Initiation D'Une Pucelle
Que la vie me semblait terne. Javais besoin de peps. Tu as besoin de sexe, oui ! Tiens, de retour celle-là ! Je parle de ma petite voix intérieure. Elle rapplique au galop dès quelle sent que je glisse vers le mensonge. Et en loccurrence, ce nétait pas faux. Ma curiosité à propos de lacte sexuel augmentait chaque jour. Mes seules expériences faisaient figure pâle à côté des livres romantiques puis érotiques que je dévorais depuis ladolescence : petits smacks innocents sur la bouche, touche-pipi avec des copines, pression de la bouche au sortir du bac, chatouillis des amygdales un peu plus tard. Tout cela mavait mis en émoi ! Limpatience et la frustration se bousculaient dans mes veines. Puisque le sexe ne semblait pas décidé à venir à moi, à moins que je narrive pas à distinguer les avances amicales des propositions sérieuses, je décidai de passer à laction.
« Vous avez trente ans ? Euh, daccord, je te tutoie. Rdv vendredi ? Si tôt ? Après tout, cest vrai, pourquoi attendre ? »
Je coupai lordinateur. Choqué de ce que je mapprêtai à faire. Il me fallait un plan daction : salon, visagiste, coiffeur et abdominaux. Jeus envie détriper la professionnelle. La cire mirritait la peau, me la rendant douce à la fois, je devais bien le reconnaitre. Hmm, les caresses apaisantes sur le pubis faisaient-elles partie du service ? Je regardai lesthéticienne, qui me regarda fixement, semblant me défier de ses yeux insondables. Ni lune, ni lautre nosait réagir si bien quelle recommença. Passant sa joue, soufflant, insérant la pointe de son nez à lorée de mon sexe. Prise de panique, je sursautai et menfuis. Je trébuchai en rassemblant mes habits. Dehors je peinai à contrôler ma respiration. Les autres soins me parurent plein de volupté. Javais vraiment besoin de satisfaire ce désir affolant ! Vendredi arriva bien assez vite. Je bafouillai face au réceptionniste désinvolte de lhôtel qui me dévisagea avec un sourire cynique.
« Tes mignonne.
- Merci. Tu es beau, tu fais plus jeune que tes trente ans, dis-je en souriant, bizarrement mise en confiance.
- Je sais. Toi aussi tu parais jeunette. Fais voir ta carte, j veux pas de problème. Ok, tout est réglo, dit-il après avoir vérifié mon identité. »
Il fit alors remonter ma jupe à ma taille et sinséra entre mes jambes écartées. Son mouvement du bassin me tira un cri rauque qui samplifia lorsquil mordit ma clavicule. Oh, que cétait bon de sentir sa bite frotter contre ma chatte ! Trop de couches nous séparaient encore visiblement : Casanova écarta mon string et glissa deux doigts en moi. Je fis remonter sa tête qui sétait égarée sur mes tétons à ma bouche pour lui dévorer les lèvres. Il me suça la langue ce qui déclencha un orgasme fulgurant. Jeus vaguement conscience dêtre installée à quatre pattes sur le lit. Je lentendis trifouiller dans le chevet et dézipper son pantalon. Il sintroduisit brutalement en moi, sexcusa en sentant la résistance au fond de moi.
« Je me doutais que tu avais pas dexpérience, mais pas à ce point. Laisse-toi faire, tu vas aimer. »
Commença alors un balai denivrants va-et-vient, ponctués de halètements frénétiques. Je le sentais derrière moi, de plus en plus fou. Ses mains étaient partout sur moi. Il rugit lorsquil ne sentit aucun poil rêche sur mon pubis. La douleur semblait lointaine, seule comptait pour moi cet homme bien foutu qui me faisait du bien et excitait mes seins lourds, tendus de désir. Je lui palpais les fesses, bercée par ses coups de buttoir et ses caresses quand je décidai de glisser un doigt entre les deux globes merveilleusement musclés. Son orgasme déclencha le mien et nous gémirent ensemble, nous fichant des rires de lautre côté de la cloison.
Je me réveillai au contact dune main cajoleuse. Mon compagnon me regardait immerger. Il se leva, écarta mes jambes et lécha mes lèvres encore endormies. Jouvrai encore plus lespace quil avait créé et ondulai des hanches. Casanova soccupa de mon clitoris, le mordillant et le suçotant. Il enfouit sa langue pointue dans mon vagin, la sortit, joua avec mes sens, se régala de ma chatte humide. Le bougre semblait aux anges. Moi je tentais de fuir, cétait trop fort. Casanova me lâcha et vint sur moi. Avec un sourire bienveillant, il me prit doucement. Sa frénésie semblait sêtre calmée. Affamée, je magrippai à lui et pressai ses fesses pour le sentir au plus près. Je jouis longuement, les orgasmes se succédaient dès quil bougeait son bassin.
Au petit matin, je me réveillai, seule, un peu triste mais un mot trônait à côté :
Tu dormais si bien que je nai pas voulu troubler ta quiétude. Jespère ne pas tavoir trop meurtrie. Mais Dieu que cétait bon ! Tu es bonne. A bientôt.
A bientôt ? Oh que oui !
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