Mon Entrée Dans La Vie Active
Premier jour de travail ! Après des mois de recherche et mes diplômes en poche, jai enfin trouvé une PME dune cinquantaine de personnes prête à me donner ma chance. Jarrive ce lundi à 8h et lassistante de la chef de la communication mattend déjà. Elle me fait visiter les locaux, me présente à mes nouveaux collègues et me laisse minstaller dans mon bureau. Avant de rejoindre le sien elle me dit : « Catherine est en rendez-vous à lextérieur ce matin, elle passera vous voir dès son retour ».
Catherine cest ma supérieure hiérarchique, une belle femme denviron 35 ans avec qui jai passé un des trois entretiens dembauche. Strict dapparence, elle ne ma pas laissé indifférent et je dois avouer quune fois lentretien terminé je suis rentré chez moi me masturber en pensant à ses gros seins et ses fesses à croquer.
Fini les fantasmes, jai du pain sur la planche et je dois donner le meilleur de moi-même pour que ma période dessai soit concluante.
Vers 11h30 Catherine frappe à la porte de mon bureau encore plus resplendissante que la dernière fois que je lai vue. Le bon adjectif serait « sexy » : un tailleur noir, chemise blanche et chaussure noires à talon. Un collier de perles nacrées et ses cheveux débène tirés en arrière me font le plus grand effet.
« Bonjour Alexandre, vous êtes bien installé ? »
« Oui merci beaucoup Madame Fraioli ». Elle me coupe et me dit, « Appelez-moi Catherine comme tout le monde ici ». « Très bien Catherine, oui Clothilde ma présenté à tout le monde et sest bien occupée de moi. »
« Ah oui
elle sest « bien occupée de vous
» »
La manière dont elle me retourne mes propos et son regard intense qui va de mes yeux à mon pantalon me troublent beaucoup.
« Je, heu
je veux dire quelle
a été très serviable ce matin »
« Cest la moindre des choses » me répond-elle. « Je nai pas passé des mois à éduquer cette petite salope pour rien ».
Jouvre de grands yeux et ouvre la bouche avec un air de bêtise à lécoute de propos si inattendus.
« Ne soyez pas si décontenancé Alexandre, il faut bien appeler un chat un chat, et puis vous verrez assez vite que je ne tiens jamais de propos sans fondement ».
Je la regarde avec toujours un air surpris qui commence à lagacer.
« Elle se conduit avec beaucoup de liberté surtout quand un beau mâle est dans les parages et que je ne suis pas là pour la surveiller ». Et Catherine quitte on bureau sur ces mots que je naurais jamais cru entendre sortir de sa bouche.
Après la pause déjeuner passée avec quatre collègues qui mont gentiment invités à leur table habituelle dans un petit restaurant à deux minutes du travail, je reprend la rédaction dune note que je dois rendre à 18h. Clothilde entre alors dans mon bureau et sinstalle sur la chaise en face de mon bureau.
« Je peux te rendre service ? » dis-je
« Oh tu sais, je voulais parler un peu histoire quon se connaisse un peu mieux »
« Ah cest gentil mais jai du travail urgent à terminer, on peut prendre un café un peu plus tard cet après-midi si tu veux ».
Elle me répond : « Tu parles de la note sur les nouveaux systèmes de conformité ? Catherine ma demandé de te dire à ce sujet que
»
Tout en parlant elle se lève et vient à côté de moi et se penche sur mes dossiers. Tout en faisant mine de chercher un document en particulier dont je nai jamais eu connaissance elle fait glisser sa main gauche sur ma chemise et descend jusquà lentre jambe. Une fois sa main posée sur mon sexe, elle me dit « peu importe ces nouveaux systèmes, allons à lessentiel ». Interloqué, jarrive quand même à enlever sa main mais elle commence à sagripper à mon cou. Je tente de la repousser lorsquelle revient à la charge et replace sa main sur mon pantalon. Malgré le tissu je peux sentir sa paume et ses doigts chauds et il nen faut pas plus pour mexciter.
« Tu bandes déjà mon cochon » me dit-elle à loreille dune voix sensuelle.
Mon corps frissonne de plaisir, je nai plus de contrôle sur les évènements. Cette petite salope est en train de me sucer alors que nimporte quel collègue pourrait venir à limproviste et nous surprendre.
« Non arrête Clothilde, jai
» ah quest-ce quelle suce bien ! « jai une
»
« Une envie de me mettre ce sale foutre au fond de ma gorge ? » me coupe-t-elle en me lançant un regard de défi. Elle replonge la tête sur ma bite qui ne tarde pas à éjaculer. Je pousse un grognement que jessaie de dissimuler pour ne pas alerter mes collègues. Clothilde vient sassoir sur mes genoux, ouvre sa bouche grande ouverte et me dis :
« Ton foutre est sacrément bon, dès que jen aurai envie tu gicleras si tu ne veux pas que notre petite interlude sébruite ».
Assise sur mes genoux elle peut sentir que ma bite bien quayant capitulé est prête à repartir pour un assaut encore plus intense. Elle fait courir la main sur son ventre et la fait pénétrer dans sa culotte. Je ne peux malheureusement rien voir car elle a gardé son jean et je ne peux quimaginer la douceur de sa chatte suintante de désir. Elle se doigte quelques secondes à me fixant et ressort son majeur trempé pour le mettre dans ma bouche. Je le suce comme un automate, ayant perdu pied avec la réalité de ce qui mentoure. Elle retire son doigt, se lève et tire mes cheveux en arrière : « Tu es mon jouet Alexandre, tu es là pour mon plaisir. Garde bien cela en tête ». Elle cesse alors de tirer sur mes cheveux et me gifle avec une violence incroyable. « Tu en auras dautres si tu ne fais pas ce que je tordonne ! »
Je me frotte la joue déjà bien rouge et chaude et la regarde avec incrédulité.
Elle se lève, marche vers la porte en roulant son cul rebondi prisonnier de son jean très moulant. Elle ouvre la porte, se retourne et me lance : « Catherine avait raison, tu nes quun salaud qui doit être éduqué. Je te laisse petite merde, elle attend mon rapport ».
La porte se ferme et je sens un grand malaise en moi. Catherine la-t-elle envoyée me sucer ? Pourquoi chauffer un mec aussi soudainement et sur son lieu de travail, qui plus est le premier jour ?! A-t-elle vraiment fait du chantage lorsquelle ma menacé débruiter toute la scène ?
Toutes ces questions allaient bientôt trouver des réponses rapidement mais je ne le savais pas encore.
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