatte. Jentre deux doigts dans sa vagin. Je la branle ainsi jusquà ce quelle explose. Et quelle explosion, je crois que cest la première fois depuis que nous nous connaissons quelle jouit autant, elle arrive à en crier de jouissance.
Je vais la faire jouir autrement : elle a les jambes écartées, je tire le cordon des billes. Je vois apparaitre au fond la première bille. Je le sort doucement de son anus. Je la vois jouir, je recommence avec la seconde, je vois bien encore son anus souvrir lentement pour laisser le passage et se refermer à peine plus vite quand je fini de la sortir.
Cathy nen peut plus de plaisir rapide.
- Baise moi avec le gode
- Et moi ?
- Je te baiserais aussi comme tu me feras.
Cest facile quand on est en position de 69 de baiser une fille avec un gode. En plus cest excitant de voir le gode entrer dans la chatte de lautre, cest presque comme si on voyait comment lautre le fait. Nous sommes tellement chaudes que nous ne résistons pas longtemps à lorgasme. Il est presque simultané.
Cathy se remet droite, contre moi. Elle passe une main sur mon sexe en entier. Elle met en position accroupie pour me mettre un doigt dans le vagin :
- Je vais te fister, nest pas peur, ça fait beaucoup de bien.
- Vas y, fiste moi.
Elle entre un deuxième doigt puis tous les doigts y compris le pouce. Elle entre en forçant un peu toute sa main. Je regarde curieuse de la suite. Elle met une bonne partie de son bras quand mon con. Jai peur quand je sens quelle va et vient dans ma chatte très lentement. Quel drôle de plaisir, il me semble avoir une bite de cheval. Elle oublie un tout petit moment ses mouvements pour tourner sa main dans mon sexe directement. Cest là que je jouis. Je pense quelle va sortir ses doigts. Elle reste dans mon ventre, cette fois elle me fait jouir en allant et venant. Je ne voudrais pas quelle arrête, que je jouisse longtemps ainsi. Je voudrais même quelle men fasse autant dans le cul.
Quelle baiseuse, quelle maestria pour branler.
Quand elle arrête je suis à bout de force : je dors sur place, totalement vidée. Je me réveille tard le lendemain. Elle est toujours à mes cotés : elle se masturbe en me regardant. En guise réveil on peut faire plus mal. Je la suis dans sa recherche de plaisir solitaire. Evidement nous finissons par un 69, avec un gode dans le cul.
En partant je me dis que pour une fouille douanière jen ai tiré les meilleurs moments.
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