Leslie Ar17
Leslie AR17 - Sophie, les confessions dune collègue, suite et fin
Après avoir dit bonjour aux parents de Cathy, qui eux avaient terminés de déjeuner, elles sinstallèrent pour déjeuner sur la terrasse extérieure du restaurant, bordant la rue elle était surélevée dun petit mètre par rapport à celle-ci, si bien que les yeux des passants sur le trottoir étaient à la hauteur des sièges en rotin des deux filles.
- Ecarte bien tes cuisses ! Dis Sophie à Cathy.
Cathy un peu rouge, écarta ses jambes et face à la rue elle offrait dans cette pose outrageusement impudique une vision sans aucun obstacle sur son sexe ouvert, aux passants
Cathy sexhibait et Sophie en faisait de même, ces deux petites salopes allaient bien en profiter.
Elles déjeunèrent tranquillement et pendant la demi-heure qui suivit, Cathy et Sophie furent finalement surprises du fait que peu de passants ne paraissaient remarquer lextraordinaire impudeur du spectacle quelles offraient.
Seul un jeune qui passait sur le trottoir ouvrit de grands yeux sur leurs anatomies offertes. Le jeune homme, visiblement un étudiant en vacances, avait jeté un regard dans leur direction, donné un coup de coude discret au garçon du même âge qui laccompagnait, et ils avaient nettement ralentis leur marche.
Peu après, ils refirent une apparition et sinstallèrent non loin delles, mais à une table où ils pouvaient avoir une vue sur ces deux sexes exhibés.
Cathy respirait de façon saccadée, les cuisses ouvertes, tandis que Sophie commençait à se sentir humide.
- On dirait que nous avons des admirateurs, ma petite salope, murmura Sophie.
Un moment après, Sophie interpella les deux garçons et les invita à venir sinstaller à leur table pour discuter...
Les deux garçons intéressés ne se firent pas prier et vinrent aussitôt rejoindre Cathy et Sophie
Après quelques échanges Sophie leur dit :
- Alors le spectacle vous plait ?
- Heu, pour ma part cela me plait beaucoup, dit un des jeunes hommes.
- Moi aussi, dit lautre.
- Cela vous dirait de voir de plus près, demanda Sophie.
- Vous nous proposez un rencart ?
- Absolument ! Dis Sophie.
- Alors, dis-nous où et quand, demanda lun deux.
- Bon, ce soir, passez nous prendre vers dix heures, ici à lhôtel.
- Ok, nous serons là !
Sophie après avoir salué les deux beaux gosses, entraîna Cathy, en sentant que ce rendez-vous et ce départ rapides leur vaudrait, de la part des deux jeunes-hommes, un regard appuyé dans leur dos.
- Jai eu une soudaine envie dun mâle, dis Sophie, le plus grand des deux me plait bien et jespère que lautre te convient aussi.
- Pas mal, dis Cathy.
- Il ne sagit que dune soirée de baise, dis Sophie.
- Mais mes parents ?
- Comme lautre fois nous dirons que nous allons nous balader.
Cathy avait eu un petit copain, et Sophie ne lignorait pas, elle avait tout dit à Sophie sur sa relation, sans oublier de raconter le côté sexe de cette relation, ainsi Sophie savait très bien quelle nétait pas hostile aux hommes.
Sophie de son côté était bisexuelle, elle avait eue des aventures avec des petits copains et se faire sauter avec Cathy un soir de vacances ne lui déplaisait pas.
Elles se préparèrent pour sortir après le diner, les parents de Cathy ne voyant pas dobjections que deux jeunes filles en vacances sortent se promener le soir.
Les garçons furent ponctuels et tous les quatre partirent se promener sur le bord de mer.
Durant la ballade elles apprirent les prénoms de leurs deux compagnons, le plus grand se prénommait Francis et lautre Claude. Ils parlèrent de tout et de rien, profitant de cette promenade pour se rapprocher et commencer à former deux couples.
Les garçons ne dirent rien trop heureux dêtre tombés sur deux petites vicieuses en manque de sexe et comptaient bien profiter de loccasion offerte.
Arrivées au bout de la promenade, au même endroit désert où quelques jours auparavant elles sétaient données du plaisir, ils sarrêtèrent pour contempler la mer recouverte de lobscurité de la nuit.
Pendant un instant ils restèrent ainsi, et cest Sophie qui soudain dit :
- Et si nous nous baignons !
Pourquoi pas, répondirent les deux jeunes hommes en cur.
Ils se mirent nus tous les quatre sous la lumière blafarde du lampadaire et coururent vers la mer, Sophie, comme Cathy, avait pu voir les sexes de leurs deux compagnons et elle trouva quils étaient de belles factures, de quoi rendre deux jeunes filles heureuses le temps dune soirée.
Ils entrèrent dans leau protégés par la nuit noir, lendroit désert était propice aux ébats amoureux et voir plus, et dans lobscurité personne ne pourrait les voir.
Sophie se rapprocha du plus grand et se colla à lui, la réaction fut immédiate et elle sentit le sexe raide de Francis contre sa cuisse. Elle le prit en main en disant :
Je te fais tant deffet que cela ?
Comme tu peux le constater, je bande pour toi.
Elle le branlait doucement de sa main en le tirant doucement vers la plage afin de pouvoir saccroupir et le prendre entre ses lèvres et le sucer. Francis compris et se laissa faire
De son côté Cathy avait se faisait doigter par Claude et poussait de petits gémissements.
Puis ils sortirent de leau, il faisait chaud et la nuit était douce, ils remontèrent la plage et sinstallèrent sur les marches qui menaient à la plage, mais la rudesse des éléments nétait pas favorable aux ébats, alors ils sinstallèrent sur lherbe bordant la promenade pour être plus à laise.
Les filles sucèrent les mecs en se faisant doigter comme deux cochonnes, puis ils les pénétrèrent, alors quelques étaient en levrette face à face, de leur sexe bandé.
Ils étaient endurants et elles jouirent de ces pénétrations infligées.
Elles réclamèrent de se faire sodomiser pour la plus grande joie de leur compagnons.
Puis elles changèrent de mecs.
Elles rentrèrent à lhôtel le cul ouvert et sendormirent dans les bras lune de lautre, comblées et heureuses.
Les vacances nétaient pas terminées
A suivre
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