Murs Murs (2 Bis)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Weshhhh, putain de douche !!!! (voir épisode précédent) Ça m'a refroidi d'un coup, que faire ? Je continue bien sur, je ne suis pas une poule mouillée. Les bas otés, le corps essuyé, je fantasme sur les vêtements contenus dans le placard. Tenue de soubrette, de disciple de Péricles, d'infirmière, d'écolière ou même de vieille fille ? Je laisse mon imagination travailler quelques secondes encore, avant de me décider à ouvrir le placard.
Evidement, c'est pas "pan dans le mille" rien, ya rien !! juste un cintre sur lequel pend un masque-bandeau noir, le genre qu'on se met sur les yeux, dans les avions, pour dormir. Je fouille dans les tiroirs du bas.
Premier tiroir, un rasoir mécanique, des ciseaux, une série de pinces, lime à ongles, brosse à dents, chouchou... Et un speculum, tiens donc ...
Deuxième tiroir, des produits maquillant, des tubes, des pots sans étiquette, et même un bocal de piment, ça craint tout de même un peu tout ça même si ça fascine.
Troisième tiroir, quelques serviettes éponges, rien.
Je me rabat donc sur le bandeau que j'ajuste à mes yeux et me met en quête de la porte de sortie. A tâtons. Si ce que Charles m'a dit est exact, la chambre est au bout du couloir. J'avance à petit pas, en faisant gaffe à mes petits orteils, on est maso ou on ne l'est pas. Bon le mur s'arrête, un autre perpendiculaire le rejoint serait-ce le bout du tunnel ? Je sens au bout de mes doigts le bois d'une porte, je frappe.
-Entre, mais n'enlève pas ton bandeau,
Je fis quelques pas sur une moquette à poil ras, non sans m'assurer que quelques meubles viennent obstruer mon chemin.
- Arrête-toi, tiens-toi droit les bras le long du corps, écarte un peu les jambes.
La laisse autour de mon sexe devait pendre entre mes jambes, il a du la prendre car je sentais une légère tension sur celle-ci. Puis le dialogue démarra, enfin le dialogue, enfin plutôt un questionnaire auquel mes réponses se résumèrent, si je me rappelle bien, à une série bredouillé de Oui.
Oui j'aimais les rapports de soumission
Oui j'étais prêt à accepter des rapports avec d'autres personnes
Oui je reconnaissais que les liens, le port de contraintes et la douleur soient nécessaires à mon éducation
Oui j'étais d'accord pour revenir
Non je ne voulais pas de modifications corporelles, enfin de celles qui se voient rajoutais-je pour adoucir mon refus !
Le questionnaire s'arrêta net,
- Bon on va arrêtez ici l'interview, dit Charles, j'ai encore un coup de fil à donner et je reviens.
Je restais seul, nu dans le noir à attendre. Une boule dans la gorge, suant, me demandant à quoi rimait tout ça.
Charles revint au bout d'une petite minute, la conversation n'avait pas du être longue.
- Monte sur le lit, à trois pas en face de toi, me dit-il en tirant sur la laisse qu'il avait sans doute reprise en main
Evidement je me cognais au montant mais réussis à me hisser dessus, à quatre pattes.
l'attente ne fut pas longue non plus. Une main frotta mon sexe, une pichenette sur mes testicules occasionnat un cri
- Tu ne cries pas sinon c'est le baillon, tu te laisses faire; je te teste pour savoir jusqu'où tu peux aller actuellement et ne te laisse pas aller à bander sinon je te ferai redescendre vite fait.
Mes seins furent tordus, étirés, pincés. Je ne dis rien. Puis Charles revint à mon sexe qu'il décalotta brutalement, étirant la peau à son maximum. Mes couilles furent allongées, serrées, écrasées par une main de fer. Je me mordais les joues pour ne rien dire, le bandeau épongea mes larmes.
Un doigt pénétra mon anus.
- Tu es vierge ?
- Non mais c'était il y a bien longtemps
Un deuxième doigt tentat une entrée, interrompu par la sonnette de la porte d'entrée.
Charles me mit le premier doigt dans la bouche
-Nettoies, vite je dois aller ouvrir
J'aspirais le doigt, le mouillais, le frottais avec ma langue.
Charles sortit.
Gêné par ma position, la chambre donnait-elle sur l'entrée, pouvait-on me voir. Je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir mais je l'ai entendu se refermer, puis tout de suite des voix proches dans la pièce peut-être. je ne savais pas quoi faire, me cacher sous le lit.
C'est Charles le premier qui me parlat distinctement.
- Je te présente Joan, garde ton bandeau, tu n'as pas besoin de le voir tout de suite. C'est lui qui va continuer le test, sois gentil avec lui et continue à la fermer, ça me fera plaisir.
Je ne dis rien, une main fraiche me reprit les couilles, les broya carrément je ne plus qu'enfoncer mon visage sur la couverture du lit pour ne pas pas crier. L'étreinte se desserra et sans ménagement un doigt épais pris place dans mon anus, suivi d'un deuxième doigt de l'autre main sans doute car les deux doigts s'éloignèrent l'un de l'autre, élargissant mon ouverture en m'imposant une douleur atroce. Il y avait bien longtemps que je ne bandais plus. Ils se retirèrent.
- Il est étroit, c'est vraiment comme ça que je les aime.
- J'ai tout de suite pensé à toi, dit Charles à Joan, et je crois qu'il est prêt à aller loin, tu veux essayer d'autres trucs.
- Non je le prends, dit Joan
Charles vint oter mon bandeau, c'est fini pour aujourd'hui me dit-il. La lumière me fit mal aux yeux, je découvris la chambre, le lit, la table de chevet sur laquelle était fixé une caméra puis me retournant je vis Joan.
Un petit gros barbu avec des lunettes en écailles, le genre prof de math à la retraite !
- Alors mon garçon, tu viens de changer de main, tu vas voir on va bien s'amuser. Va t'habiller je t'emmène.
Je vis Joan donner à Charles une clé USB, aucun doute qu'elle contenait la vidéo de mon humiliation...
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