Ah Ces Rugbymen, 6
Je ne sais alors pas si ma question va tout chambouler, mais je lui pose tout de même :
« -Alors, nous sommes un couple ?
-Que si tu le veux, me dit-il.
-Oui, je le veux bien, mais on ne se connaît presque pas quoi
-Et alors, moi je ne veux pas juste du cul avec toi, jai envie dessayer plus
-Alors on a quà essayer
-Et puis, après cette soirée, je me sens bien avec toi Tom. Jétais toujours puceau, cest avec toi que jai commencé, et que javais envie dessayer.
-Mais tu savais que tétais gay ? Lui ai-je donc demandé.
-Beh je ne pensais pas, mais après avoir vu nos frères
Je ne me suis jamais senti attiré par des meufs, je narrivais pas à bander en matant des pornos hétéros ou lesbiens. Le seul truc qui me donnait la trique cétait de voir les mecs bander. Alors un soir, quand jai entendu mon frère qui se faisait doser par le tien, je me suis mis à bander, jai donc décidé de tester une vidéo gay, et la javais une gaule énorme. Et puis au rugby, jaimais regarder les bites des autres aux vestiaires, et surtout toi. Mais josais pas trop te parler, tu mintimidais, et puis, avec tout ce que les autres disais sur toi, du genre, « cest un chaud de la bite Tom », ou encore « putain, Tom il sest encore chopé des meufs hier soir », je pensais que tétais 100% hétéro. Cest pour ça quà la piscine, quand je tai vu bander en me regardant, je me suis dit que je devrai tenter ma chance. Et comme je ne voulais pas passer pour une lope, jai essayé de faire le mec dur, genre, hétéro qui veut tenter de nouvelles choses.
-Tes trop mignon mec. Moi cest pareil, depuis que jai vu nos frères prendre un pied phénoménal ensemble, je me suis dis quil fallait que je me trouve un mec pour essayer, et jai de suite pensé à toi, tes le plus bel homme que jai jamais vu. Même sous les douches quand je te matais te laver, la manière dont tu passais ta main entre tes fesses, lorsque tu te décalottais, que tu soulevais tes boules, quand tu passais ta main sur tes petits tétons .
-Humm
Alors puisque cest comme ça, ton cul est à moi maintenant. Là tu vas me sucer, je vais tenculer, je vais jouir dans ton cul de salope, auquel je vais donner quelques gifles pour te punir de mavoir maté sous les douches. Et je veux quà midi, quand on rentrera de lentrainement, tu ais gardé la surprise que jaurai lâché dans ton cul. Ça te va ? Cest assez cru pour toi ?
-Je pense que si tu continues comme ça Lucas, tu vas être lhomme de ma vie.
-Viens là que tu msuces ! »
Cest alors quaprès lui avoir introduit ma langue dans la bouche, nous nous sommes roulés un bon patin, bien baveux. Puis, je suis descendu doucement, en lui léchant quelque peu ses tétons, son nombril, puis jai commencé à le sucer en le regardant droit dans les yeux. Jamais cette soumission, mais jai besoin damour aussi. Pour le moment, entrainement pour le rugby, alors un peu de sport.
Je sens des spasmes dans se queue, il matt la tête, et je me fais remonter, visiblement, il préfère lintimité de mes fesses. Alors il me fait remonter, encore un baiser, on ne sen lasse pas, cest tellement bon, et non nuisible à la santé ! Il me retourne, me mets sur le dos, se retire, me chope les guiboles, et me cambre, il enfile un doigt après mavoir déposé un baiser sur la rondelle, puis sans que je ne maperçoive de quoi que ce soit, son gland butait au fond de mon trou. Ya pas à chipoter, se faire baiser le matin au lever, quoi de mieux pour commencer une bonne journée ! De part son action, il marracha un cri, le genre de cri qui quotidiennement te parais impossible de faire.
Vous comprendrez que plusieurs minutes à se traitement eurent raison de moi, dès lors que je pose ma main sur ma queue qui commence à me bruler, mes boules qui me donnent limpression dêtre arrachées ne tardent pas à lâcher un flot de foutre énorme. De même pour Lucas, qui me remplit ma flore intestinale avec passion.
Avec tout ça, lheure tourne, il nous faut aller déjeuner pour éviter le malaise sur le terrain. Déjà quon sest bien défoncé là, se serait con de chuter en si bon chemin. Je ne vous cache pas que mon anus baillant me lance un peu, je pense que si on fait une petite mêlée, ça risque de piquer. Bref, nous descendons en short et torse nus main dans la main. Pendant quil att les tartines et le Nutella, je fais chauffer la machine. Le temps que le voyant sallume, jai même droit à un petit câlin, il cale son visage à côté du mien, puis menlace. La machine est prête, CONNASSE, tu ne pouvais pas chauffer plus longtemps ?! Il me montre les capsules, je fais les cafés pendant quil sinstalle à table.
Nous déjeunons tranquillement, sans mots, juste des regards et des sourires qui en disent long.
Bref, ils se posent à table, Jules sinstalle à côté de moi, Alex en fasse de lui, à côté de Lucas. Puis, Jule me demande si la nuit a été bonne, et me demande :
« -Alors mon petit Tommy, tas assez de voix pour parler ?
-Ta gueule conard ! Lui répondis-je
-Oh mais prend pas la mouche, je te taquine ! En tout cas la prochaine fois taura quà prendre le pot de gel dans ma table de nuit, parce que Lucas, si tes membré comme ton frère, tu feras attention au cul de mon petit frérot, sinon il va arriver un moment où il devra marcher sur les mains.
-Parce quen plus tu te crois drôle ? Vieux mec ! Rétorquais-je Il avait le don de ménerver dès le matin
-Allez, va te laver, tu pues le foutre, et je veux pas que les autres vous taquinent», me dit-il.
Je me lève donc de table, suivi par Lucas, je vais poser mes affaires dans lévier, puis part en direction de lescalier. Juste pour voir la réaction de Jules, je dis à Lucas quil a un point de Nutella au coin de la bouche, et alors quil veut lenlever avec son doigt, je lui dis « non, laisse », mapproche de son visage, lui lèche le coin de la bouche, lui roule une pelle, et lembrasse. À ce moment là, Lucas me soulève et me prend dans ses bras, et commence à monter lescalier, nos lèvres toujours soudées. Je suis tout rouge, jai la gaule, et Jules na rien dit. Je me lave donc les dents, pendant que Lucas pisse, et inversement, pas à être pudique, même pour ce genre de chose, après tout, on est des mecs, et on est tous pareil. Dautant plus quon sest vu dans tout nos états.
On est tous dans la voiture, ma main collé à celle de Lucas, puis, la route avant de tourner au club, Jules se gare sur le côté et nous lance « dernier baiser, bougez-vous » puis le vois embrasser Alex. Que dis-je, lui rouler un palot monstre ! Puis lui sentir le coup avant de redémarrer. Je mempresse de faire de même.
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