Une Fille À La Fois Mais Une Fille Après L'Autre
Javais autour de 25 ans javais trouvé un emploi dété à Luchon dans un restaurant. Jétais logé sur place comme les autres personnels car les horaires dété sont denses.
Je sortais avec une fille (Carmen) dune vingtaine dannées à Foix, une belle brune aux yeux très bleus. Mais une serveuse du même restau que moi, de 24 ans (Elodie, blonde aux yeux verts) mavait séduit et nous avions donc passés trois nuits ensemble. Mes jours de repos, je rejoignais donc Carmen à Foix en traversant les magnifiques cols des Pyrénées. Ma copine était jeune mais très chaude. Quand on allait en Andorre, elle me défaisait la braguette du pantalon pendant que je conduisais, sortait ma queue et me suçait quand je conduisais et ce nest pas de doubler des camions qui la faisait se calmer. Le soir à lhôtel, elle restait toujours très vive, je me souviens que je lui défonçais la chatte pendant des dizaines de minutes, elle jouissait mais exigeait que je ne marrête pas. Cétait même dur pour moi de me retenir. Heureusement, à vingt cinq ans, je rechargeais assez rapidement et pouvais la baiser trois ou quatre fois dans la nuit. Mais séclater la chatte ne lui suffisait pas. En position de la levrette elle me rappelait avec son index quun autre petit trou navait encore rien eu. Je lui faisais donc aussi sauter lillet et jouissais pleinement dans son trou du cul. Je reprenais le boulot pour le service de midi. Je devais donc la quitter le matin, mais évidemment, elle ne me laissait pas partir sans se faire tringler encore une fois avec la fenêtre ouverte qui donnait sur les magnifiques sommets de Bonascre tout en profitant de lair pur des Pyrénées.
Je ne suis jamais en retard et ne prenais pas le temps de me doucher avant de repartir. Jarrive donc à Luchon avant midi et vais directement dans ma chambre. Elodie frappe à ma porte et entre dans ma chambre sans attendre. Je venais darriver et ne métais pas encore changé. Elle savait doù je venais puisque en sortant avec elle, je lui avais avoué la vérité sur mes relations avec une autre fille.
Elle menlève le tee-shirt, moi le sien. Elle na pas de soutif. Je descends mon visage et lui lèche ses seins que jadore. Je lui fais tomber la jupe et sa petite culotte. Elle me pousse sur le lit, finit de me déshabiller. Je lui passe la main entre ses cuisses, elle est trempée. Japprécie et lui titille le clitoris en faisant pénétrer de temps à autre un ou deux doigts. Elle descend le long de mon buste pour se diriger vers ma queue qui pointe au dessus du nombril. Je nose plus larrêter mais je ne peux mempêcher de penser que ma queue sort de la chatte de Carmen deux heures plus tôt et que je ne lai pas lavée. Cest en fait Elodie qui me nettoie. Comme si elle en était consciente, elle sapplique à me lécher les boules, le long de la tige et aspire sans limite mon gland jusquau fond de sa gorge. Cela mexcite comme un fou. Je lui lâche mon foutre au fond de la gorge. Dans son excitation, elle avale tout, et même quand jai fini de lâcher tout mon jus, elle nettoie bien le bout, sort sa langue pour se lécher autour des lèvres. Cest la cinquième fois que je fais ma crème en 24 heures. Elle remonte le long de ma poitrine et membrasse goulument. Je ne peux pas refuser son baiser. Je suis un peu surpris mais après tout, avec ce quelle vient davaler et le plaisir que cela ma procuré, jaurais du mal à lui refuser ce baiser. Les premiers jours, elle navait pas souhaité avalé et dailleurs je lavais avertie avant de jouir. Nous navons jamais parlé ouvertement de ce jour-là mais je reste persuadé que son excitation était due au fait quelle savait que je venais de baiser Carmen.
Jai poussé le vice à faire embaucher Carmen au même restaurant que nous au mois daoût et jai baisé comme un fou lune et lautre.
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