Leslie Ar15
Leslie AR15 - Sophie, les confessions dune collègue, suite
A peine arrivée dans leur chambre, Cathy se mis nue et sallongea sur le lit en disant :
- Tu mas trop excitée, viens, jai envie de toi !
- Tu sais que tu es complètement folle ! dit Sophie à Cathy.
- Je sais seulement que tu es une fille terriblement excitante et que jai envie de ta bouche sur mon sexe !
Cathy qui était allongée nue sur le lit, souriait à son amie en écartant lentement les cuisses, et dune voix terriblement sensuelle, elle rajouta :
- Ne me fait pas attendre et viens déguster ma chatte !
Sophie monta sur le lit après sêtre dénudée et enjamba son amante pour se mettre en soixante-neuf, présentant son sexe au-dessus du visage de Cathy.
- Lèche-moi aussi, dit Sophie.
Elle se sentait complètement humide et gémissant de désir, elle se pencha et fit glisser sa langue sur les grandes lèvres lisses et humides de son amie.
Lexcès dexcitation les mena, ensemble et rapidement, à un orgasme foudroyant qui les libéra dun coup de toute cette tension sexuelle accumulée. Après un profond baiser elles sombrèrent rapidement dans une sieste réparatrice, épuisées par tant démotions.
Vers les cinq heures de laprès-midi, elles retournèrent à la plage. Cathy sexhiba comme le matin, mais il y avait plus de monde.
Cathy savait quon apercevait clairement entre ses grandes lèvres soigneusement épilées, le contour de ses petites lèvres qui indiquait à tout le monde lentrée de son sexe, et ses jambes largement écartées suffisait à faire apparaître même son clitoris.
De cette exhibition, elle en tirait même un certain plaisir.
La fin de la journée se passa entre baignades et exhibitions sur les serviettes, Sophie faisant, maintenant, elle aussi à faire comme son amie, si bien que deux-jeunes hommes non loin delles remarquèrent leur manège et profitèrent de ces deux vicieuses qui montraient, impudiquement à toute la plage, leurs chattes épilées.
Elles retournèrent à lhôtel pour prendre une douche et se préparer pour le diner.
Quand Sophie shabilla, elle voulait mettre son string de dentelle blanche, mais Cathy intervint pour len empêcher, en disant ;
- Comme moi hier ma chère, tu vas diner cul nu.
- Alors là, répliqua Sophie, jamais de la vie.
- Tu refuses, dit Cathy en rigolant, très bien ce soir je vais chercher une nouvelle amante.
- Tu ne ferais pas ça, dit Sophie inquiète.
- Je vais me gêner !
- Mais Cathy, je taime.
- Alors prouve le moi.
Pendant ce temps-là, tout en parlant, Cathy avait remis la même tenue quhier au soir, sans culotte bien-sûr, et elle était en train de se maquiller.
Une fois prête, elle trouva Sophie habillée et vérifia quelle navait pas de culotte.
- Voilà, tu vois quand tu veux tu sais me faire plaisir, pour la peine je vais te récompenser, jai quelque chose pour toi dun peu spécial ! dit Cathy en souriant.
Cathy fouilla dans sa trousse de toilette et demanda à Sophie de sinstaller sur le bord du lit. Cathy exhiba à son amie, trois petites boules de métal brillant, pas si légères que ça, dà peu près deux centimètres et demi de diamètre et reliées par de courts morceaux dun fil mince mais résistant qui se poursuivait par-delà la boule dextrémité, par une quinzaine de centimètres du même fil et reliée à une boucle.
Elle les posa dans la main de Sophie en disant :
- Tu vas les enfiler dans la chatte et nous irons diner ainsi.
Quand Sophie bougeait la main, elle ressentait quelque chose détrange, cest comme si, à lintérieur des boules qui devaient donc être creuses, se mouvaient des objets lourds plus petits, vraisemblablement encore des boules, qui communiquaient alors à lenveloppe externe une vibration bizarre, elles avaient lair presque vivantes.
- Tu vois ma chérie, dit Cathy, ce sont des boules de geisha ou boules damour.
Sophie regardait les boules pensivement et les fit doucement bouger.
- Tu veux que
?
- Oui, dit Cathy, je vois que tu as deviné, ma petite cochonne, elles sont destinées à ta chatte sûrement déjà trempée, enfile les toutes les trois, lune après lautre. Et je veux que tu te les enfiles maintenant. Notre diner va être une vraie partie de plaisir pour toi !
Sophie posa les boules entre ses cuisses sur le lit, écarta un peu les jambes prit les boules dans sa main droite, écarta de deux doigts de sa main gauche ses petites lèvres nettement trempées et fit glisser doucement les trois boules de métal brillant, lune après lautre, dans son vagin. Seul le bout de fil denviron dix centimètres et sa petite boucle dépassaient. La sensation était incroyable.
Lorsque Sophie se leva, ce seul mouvement si court, mais assez brusque lui montra clairement leffet que pouvait avoir la mobilité interne des trois boules. Les boules avaient pris rapidement la température de son vagin et Sophie sentit tout de suite leffet dexcitation que lui procurait cette vibration intime. Elle naurait jamais deviné que les mouvements induits par les lourdes petites boules intérieures se transmettraient à tout son sexe pour exciter toutes ses terminaisons nerveuses les plus sensibles. Inconsciemment elle respira bruyamment et dit :
- Cathy, cest complètement dingue !
- Je tavais prévenue, tu vas en avoir du plaisir ce soir !
En sortant de la chambre et en se rendant au restaurant, Sophie se dit que cétait presque comme si des doigts lui prodiguaient continuellement de douces caresses à cet endroit sensible. Elle sentait monter en elle les vagues du plaisir. Le seul mouvement de la marche suffisait à entretenir et faire monter toujours davantage cette vive sensation de plaisir, accompagnée dun ruissellement intérieur incontrôlable.
Dans lascenseur, Sophie ne put résister, elle passa sa main droite sous sa robe et constata de son index que son clitoris était érigé. Alors elle poussa un gémissement.
Cathy la regarda et lui dit :
- Il faut que je te dise, si tu te penches, le fil des boules dépasse un peu sous ta robe entre tes jambes et un regard pourrait voir la boucle au passage.
Cest à cet instant quelles retrouvèrent les parents de Cathy.
Durant le diner, qui fut fort agréable, Sophie narrêta pas de se trémousser sur sa chaise en émettant parfois de petits gémissements, si bien que le père de Cathy sen inquiéta et demanda à Sophie :
- Vous ne vous sentez pas bien ?
- Ce nest rien dis-je, juste un coup de soleil sur ses fesses qui la travaille un peu.
- Ohhh, dit la mère, comme cela doit-être douloureux, voulez-vous que je vous passe de la crème après avoir diné.
Sophie, rouge de honte et très gênée ne put répondre que :
- Non, non, merci, Cathy va sen charger.
- Comme il vous plaira, dit la mère.
Bien sûr, les parents de Cathy ne pouvait absolument pas deviner ce qui se passait dans le corps de Sophie, mais il lui était quand même infiniment douloureux de se voir inspectée par leurs regards interrogateurs autour delle, avant quelles ne quittent la table pour regagner leur chambre.
A suivre
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