Billet De Train

Ce matin je me suis réveillé avec une terrible envie de faire l'amour... En fait c'était plutôt une formidable envie de sexe ! Les images défilaient dans ma tête. Mes rêves de la nuit m'obsèdaient. Ce matin je suis masturbé avant de partir travailler en frottant mon sexe sur les draps comme si je prenais une de ces femmes fantasme qui avait allumé ma nuit. Je savais que toute la journée mon esprit serait en ébullition et que j'aurais envie de SEXE.

Elle s'est assise à cote de moi dans le TGV. Elle m'a plu tout de suite. Elle dégage une sensualité incroyable. Elle est terriblement belle. Sa jupe est un tout petit peu trop courte et, assise, je devine la dentelle de ses bas noirs. Ses seins sont déjà une promesse à travers son chemisier que les boutons ont du mal à tenir. Mon esprit commence alors à se perdre dans les méandres de l'odeur charnelle que son parfum m'envoie. Qu'a-t-elle fait ce matin ? A-t-elle eu un aussi bon réveil que le mien ? Je l'imagine s'étant elle aussi masturbée avant d'affronter sa réunion sur Paris. J'imagine ses doigts. Elle est sur le ventre, comme moi ce matin. Ses mains accélèrent, son bassin aussi, elle souffle, elle jouit en étouffant ses cris dans l'oreiller.

Paris, elle est pressée, elle sort, elle laisse son billet de train sur son siège, il y a son nom dessus... Facebook m'aide, Ophélie me répond.

" Je suis très surprise par ton message. Je ne sais même pas pourquoi je réponds. Certainement parce que je n'arrive jamais à résister à ma curiosité. Pour satisfaire la tienne et répondre à tes questions, tu as tout juste pour le parfum, oui j'adore porter des bas car je trouve çà très sexy, et non je ne viendrai pas demain a 18h37 précises à ton rendez-vous."

Le lendemain 18h37, troisième banc après l'entrée du parc à droite, Ophélie est là, en jupe, superbe. Je lui donne une lettre cachetée et je m'en vais sans un mot. Elle proteste. Je ne réponds pas et m'enfuis.

J'ai reçu son premier texto vers 22h. "Le scénario que tu m'as demandé d'illustrer avec des photos est très excitant. Ma main a déjà commencé à réveiller mon clito. J'accepte ton jeu mais tu n'auras pas de photo, juste des mots..."

Toute la soirée elle m'a décrit ses mains sur son corps, son cou, la pointe de ses seins tendus par l'envie. Le va et vient de ses doigts sur son clitoris puis à l'intérieur d'elle même, deux, puis trois glissant dans son désir humide. J'imaginais ses gémissements et à sa lecture je devinais son envie de remplacer sa main par mon sexe bien au fond d'elle, avec des mouvements amples mais profonds, m'encourageant en palpant mes fesses fermement et embrassant mon torse. Son dernier message de la soirée m'a ravi : " j'en peux plus, je vais jouir, je veux te sentir jouir sur moi. Demain, chez moi, 18h37 précises, pas avant, pas après... Oh oui, oui, ça vient. Ouiouioui...."

18h36 à sa porte, mon doigt caresse sa sonnette mais je dois patienter encore. Ca y est, ca vient, c'est le moment, j'appuie sur le bouton, elle tremble, puis s'ouvre et derrière elle Ophélie m'attend en lingerie sexy. Dentelle, bas, tout est parfait. Classe est vulgaire à la fois. Sans dire un mot elle m'attire et m'assoie sur son canapé. Ses seins pointent déjà à travers son bustier. Debout devant moi elle écarte son string dévoilant sa chatte et son clitoris déjà gonflés d'envie. J'ai compris que cette fois elle a décidé de prendre les commandes. En restant debout elle m'attire contre elle et plaque son sexe contre ma bouche. Avant de s'offrir a moi elle veut une garantie, un orgasme ! Je lèche son clito avec délectation. Elle profite de sa supériorité pour tenir ma tête toujours plus fermement contre son pubis. Je balade son clito dans tous les sens en le titillant tantot avec douceur, tantot avec fougue. Elle exige : oui ! Là ! Continue ! Plus fort ! Oh oui comme ça ! Là ! Oh oui là ! Là !! Ça va venir !!! Ouuuuuiiiiii !!!!!! Ses jambes tremblent et je sens qu'elles ne la portent plus tellement sa jouissance est forte. Je suis obliger de la soutenir pour ne pas qu'elle s'effondre. Son orgasme et terrible et dans un soupir elle s'affale sur le canapé. Dans un sourire, lasse, après quelques minutes de repris elle me lance : maintenant je suis toute a toi. Prend moi ! Baise moi".

Je l'ai pris longuement en missionnaire pour profiter de son corps et de ses seins. Je sentais mon sexe taper au plus profond d'elle. J'embrassais son cou, sa bouche, ses seins. Son plaisir recommença à monter. Elle me demanda de venir sur moi pour jouir à nouveau. Son bassin était incontrôlable. Elle profitait de ses va-et-vients pour frotter son clitoris contre mon pubis. J'ai vu son corps se cambrer, ses seins être projetés vers l'avant, son visage se tordre dans un cri de jouissance magnifique.

Sans la laisser respirer je l'ai retourné pour ma prendre en levrette. Je voulais jouir ainsi. Elle m'a amené dans sa chambre.

"Comme çà je pourrais te regarder me prendre dans le miroir".

Je l'ai baisé très fort. Ses cris m'encourageaient.

" Jouis sur moi ! Viens sur mon dos ! Sur mon tatouage ! Sur mes reins ! Je veux le sentir couler sur moi ! Vas-y ! Oui ! "

Dans le miroir je voyais sur son visage à quel point je lui faisais du bien. Sa chatte était détrempée, douce et brulante. Je tenais ses hanches fermement pour imprimer un rythme toujours plus rapide lui arrachant des gémissements toujours plus intenses. En même temps que je la pilonnais en levrette elle avait commencé à se masturber. Son plaisir montait, je le sentais aux contractions de sa chatte sur mon sexe. Elle va jouir une troisième fois c'est sur. Ca m'excite, je caresse ses seins, je l'embrasse dans le cou. Je n'en peu plus je vais jouir...

"Ça vient !
- Oh oui moi aussi " cria-t-elle quand elle sentit mon liquide chaud se répandre sur sa peau.

Tard le soir en repartant de chez elle après quelques moments dans ses bras. J'ai reçu un texto. "Pense a moi demain matin au réveil. J'ai l'habitude de me caresser pour bien commencer la journée"...