La Cave
C'était un soir de semaine, je me connectais comme souvent le soir à un de mes sites de rencontres favoris, je vois que A. est connecté, c'est un jeune métis de 24ans, j'en ai 49. Nous nous sommes déjà rencontrés pour des plan direct, il attaque direct "alors ma salope va bien ?, elle veut une bite ?", rien que de lire cela sur mon écran mes cuisses qui s'entrouvrent !
"Oui bb, tu es libre ?", pas de souci me répond t-il, comme il n'a pas de voiture c'est moi qui vais le chercher la plupart du temps, "ca te dirait un petit tour exhib avant que tu montes a la maison ? " , "hummm oui j'ai hate".
Je me déconnecte, passe à la douche, je met ma robe préférée pour ce genre de circonstance : une robe en jean, avec des boutons devant du haut en bas, il fait froid dehors mais tant pis mon envie d'exhib est trop forte, j'enfile un manteau mi-long et me voila dehors. Ma voiture est garée à quelques rues, il fait nuit malgré qu'il est encore tôt, 21h, je ne peux résister, j'ouvre manteau, déboutonne ma robe, rabat les pans sous le manteau et marche ainsi le manteau ouvert sur mes bas, à poils, je dois être dingue mais l'effet est immédiat ma chatte inonde mes cuisses de jus. Je m'arrête m'adosse contre un mur pour me toucher la chatte mon clito est tout gonflé, j'ai envie de me doigter mais je me retiens et continue jusqu'à la voiture.
J'ai laissé mon manteau ouvert, je suis donc assise comme nue dans la voiture, je roule lentement, à chaque feu je prend mon temps, ma main caresse mes seins, un homme traverse devant moi, il doute de ce qu'il voit, et après avoir bien vu, reste attendre queje démarre au feu vert, la main sur son jean, caressant sa bite, il passe la langue sur ses lèvres. Nouvelle inondation entre mes cuisses.
J'arrive au lieu de rdv, A. monte, me roule une pelle et me dit "alors on dirait que t'as fait la pute en route vu ta tenue, montre moi ca" sa main s'insinue entre mes cuisses "espèce de chienne t'es prète à te faire limer on dirait", pour te punir tu va me sucer ici ! Nous sommes à un carrefour, dans un endroit pas vraiment isolé, qui plus est en banlieue assez chaude, sa demande m'exite, sa bite est déjà sortie, je la
prend et commence à le sucer avec avidité, elle met pas longtemps à se dresser, il m'ordonne de mettre mes mains dans mon dos et m'appuie sur la tête pour que j'aille plus loin, je sens son bassin qui se soulève, il me baise la bouche, maintenant sa bite à pris toute sa belle taille (22cm) et elle tape le fond de ma gorge, je ne m'occupe plus de ce qui se passe dehors, à vrai dire quand je suis exitée comme cela, la terre pourrait s'arrêter de tourner ! Puis je le sens qui se contracte et me lâche tout dans la bouche, "avale salope", j'obéis, et me redresse.
Je gare la voiture, nous arrivons dans le hall de mon immeuble, j'appelle l'ascenseur, il me colle contre le mur, rouvre mon manteau et me pelote à nouveau, je suis en ébullition totale, ma main caresse sa bite à travers le jean, il me colle contre la porte de la cave, sort sa bite et me la met entre les cuisses, "tu es fou on est chez moi !" mais je n'ai qu'une seule envie, c'est qu'il continue, je la sens qui coulisse entre mes cuisses sans problèmes tellement je suis mouillée, on entend une personne qui interphone de l'extérieur, il ouvre la porte de la cave et me pousse dans l'escalier, je descend c'est peu éclairé, et sale, je tremble en me disant que quelqu'un peut descendre à la poubelle, mais aussi de désir, il me dit "vire tes fringues" je suis nue en bas et bottines, alors d'un seul coup il enfonce sa bite dans ma chatte, je me mord les lèvres en pensant à la personne qui vient probablement
d'entrer dans le hall et qui doit attendre l'ascenseur près de cette porte mais ses coups de bite, ont raison de ma retenue et je commence à crier malgré moi, "grosse salope, tu pouvais pas attendre hein, ben voila prend là", et là dans une explosion décuplée sans doute par le fait de savoir que je peux être prise en flagrant délit, j'atteins un orgasme foudroyant, A. m'inonde la chatte à peu près au même moment ! Je met quelques minutes à reprendre mes esprits, A. me dit rhabille-toi on monte, j'ai pas dit mon dernier mot.
a suivre
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