Féminisation (Ii)

La suite du repas se déroule tranquillement, tendrement devrais-dire. Thomas a vraiment choisi un restaurant plutôt haut de gamme pour mon anniversaire, et les plats qui s’enchainent sont tous meilleurs les uns que les autres.

En sortant, nous continuons à jouer avec plaisir au couple hétéro, lui me tenant par les épaules, moi le prenant par la taille. Je vois au regard de quelques mecs, même en couple, que nous croisons, que mon travestissement est plutôt réussi. S’ils se doutaient que nous sommes un couple d’hommes !

- J’ai envie de profiter de ta beauté, chérie – me dit Thomas. Viens, on retourne chez moi, je te promets que tu vas adorer la nuit qui vient. Et moi aussi, avoir une petite femme à la maison, cela va me changer !

Un peu déçu à l’idée de bientôt devoir quitter mon personnage féminin, je me console en me disant que la soirée promet d’être épicée. Et puis visiblement, il aime mon côté femelle.

Rentrés dans son appartement, je prends les choses en main :
- Thomas, je suis ta femme ce soir, alors laisse moi m’occuper de toi comme une épouse aimante. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Je t’apporte un verre de ton Whisky préféré, d’accord ?
- Oui, merci ma chérie.

Je lui apporte le breuvage un peu fort et le pose sur une petite table à côté du fauteuil où Thomas s’est installé. Je m’agenouille devant lui.
- Une bonne épouse sait prendre soin de son homme qui rentre fatigué. Je sais ce qui te ferait du bien !
D’une main adroite, je déboutonne son pantalon, ouvre sa braguette, et sors son membre de son boxer.
- Hummm, elle est déjà grosse comme je les aime.
Dans la position où je suis, je sens la ficelle de mon string presser sur mon anus, caresse agréable au possible
Je me penche en avant, humidifie un peu mes lèvres toujours enduites de rouge à lèvres (j’avais profité du trajet en voiture pour remettre un peu de gloss) entrouvre les lèvres et prend le bout de son gland décalotté que je caresse de quelques coups de langues légers.

Puis, agrippant la base de son chibre et malaxant ses testicules, je lèche son engin de haut en bas, de bas en haut, j’aspire, je tète, je lèche. Ma bouche s’égare sur son scrotum entièrement rasé, gobe une boule, puis l’autre, revient sur le gland, avale entièrement l’engin. Par des va et vient réguliers, je lui taille une pipe digne d’une vraie femme experte et attentionnée. Je le sens rapidement arriver proche de l’extase alors j’arrête ma caresse buccale. Il est hors de question que je le fasse jouir si tôt dans la soirée !

Je vois son verre vide, je le prends et me dirige vers la cuisine pour le laisser dans l’évier. Je sens que Thomas m’a suivi.

- Il est hors de question que tu t’occupe de la vaisselle tout de suite, ma chérie. On a mieux à faire.

Thomas est derrière moi, je sens sa présence tout contre moi. Ses mains courent le long de mes hanches et de mes cuisses, jusqu’au haut de mes cuissardes. Il soulève ma robe, qui est très courte, dégageant mes fesses, le string, admirant au passage le haut de mes cuisses habillées de bas noirs et mon porte-jarretelles. Il me fait pencher légèrement en avant , m’incite à écarter un peu les jambes. Me tenant toujours les hanches, il s’accroupit derrière moi et attrapant mon string par la ficelle, il le fait descendre jusqu’à mi-cuisse, le fait passer par dessus mes cuissardes, puis le glisse jusqu’au sol et l’abandonne là. Toujours accroupi, il embrasse tendrement une de mes fesses, la caresse, passe à l’autre, les saisit de ses mains viriles, en les écartant glisse ses deux pouce dans ma raie pour asseoir sa prise et écarter ma raie, afin de découvrir mon petit trou. Sa langue experte commence à titiller mon anus doucement, puis à pleins bouche, comme s’il voulait dévorer mon trou d’amour. Il crache un peu de salive, l’étale d’un doigt le long de ma raie, recommence à me bouffer l’anus. Il commence alors à exercer une légère pression sur ma chatte d’homme, comme pour lui dire de s’ouvrir.
Au bout de quelques minutes de ce traitement délicieux, mon trou finit par céder à un de ses doigts humide, lui permettant de lubrifier par sa salive mon intimité.
Il se relève, d’une main il guide son membre vers l’entrée de mon anus si bien préparé et, une légère pression, s’enfonce en moi. Doucement, sa queue gagne centimètre par centimètre la position finale, celle où ses boules viennent caresser mes fesses. Une fois de plus, je me suis fait enculer jusqu’à la garde, une fois de plus je n’ai ressenti que du plaisir et de l’excitation.

La suite est une longue série de va et vient de la part de Thomas dans mon cul, je me laisse entièrement faire. A mes gémissements de plaisir répondent ses râles. Tantôt il accélère, ses cuisses heurtant mes fesses, tantôt il ralentit, nous donnant à tous deux un peu de répit dans la montée du plaisir vers la jouissance. Il se retire, je suis déçu, frustré.

- Pas comme ça, me dit-il. J’ai envie de faire durer un peu. Viens dans la chambre.

En femme obéissante, je m’exécute. Je remets un peu ma robe en place, passe devant lui pour qu’il admire une dernière fois mon cul de salope dans ma mini-robe rouge et vais m’asseoir sur le lit. Il finit de se déshabiller, la bite au garde-à-vous devant le spectacle que je lui offre. Il s’approche de moi, att une jambe et enlève la cuissarde en s’attardant sur la fermeture éclair qu’il fait descendre doucement. Il fait la même chose avec l’autre jambe, me prend par les cheville et me soulève les jambes, posant un pied sur chacune de mes épaules. Son mouvement a fait remonter ma robe à hauteur de mes hanches, dévoilant ma nudité Pour lui faciliter la tâche, je prends mes chevilles dans les mains afin de maintenir mon cul offert à mon homme. Il ne se prive pas d’en profiter et me pénètre à nouveau.

- Putain là ça va être bon. Je te vois dans toute ta féminité et j’adore ça.

Il reprend ses mouvement de va et vient là où il les avait interrompus tout-à-l’heure, plus forts qu’avant plus vite.
Je sens qu’il a envie de prendre son plaisir, je sais qu’il a envie de me défoncer quand c’est comme ça, et j’adore ça. Ses cuisses heurtent mes fesses, mes chevilles sont à hauteur de mes épaules, mes jambes repliées offrent ma chatte sans défense aux assauts violents de mon mec qui ne se retient pas.

- Va-s-y, baise moi, défonce moi, déchire ma chatte, remplis moi de ta semence. Encule moi, encule moi, ENCULE MOI.

Mes mots obtiennent le résultat escompté, sa jouissance arrive très vite, en même temps que la mienne. Aux pulsations de sa queue, je sens que ce sont de longs jets de foutre qui me remplissent le cul, comme souvent quand je me donne à Thomas.

Cette fois, je ne vais pas aller me nettoyer dans la salle de bain, je quitte juste ma robe et reste en sous-vêtements, bas, porte-jarretelles et soutien-gorge. Tant pis si mon cul dégouline de sperme toute la nuit. Je me blottis dans le lit, près de mon homme, moi qui suis sa femelle aimante, aimée et comblée. Ce merveilleux cadeau m’a donné des idées pour la suite. Je pense que ma féminisation ne va pas s’arrêter là.

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