Peggy 2 : Une Charmante Satagiaire, Suite.
- Ouahhhh, tu es trop géniale. Je ne pensais qu'on puisse être aussi vicieuse à ton âge. Tu es un de mes meilleurs coups, je t'adore. J'espère que tu vas autant assurer pour la suite.
- Merci, mais tu es très bien toi aussi, même si tu es mon premier mec et que je ne peux pas comparer. Par contre pour ce qui est d'assurer, tu devrais te poser la question, à toi.
- T'inquiètes pas pour moi, tu es le genre de salope qui me fait me surpasser
C'est ainsi que s'est terminé mon précédent récit, et je bande à repenser à la suite de notre aventure. Après l'avoir prise quotidiennement aux archives, je veux aujourd'hui me la faire dans d'autres lieux pour garder des souvenirs. On se rhabille et on quitte mon bureau pour aller aux toilettes.
Je ferme à clé pour la rassurer contre toute intrusion. Les toilettes sont vastes, avec trois wc, mais surtout une grande pièce avec deux lavabos et un immense miroir. Avec un peu de recul on peut s'y voir de la tête aux pieds. On se fout à poil, et elle s'affale sur un fauteuil que j'ai apporté. Elle a à la main son joujou que je lui ai demandé de prendre, et elle va me montrer comment elle se gode.
Elle a un toy classique, un mince cylindre qui lui procure beaucoup de plaisir. Elle commence par sa chatte, puis sa bouche, sa chatte, sa bouche, ......... et enfin son cul. Je la regarde faire et je me branle:
- Salope, c'est bon de te voir t'envoyer en l'air. Et toi, ça te plait de me voir m'astiquer le manche. Je me branle tous les weekend en petite pute, je me tape des queues en pensant à toi. Tiens, j'ai un cadeau pour toi.
J'ai apporté un gode, une parfaite réplique d'une belle bite, avec un super gland, de grosses nervures, mais surtout pas plus grosse que la mienne pour lui laisser croire que je suis superman.
Elle le regarde avec des yeux émerveillés, autant de plaisir qu'un devant ses cadeaux de noël. Elle abandonne son tube enfoui dans sa chatte, pour se concentrer sur ce beau phallus.
- Hummmmm, salope, tu aimes ça une bite dans chacun de tes orifices. Il t'en manque une dans la bouche, mais je vais arranger ça.
Je ne sais même pas si elle m'a entendu. Elle est partie dans son plaisir, et se gode la chatte et le cul avec frénésie. Elle semble ailleurs et n'offre aucune résistance lorsque je pénètre sa bouche en gorge profonde.
- Putain de salope, ça ne te fait pas peur trois bites rien que pour toi. Tu es vraiment une chienne lubrique, bonne à remplir de partout....................
Je baise sa bouche, puis visite ses autres trous. Elle fait suivre ses godes de façon à avoir trois queues en même temps. Je l'enfile de partout, change régulièrement d'orifice, et tout ça devant la glace:
- Regarde toi petite pute, regarde la cette minette comme elle aime se faire tringler par un vieux. Tu es trop salope ma pute, je t'adore. Dis moi que tu l'aimes ma grosse queue qui te ramone.
Elle joue le jeu à la perfection, m'avoue son plaisir, me balance des insultes et obscénités comme j'aime. Je continue à alterner ses trous à bites, et elle, à alterner ses godes. Elle est trop chaude cette putain, en fusion, et va m'arracher un deuxième orgasme aussi puissant que le premier.
Elle est à genoux devant moi, les deux godes entre ses cuisses. Je suis face à elle et me branle énergiquement. Son regard est fixé sur ma queue, et attend que j'éjacule avec envie. Je viens, décharge à volonté, et encrème sa jolie petite gueule. Je lui en met partout; le front, les yeux qu'elle a fermés, le nez, les joues, les lèvres. Il y a de grosses éjacs, et je les étale avec mon gland pour ne pas qu'elles tombent.
Je la fais mettre debout devant la glace, me colle derrière elle, et lui tends une petite cuillère:
- Tu es toute souillée sale cochonne, racle toi avec cette cuillère, et bouffe tout, qu'il ne reste aucune trace de tes orgies de chienne dépravée.
Elle obéit sans hésitation, avec un plaisir non dissimulé. Je me frotte à elle et l'encourage:
- Hummmm, c'est bon ça madame, c'est de la bonne pute gourmande qui aime le jus de couilles. Dis moi que tu l'aimes mon foutre, salope, ..........................
Elle ramasse tout, et dévore avec appétit. Elle a tout fait disparaître, mais son visage est luisant. Je la retourne, lui lèche la poire pour finir son nettoyage, et lui roule des pelles. Elle fignole sa toilette avec un peu d'eau, s'essuie, et on se rhabille.
La matinée est passée, et on va au réfectoire pour se restaurer. Chacun a amené sa gamelle, et on mange face à face en discutant gentiment (pas d'injures ni obscénités, chaque chose en son temps). Elle me parle de ses études qu'elle va reprendre en septembre. Je lui dis qu'elle va me manquer, et m'étonne qu'aucun garçon ne l'ai intéressée à la fac. Elle me dit que c'est des cons, mais qu'elle se ratt avec sa colocataire. Elle est très coquine, et c'est elle qui l'a initiée à l'amour entre fille, à se goder. On a finit de manger, et on va prendre le dessert dans mon bureau.
On est à nouveau à poil, et j'ai apporté des fraises pour moi. Des fraises que je veux assaisonner à sa mouille. Elle s'offre, cuisses ouvertes, chatte offerte. Elle s'astique le clito, tandis que je frotte une fraise entre ses lèvres, puis la pousse dans son vagin. Je la lèche, la fourre de ma langue. Puis je l'aspire en même temps qu'elle s'efforce d'expulser le petit fruit explorateur. Slluuppp, j'ai la fraise en bouche, et je prends le temps de la savourer.
Les fraises s'enchainent, elle se masturbe sans retenue, et elle sont de mieux en mieux assaisonnées, délicieuses. J'ai apporté une assiette, et de temps en temps je recrache une moitié de fraise, pour plus tard. J'ai tout fini, sauf l'assiette, et on se relève:
- Elle est trop bonne ta petite huître ma chérie, j'espère qu'elle sait te lécher ta copine, et qu'elle apprécie?
- T'inquiètes, elle est aussi douée que toi, elle me lèche trop bien.
- Je te fais confiance. Si tu lèches aussi bien que tu suces, elle doit s'éclater. Bon, on passe à ton dessert?
- Ohhhh, oui, j'ai trop envie.
J'ai apporté un yaourt, et je vais le lui faire manger, en me servant de ma queue comme d'une cuillère. J'ai le gland bien décalotté, tellement les fraises à la mouille m'ont excité. Je le plante à peine dans le pot qui est plein, pour ne pas le faire déborder. Elle étale le yaourt sur mon bourgeon, et le gobe pour le retirer tout propre. Je recommence, et mon bout s'enfonce de plus en plus, au fur et à mesure que le pot se vide. Le yaourt est bien frais, sa bouche bien chaude, et se chaud et froid a un effet bénéfique sur ma queue:
- Ohhhh, salope, regarde ce gland que je me paye! Je ne l'ai jamais eu aussi gonflé, aussi enflé. C'est trop bon tes pipes torrides après ce dessert gelé. Regarde comme tu la fait s'épanouir ma bite, tu vas bien la sentir quand je vais te la mettre dans le cul.
- Oh non, s'il te plait, elle est trop grosse.
- Ne fait pas ta mijaurée, je suis sûr que tu n'attends que ça.
On avait planifié notre journée, et c'était prévu que je lui casse le cul. Mon manche est plus large qu'à l'habitude, et je vais prendre une petite précaution avant de l'enfiler. Je ne lui fais pas manger tout le yaourt, et me sert du fonds pour napper mon gland, et préparer son anus. Elle se retourne, se penche, écarte ses fesses, et je peux bien la lubrifier.
Je plaque ma queue sur son trou, et la pénètre d'un seul coup, lui arrachant un petit cri. Je me retire et la repénètre à plusieurs reprises:
- Ahhh, salaud, à quoi tu joues?
- Mais à t'enculer, ma salope. Tu aimes la sodomie? Je vais t'en donner de la bite dans le cul.
J'ai déjà jouis deux fois, et je vais pouvoir la tringler longuement avant de remettre ça, d'autant qu'elle prend du plaisir, et m'encourage:
- Ohhhhh, ouiii, tu m'as jamais enculée aussi bien. Elle est grosse à souhait ta bite, trop bien.
On est toujours debout, je l'enfile en levrette, et régale ses deux orifices voraces. Je me tiens une trique d'enfer et je vais la sodomiser dans de nombreuses positions: elle est tour à tour, debout, allongée sur le dos sur mon bureau, à quatre pattes sur le sol et moi à genoux derrière elle, allongée sur le sol jambes relevées et je la prends de face et l'embrasse, moi allongé et elle sur moi,..... On essaie de nombreuses possibilités, et suivant le cas je la pénètre à grands coups de reins, ou je la fais aller et venir sur mon manche en la saisissant fermement par les hanches, ou encore c'est elle qui s'empale sur mon sexe et fait du yoyo dessus.
Le temps passe et je sens mon plaisir venir. Je n'ai jamais éjaculé dans son petit trou, mais aujourd'hui tout est permis, et elle m'accorde cette faveur. Elle est à quatre pattes, je suis derrière elle, jambes fléchies, je l'embroche, et me couche sur elle:
- Salope, je vais te monter comme un chien monte une chienne, je vais te remplir de foutre. Je suis sûr que tu vas aimer mon sperme chaud envahir tes reins......................
Je me démène, donne mes dernières forces, et décharge enfin. Elle sens mon jus s'écouler, et elle crie de plaisir, m'encourage à décharger encore et encore. Je suis vidé, épuisé. Je me retire.
Elle se relève et je place l'assiette de fraise sous ses belles petites miches. Je lui donne ma queue à nettoyer, tandis que son fion se vide de ma semence. Elle a fini ma toilette, se relève, et je lui tends l'assiette. Les fraises déjà imprégnées de sa mouille et de ma salive, sont maintenant nappée de ma crème. Elle mélange tout avec ses doigts, puis porte les fruits à sa bouche pour les déguster. Elle mange tout, puis se suce les doigts et lèche l'assiette. Elle a encore du sperme dans le cul, et je la broute, la bouffe, pour finir de la nettoyer, puis on se roule une longue pelle.
Il nous reste encore un peu de temps, mais plus beaucoup de force. On décide de se faire un câlin coquin, en 69 sur la couverture. Si ma queue est satisfaite, sa chatte toute trempée semble implorer une bonne langue. Elle a les jambes grandes ouvertes et j'ai saisis le message. J'enfouis ma gueule entre ses cuisses pour lui offrir un cuni gourmand et appliqué. Je la lèche de tout mon savoir faire, tandis qu'elle joue avec ma bite molle. Elle enchaîne les orgasmes, et j'ai à peine fini de la nettoyer que c'est reparti. Je me désaltère de sa cyprine avec des sslluuuupp et des hummmmm qui s'ajoutent à ses gémissements pour un fon sonore que ne renieraient pas les plus mauvais film X.
Il est l'heure où elle quitte habituellement, et on met fin à nos activités lubriques. Elle va aux toilettes se refaire une beauté, intime. On se quitte après un long baiser, et des félicitations réciproques pour cette journée inoubliable.
Dès le lundi on reprend nos séances aux archives, avec droit de visite, et même obligation, dans sa merveilleuse chatte. Il ne lui reste que quinze jours de contrat, et on déplore à chaque fois de voir la fin venir.
On est au dernier jour, et on baise tendrement, sans insultes ni obscénités, les larmes aux yeux. On est abattu de devoir se quitter, pour moi c'est sûr, et je la crois sincère. On quitte ce lieu qui nous a apporté tant de plaisir, après un long baiser passionné. Elle va reprendre ses études, et on va finir par s'oublier. On s'est quand même échangé nos portables, à tout hasard.
Le temps passe et on s'appelle trois fois par an, pour nos fêtes et pour la nouvelle année. Puis, quatre ou cinq ans après notre séparation elle m'appelle, hors occasion. Elle a une bonne nouvelle à m'annoncer, elle est embauchée dans ma boîte et espère me retrouver. Je suis désolé de la décevoir, désolé pour moi aussi, mais je ne suis plus au siège et ai demandé ma mutation pour un autre site. On est déçu tous les deux, mais on espère pour le futur.
Il y a des stages prévus dans un centre à côté du siège, et je m'y suis inscrit pour essayer de la revoir. Au bout de plusieurs mois j'ai enfin obtenu ma formation.
J'appelle ma petite Peggy chérie pour lui annoncer la bonne nouvelle.
A SUIVRE....................
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