Leslie Ar16

Leslie AR16 - Sophie, les confessions d’une collègue, suite

Dans le couloir de l’hôtel, Sophie implora son amie.
- Cathy, s’il te plaît…
- Attends, coupa Cathy.
Quand la porte de leur chambre se referma sur elles, Cathy se retourna vers son amie, la prit dans ses bras, l’attira contre elle et l’embrassa sur la bouche. Leurs langues s’enroulèrent voluptueusement. Sophie desserra son étreinte, fit passer la courte robe de Cathy au-dessus de sa tête et l’amena sur le lit.
- Cathy, dit Sophie, je n’en peux plus…
- Déshabille-moi et occupe-toi de moi avec ta langue, ordonna-t-elle à Sophie avant que celle-ci ait pu ouvrir la bouche une nouvelle fois, ensuite ce sera ton tour.
Sophie regarda son amie un moment avec un mélange indéfinissable de surprise et d’excitation dans ses yeux. Puis elle prit le bas de la robe de Cathy et la fit passer au-dessus de sa tête, puis elle s’agenouilla devant elle et dépose un baiser sur la vulve de Cathy.
Cathy se laissa tomber sur le lit, couchée sur le dos et écarta ses cuisses pour que Cathy s’installe entre, présentant son sexe trempé d’excitation à son amie.

Elle gémit lorsque Sophie commença à caresser du bout des doigts son mont de Vénus, puis quand elle sentit la langue de son amie sur ses grandes lèvres
Les lèvres de Sophie aspiraient le clitoris de Cathy pendant que sa langue caressait doucement le centre de son plaisir. Quelques instants après, le corps de Cathy s’arqua alors qu’elle hurlait son plaisir.
Un instant elle resta inerte à retrouver son souffle. Puis elle attira Sophie et la coucha sur le dos. Cathy monta à califourchon sur elle en lui tournant le dos. Elle caressa doucement de sa main droite les grandes lèvres soigneusement épilées de sa compagne, puis lui écarta doucement les cuisses.
- Plie un peu tes jambes pour soulever tes fesses, l’invita-t-elle gentiment.
Sophie s’exécuta le souffle court.

Cathy se pencha en avant vers le sexe de son amie, tout en se reculant pour présenter le sien à nouveau, à la bouche toujours avide de Sophie. Cathy voyait le sexe humide de Sophie et le fin cordon sortant de ce sexe offert.

Sophie avait sous les yeux le sillon des fesses de son amie et elle passa ses mains sur ces douces rondeurs avant de masser sa rosette avec ses pouces, puis elle perdit peu à peu conscience de ses actes, la langue de Cathy venait de trouver son clitoris alors qu’elle caressait du bout des doigts l’entrée de sa grotte d’amour. Cathy tira doucement sur le fil pour faire ressortir l’une après l’autre les trois boules. Ces mouvements firent presque jouir Sophie.
Cathy ralentit le rythme pour ne pas permettre encore le soulagement de son amie qui geignait d’impatience. Tout d’un coup Sophie sentit à travers le voile de son excitation une nouvelle caresse qu’elle ne connaissait pas jusque-là, Cathy venait de placet la première boule luisante de sa cyprine mais cette fois à un autre endroit.
Sophie sentait la boule de métal chaude de son corps sur son trou des fesses. Cathy poussa la boule doucement contre sa rosette. C’était une sensation inhabituelle pour Sophie.
Elle prit conscience petit à petit que sans qu’elle ne fasse rien, la boule vibrante entrait dans son cul. Durant une minute, elle pensa que la boule ne passerait pas, mais elle se rendit compte que sous l’excitation sa rosette s’était dilatée et avait comme avalé la première boule.
La sensation était tout simplement indescriptible. Elle se sentait comme appelée par un vide vertigineux, comme juste avant un orgasme ultime.
Sophie, maintenant, haletait de façon incontrôlée. Elle sentit la poussée de la seconde boule sur cette entrée précédemment inviolée, puis la même sensation de vibration étrange quand la boule finit par pénétrer après que ses propres muscles l’aient attirée.
- Ohhh ! Balbutia-t-elle hébétée, oui, ohhh oui…
Quand la troisième boule la pénétra sous la pression décidée de la main droite de Cathy et que dans le même temps elle sentit de nouveau la langue de son amie venir titiller son clitoris en feu, rien ne put arrêter le déferlement de son orgasme. L’extase secoua violemment son corps et elle hurla longuement son plaisir. Plus rien ne comptait d’autre que son profond plaisir animal.
Cathy fut presque déséquilibrée par les tressaillements du corps de son amie, alors elle se coucha sur le lit, prit son amie dans ses bras et l’embrassa tendrement sur la bouche.
Sophie restait hébétée et hagarde, puis elle se mit à pleurer après la fantastique extase qu’elle venait d’avoir.

- Cathy, hoqueta-t-elle, tu es une diablesse…
Sophie la regarda calmement dans les yeux et lui dit :
- Je t’aime dans ta jouissance…

Le lendemain, ce fut Sophie qui émergea la première d’un sommeil lourd dans la moite chaleur de leur chambre.
Il était déjà plus de midi !
Comme sa tête reposait sur le sein droit de Cathy dont elle entourait la taille de son bras droit, la première chose qu’elle vit en ouvrant un œil fut le téton gauche de son amie. Elle se sourit et pensa que Cathy était vraiment une fille incroyable.
A la fois belle à couper le souffle et excitante, le mélange subtil de vice et de lubricité l’emmenait à chaque fois plus loin dans des fantasmes et une sexualité débridée, ensemble elles atteignaient des sommets de jouissance.

Elle sentit tout d’un coup les désirs monter dans son corps, alors elle porta son majeur droit à ses lèvres, l’humecta de salive et le plaça doucement sur l’entrejambe de son amie pour commencer un imperceptible effleurement circulaire.
Cathy sourit dans son demi-sommeil et écarta imperceptiblement les jambes pour se livrer à la douce caresse de son amie et se laisser emporter par les douces vagues d’un plaisir certain.
Sophie avait toute l’expérience et la patience requises, mais quand elle sentit le petit bourgeon du clitoris de Cathy durcir sur son index, elle sut que son réveil était imminent. Elle approcha alors sa bouche de celle de son amie et lui offrit un long baiser langoureux en continuant d’exciter doucement la partie la plus sensible de son corps.
- Bonjour, ma belle effrontée, murmura-t-elle, il est l’heure de repartir vers les plaisirs !
Cathy ouvrit encore plus les cuisses pour mieux s’offrir cette main qui lui donnait tant de plaisir.
- N’est-ce pas que tu n’es qu’une effrontée ? Continua Sophie.

Cathy approuva d’un geste de la tête sans même ouvrir les yeux, concentrée sur la caresse.
- Il faut que je t’appelle différemment maintenant, continua Sophie sur le même ton, je vais t’appeler ma petite salope, tu es d’accord ?
Cathy fit le même geste approbateur, mais Sophie insista :
- Dis-moi que tu es d’accord pour que je t’appelle petite salope.
Cathy, sentant monter son plaisir, cria presque :
- Oh ! Sophie, tout ce que tu voudras !
- Tout ce que je voudrais ?
- Ohhh ouiii ! Hoqueta Cathy.
Sophie venait de lui entrer un doigt dans le cul et Cathy s’arqua en suffoquant.
- Aaaah ! Je suis ta petite salope, dis Cathy.
Et un orgasme la terrassa…

- Allons déjeuner, j’ai faim après toutes ces émotions, dit Sophie.
Elle retira son doigt du trou du cul de Cathy, au moment où le corps de celle-ci réclamait encore.
- Allez ! File te peigner un peu et remets ta petite robe d’hier soir !
Cathy, embuée de désir, se leva lentement et fila dans la salle de bains pour remettre de l’ordre à sa chevelure dévastée. Quand elle en ressortit, elle trouva Sophie déjà habillée qui lui tendait sa courte robe.
- Tiens, ma petite salope préférée, et surtout ne mets pas de culotte ! lui dit-elle.

A suivre…