Education D'Une Pucelle

J’ai rencontré Florence dans un centre de formation. Elle était amoureuse de moi et j’ai mis longtemps à m’en apercevoir. Elle participait toujours au groupe dans lequel j’étais. Puis un jour où je me suis retrouvé seul avec elle, les regards ont parlé ! on s’est embrassé et le lendemain, je lui expliqué qu’avec un homme mur, il fallait faire l’amour pour qu’il reste. Elle avait 20 ans et était vierge, j’avais 5 ans de plus et avais déjà bien baisé.
J’adorais dépuceler les jeunes filles, je m’y appliquais pour qu’elle prenne goût à baiser et j’espérais que mes successeurs me remercieraient du beau travail que j’avais fait. Le lendemain soir dans mon lit, je pris plaisir à lui caresser longuement les seins, les fesses, la chatte et tout son corps. Je guidais sa main aussi vers ma bite pour qu’elle prenne plaisir à la caresser, la masturber. Je la faisais jouer avec ma queue en lui tapotant le visage, les seins ou d’autres parties du corps avec mon gourdin. Je vérifiais qu’elle mouillait bien et même très bien pour attaquer la chose sérieuse. Allongé sur son corps, ses jambes bien ouvertes, je guidais ma verge devant la porte d’entrée puis glissais doucement en donnant un petit coup sec pour que la pénétration se fasse entièrement.
Ensuite et en douceur des va et vient permettaient de lui donner du plaisir. Elle arrive même à jouir juste avant que je sente ma sève remonter. Je me retire pour lâcher mon foutre sur sa belle toison fine. Florence était déflorée.
La nuit suivante, l’objectif était de lui apprendre à tailler des pipes. Je l’ai faite jouer longtemps avec Jules (c’est le nom qu’elle avait trouvé pour mon phallus). Je vérifiais sa mouille assez régulièrement et puis quand j’ai estimé que son excitation était au bon niveau, je me suis mis à califourchon sur ses seins et lui ai montré ma bite de près. Sans hésitation, elle a pris Jules en bouche et lui faisait faire des va et vient en bouche. Comme souvent pour les débutantes, j’ai du lui dire de ne pas mettre les dents.

Quand elle a profité plusieurs minutes de cette pipe, je l’ai mise en position de la levrette pour la baiser. Je m’installe derrière elle, guide bien ma queue et voici ma Florence qui profite pleinement des coups de butoir que je lui administre. Son vagin est encore bien serré et c’est très bon pour moi. Je sors ma queue avant de jouir et lui envoie de belles giclées de foutre chaud sur le bas des reins.
Je trouve que Florence apprend très vite. Dans la journée, quand on se croise, et que l’on est seuls, elle me met la main au paquet et se lèche les babines. Le soir suivant, sans que je ne prenne aucune initiative, elle se met à genou devant moi, me baisse la braguette et me prend le gland en bouche. Elle suce un peu, ma queue grossit. Elle lèche alors mes boules et remonte le long de la verge pour venir à nouveau absorber mon gland. Elle me décalotte, suce très bien et pratique maintenant la gorge profonde. Au bout de 10 mn, je l’arrête, l’invite sur le lit, la déshabille et jette mes habits au sol. Elle se met d’elle-même à quatre pattes et m’offre son beau petit cul et sa chatte.
Je profite de sa belle vulve, je lui lèche le clitoris, entre ma langue dans sa vulve, puis j’aspire son clito et fais tourner ma langue tout autour. Je sens que cela lui plait bien. Je me positionne derrière elle, place ma queue devant ce beau trou humide de ma lèche et mouillée de son excitation et enfonce ma bite profondément.
Je fais des va et vient mais sors ma queue de temps à autre pour la frotter sur son petit trou du cul. Je répète cela maintes fois, l’entrée de son petit cul est lubrifié. Je fais alors pénétrer mon gland sans son autorisation puis le retire et astique à nouveau sa chatte. Et puis cette fois, je rentre mon gland et enfonce ma bite entièrement dans son cul. Elle est surprise mais apprécie que je la possède totalement. Là, je fais des va et vient et apprécie l’étroitesse de ce passage. Je sens la jouissance monter en moi et me laisse aller. Je lui en mets plein le cul, je me vide totalement et jouis comme un fou.

Tous les jours qui passent font que je me vide bien les couilles et elle, jouit pleinement et quotidiennement.
En rentrant le week-end à la maison, il me reste à lui apprendre encore des choses.
Je lui fais une éjaculation faciale lors d’une pipe pour la préparer à avaler mon jus.et quand elle me suce à nouveau 2 heures plus tard, je sens monter ma semence et ne l’avertis pas. Je lui tiens bien la tête et Florence franchit une nouvelle étape, elle avale mon sperme. J’ai profité de ce deuxième jet de la soirée moins copieux que ce qu’aurait été le premier. Tous les hommes apprécient que leur femelle aime avaler leur production.
C’est après le repas de midi que je remarque que Florence ne s’est pas épilée la chatte comme je lui avais demandée ce matin. J’en profite pour lui faire découvrir la fessée. Je lui ordonne de venir s’allonger en travers sur moi qui suis assis sur le fauteuil du salon. Je lui baisse sa petite culotte et lui donne une bonne fessée à la main ; ses cuisses rougissent, elle m’implore de m’arrêter mais je sens sa chatte humide sur mes jambes. La fessée terminée, je vais m’allonger sur le lit de la chambre et elle va à la salle de bains s’épiler. Elle fait assez vite et revient dans la chambre. Elle se jette sur ma queue, l’engloutit dans sa bouche et me taille une super pipe. Elle m’expliquera plus tard que la fessée, situation dans laquelle elle était soumise, l’avait excitée et lui avait donné le désir de sucer ma queue.
Le week-end terminé, j’avais bien éduqué ma petite Florence, je pense qu’elle donnera beaucoup de plaisir à ses futurs amants.

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