Leslie Ar14

Leslie AR14 - Sophie, les confessions d’une collègue, suite

Sophie s’est levée et après avoir courue sur la plage, elle se jeta dans l’eau. Cathy avait bien remarqué les regards des hommes sur le corps entièrement nu de son amante, certainement que son corps épilé attirait plus facilement les regards.
Elle se dit que certainement il en serait de même pour elle, et un frisson de plaisir lui traversa le corps. Elle se dit que si Sophie voulait s’amuser d’elle, elle, Cathy allait la prendre à son propre jeu.
Cathy se leva dans une certaine nonchalance, s’exhibant ouvertement aux regards maintenant disponibles, puis tranquillement elle traversa la plage en roulant un peu plus du cul que d’ordinaire.
Deux jeunes-hommes sifflèrent sur son passage, Cathy en éprouva un certain plaisir et se dit que Sophie avait certainement les sifflets d’approbation à son égard.

Elle plongea dans l’eau et rejoignit Sophie, qui un peu énervée lui demanda :
- A quel jeu joues-tu, là ?
- Moi, dit Cathy d’un air incrédule, à rien, juste que je profite de ma nouvelle apparence pour m’exhiber un peu, n’est-ce pas ce que tu voulais ma chérie ?
Sophie, rouge de colère ne put dire :
- Heu, si bien sûr, mais…
- Alors si c’est le cas tu devrais être heureuse, dit Cathy.
Cathy attira Sophie contre elle, pour que leurs seins nus se caressent mutuellement et elles sentirent leurs pointes s’ériger sous celui de l’excitation de la caresse.
Cathy posa ses lèvres sur celle de Sophie et leurs bouches se joignirent pour un baiser long et profond, puis Cathy laissa sa main droite glisser entre les cuisses de Sophie.
Son index parcourut doucement le mont de Vénus lisse de Sophie, avant de s’aventurer et de glisser dans la fente épilée et de trouver le clitoris de son amante.
Clairement excitée, Sophie retenait son souffle :
- T’est complètement folle, dit Sophie.
- Détends-toi, ma chérie, dit Cathy en souriant, ce n’est que le début.

Cathy, maintenant enlacée à Sophie, la doigtait ouvertement aux vues de tous et sentait bien que l’excitation de son amie ne faisait qu’augmenter.
Mais finalement, alors que Sophie perdait pied sous la caresse de Cathy, celle-ci se sépara de son amie en la laissant dans un état second.
- Ne me laisses pas dans cet état, implora Sophie.
- Il te faudra attendre ma chérie, lui répondit Cathy.
Et elle se mit à nager rapidement vers le rivage pour rejoindre la plage.

Cathy remonta vers sa serviette, sans se presser, et elle était déjà en train de se sécher lorsque Sophie sortit de l’eau et se dirigea vers leurs serviettes.
Plus par dépit que de colère, Sophie s’allongea aussitôt sur sa serviette sans dire un mot.
De nouveaux arrivants avaient pris place sur la plage et, bien sûr, ne perdait rien du spectacle offert par ses deux filles, les regards de la majorité des mâles se promenaient de façon plus ou moins ouverte sur ces deux belles filles à poil qui venaient de sortir de l’eau.
Sophie allongée sur sa serviette, regardait Cathy se sécher.
Cathy debout, lui tournait le dos, et prenait un malin plaisir à se sécher en passant la serviette sur toutes les parties de son corps de façon plus ou moins érotique.
Elles étaient devenues, après les frasques de Cathy et le spectacle qu’offrait son amie, le centre d’attraction de tous les regards de cette partie de la plage.
Sa sublime silhouette de Cathy, était depuis son épilation intégrale devenue encore plus sensuelle. Le mont de Vénus était séparé jusque très haut par sa fente dégagée si clairement visible et, en dessous, entre ses grandes lèvres dépourvues de poils, apparaissaient aussi ses petites lèvres.

Jetant un regard provoquant à son amie allongée, Cathy lui offrit le cadeau de rester quelques instants debout au-dessus d’elle, le corps en appui sur la jambe gauche et une main sur sa hanche, elle prit la pose, puis faisant négligemment pivoter son pied droit vers l’extérieur, elle offrit son sexe nu entrouvert, à la vue immédiate de Sophie, mais aussi à toute la plage.
Les hommes devaient tous bander sous leur serviette.
Cathy finit par s’asseoir à côté de son amie, elle la regarda et lui dit :
- Passes-moi de la lotion solaire sur mon bas-ventre, si à cause d’un coup de soleil, je ne pouvais plus t’offrir ma chatte, je serais bien triste…
Sophie s’exécuta en bougonnant un peu, faisant par la même monter la pression chez les hommes sur la plage.

Sur le chemin du retour de la plage Cathy se sentait très euphorique, elle avait pris un certain ascendant sur son amie, qui savait maintenant qu’elle ne se laisserait pas faire et ne deviendrait pas son jouet.
Sa timidité et son insécurité faisaient parties du passé, et un sentiment de fierté s’éleva en elle, doublé par un peu d’excitation.
Elle avait osé exposer son sexe complètement épilé à ses voisins de plage, elle s’était ouvertement exhibé et avait mis le feu dans le corps de sa compagne, mais ce n’était pas terminé, elle allait aller au-delà de ce quelques temps auparavant elle aurait pu s’imaginer.

Évidemment, sur le chemin de l’hôtel elles étaient restées nues sous leurs courtes robes, Cathy ayant demandé à Sophie de faire comme elle, par solidarité féminine, et tout à coup, la pensée de se passer de culotte à l’avenir ne lui apparaissait plus du tout bizarre. C’était carrément sympa, sa robe légère et ses sandales étaient les seuls vêtements dont elle avait maintenant besoin.
Comme toujours, elle attirait le regard des hommes et sûrement aussi de la plupart des femmes. Ils ne voyaient que la jolie jeune fille à la silhouette admirable et à l’épaisse chevelure brune, maintenant de nouveau séparée en deux longues nattes, qui flânait sur la promenade de la plage avec sa blonde amie également très désirable. Elles profitaient visiblement de leurs vacances communes

Cathy, en passant devant le supermarché sur le retour, entraina son amie dedans, sous prétexte de s’acheter une de ces délicieuses coupes glacées italiennes.
Devant le congélateur elle demanda à Sophie de vérifier s’il en restait encore et dès que cette dernière s’était penchée pour voir, Cathy s’était brusquement rapprochée derrière elle pour lui dire doucement :
- Ne bouge pas !
Et la main de Cathy s’était frayé un chemin sous sa courte robe.
- Écarte un peu tes jambes, ma chérie ! Entendit Sophie dans son dos.
Aussitôt elle sentit l’index chaud et agréable de Cathy sur ses petites lèvres avant qu’il ne trouve son clitoris humide et commence à le masser en douceur.
Sophie gémit doucement de façon incontrôlée avant de se reprendre :
- Tu es folle, Cathy ! Siffla-t-elle.
Mais, la surprise et le lieu, mirent Sophie dans tous ses états, la faisant doucement feulée de plaisir, une douceur chaleur montait dans son ventre.
- Petite traînée, dit Cathy doucement, je me demande si tu n’es pas une mauvaise fréquentation pour moi.
Le cliquetis d’un chariot signala l’arrivée d’un autre client.
Cathy sourit et se colla contre le dos de son amie, non sans en profiter pour lui pénétrer la chatte d’un doigt en disant :
- Alors, il en reste ?
- Heu, ohhh, oui !
Le client, un homme d’âge mûr les regarda d’une manière étrange et passa son chemin…
- T’es vraiment folle, lui dit Sophie.
- La faute à qui, rétorqua Cathy, la prochaine fois c’est ton anus que je te doigterais !
Elles rentrèrent à l’hôtel pour le déjeuner et montèrent dans leur chambre pour la sieste.

A suivre…