Par Un Autre ! Suite.
Jai marché longtemps dans les rues dAlès,
comme un zombi.
Puis jai cherché un hôtel.
En passant rue Anatole France un hôtel en retrait de la gare minspire confiance.
Je réserve deux nuits auprès de la jeune personne qui maccueille.
Louer une chambre dhôtel, dans la ville où lon vit, à 700 mètres à vol doiseau de son domicile nest certes pas banal et je pense que la jeune personne ma reconnu !
Je ne peux dissimuler ma gêne
tant pis je minstalle, chambre 17, je meffondre
A demain
Deux nuits passées à lhôtel à me demander si Nathalie na pas remis le couvert avec ce bellâtre.
Il est midi quand je pousse à nouveau le portillon de mon chez moi.
Je retrouve Nathalie affairée, préparant le déjeuner, comme si de rien nétait ...
-« Salut mon minou ! Me lance-t-elle, toute frétillante, « ça pas été trop dur ?! »
-« Non non ça va merci, un peu fatigué
! Et pour toi non plus, ça na pas été
trop dur ?»
Elle ne relève pas, se croit sans doute insoupçonnable,
comment pourrait-elle savoir ?
Le délice la transformée, ... je suis amoureux, je laime, je la désire, je ne veux pas la perdre
Les semaines passent, son humeur change, les échanges se tarissent, je sens quil faut que jintervienne ! Je décide de tout lui révéler :
-« Je sais tout,
jétais là !
»
Jai lu la terreur dans ses yeux
puis la honte
une longue période de mutisme, et chacun de son côté
Le temps passe, on se parle à nouveau.
Je crois quelle fut très étonnée de constater quil ny avait plus de colère en moi, que je nétais pas détruit par lévénement.
Elle saisissait du même coup à quel point je laimais, pour ne pas lui en vouloir plus que cela et quelle comptait bien plus que ma peine.
De mon côté ; je mesurais le plaisir quelle avait eu ce jour là !
Des images dun érotisme torride étaient quelque part, dans un coin de mon cerveau et ne me quitteraient plus jamais.
Je me réveillais le matin, constatant bien souvent que durant la nuit, javais encore visionné le film de son aventure, ce fameux jour où elle avait cédé à un désir trop fort, où elle avait été submergée par un plaisir qui lavait fait jouir, bien plus que de coutume.
Javais tout gardé en mémoire, lexpression de ce visage, un temps offusqué, puis très vite séduit,
la moindre ondulation de ce corps qui se donnait, de ses mains, qui se permettaient des choses sur le corps dun autre
de cette petite mignonne, au bord de lorgasme, qui se noyait dans les yeux de son amant
Au lit, certes on sétait retrouvé
mais je pouvais lui offrir mieux ... je savais comment
Il fallait que je lui en parle !
Devant la télé, on avait débouché un bon cru, les s chez leurs grands-parents, jai pris mon courage à deux mains,
- « Tu sais Nath, si tu en éprouves le besoin, si ça te fait plaisir, je serais assez daccord
enfin
je ne verrais pas dinconvénient à ce que tu revoies le type qui tavait fait tant frissonné
ce Yanis
quen penses tu ? »
Elle me regarde, lair hébété, abasourdie par ce quelle vient dentendre
- « Mais tes pas bien !
cétait une passade
jai flanché cest tout !
rien à faire de ce mec
je
je ... »
Elle bredouille, elle se trouble, ses pommettes prennent de la couleur, elle sen rend compte, séclipse, direction cuisine
Je la laisse se reprendre
puis la rejoins
me colle à elle. Dans son dos je lenlace, plonge mon nez dans sa chevelure soyeuse, menivre de son parfum. Mes mains courtisent ses seins. Le désir me prend, mon sexe se réveille et elle doit en avoir la preuve insolente contre les fesses maintenant.
- « Ne le prends pas mal
tu as pris tellement de plaisir ce jour là
je tai vue rayonnante
dune beauté étincelante, tu étais si désirable ! Cet homme, je narrive même plus à lui en vouloir,
il ta fait lamour comme tu le méritais
Il te plait
je le sais
si tu veux, je linvite.
La gêne est palpable
de précieuses secondes sécoulent durant lesquelles elle semble interroger ses envies
puis elle se retourne et membrasse tendrement.
Cette langue qui me fouille, cette haleine chaude et délicate qui menivre,
elle ne ma rien répondu mais ce baiser mouillé en dit bien plus long.
Elle me dit oui avec sa langue, oui avec ses lèvres...
- Je lappelle ?!
- Maintenant ?!...mais
- Nous navons pas les petits cette semaine
Je glisse ma main entre ses cuisses, son intimité la trahie. Le fond de son jeans nest plus sec !
- « Allo, Yanis ?
oui,
cest de la part de
Nathalie
»
Je suis calme, serein, persuasif.
Au téléphone, Yanis est très vite séduit par la proposition, il gamberge, je le sens prêt à chambouler son emploi du temps afin dêtre là au plus vite.
Nathalie écoute, émue, rougissante comme de coutume.
Elle me couvre de baisers, elle tremble, je sens ses seins dans mon dos, furieusement excités, piaffant derrière leur étoffe dentelée, réclamant leurs caresses au plus vite Elle ne peut contenir son émotion et semble masturber sa poitrine contre mon dos.
- « Quil vienne vite », Me souffle-t-elle à loreille
Yanis sonne,
jouvre
merde ! Quil est beau !
Nathalie lui offre un sourire complice, quil lui rend, plus coquin encore
Ils se cherchent des yeux, on sinstalle sur le canapé, je fais connaissance avec monsieur, on parle peu, Yanis semble attendre ma permission.
Je fais le premier pas, je la libère de son pull, dépose un baiser sur sa joue et minstalle entre ses cuisses. Nathalie mobserve la déculotter, lentement, et guette sur mon visage le soupçon de jalousie qui pourrait la faire renoncer.
Je lui souris en découvrant sa vulve déjà gonflée, rouge et luisante à travers sa touffe luxuriante
jy appose mes lèvres, la gratifie coup de langue appuyé qui la fait frémir, puis sursauter
-« huuuum ! Mon chéri ! Je vais avoir beaucoup de plaisir
»
Elle se tourne vers Yanis, dégrafe son soutien-gorge et les yeux mi-clos lui offre sa poitrine ! Cest un peu vite à mon gout, la jalousie me gagne,
je ne dois pas y céder, cest trop tard maintenant
il lui dit quelle est belle .
Ce quelle va lui demander me tourmente, me cloue et mépate en même temps !
-« Tète moi,
jnen peux plus !
»
Il se rue sur loffrande, tète avec fougue, pince le téton de ses lèvres charnues, malaxe ses mamelles les déforme de ses mains, puis les embrasse comme pour sexcuser de les avoir ainsi malmenés.
Il se goinfre de sa douce et précieuse intimité,
de ce que Nathalie mavait jusqualors toujours réservé,
il fait lamour à ses seins, ils sont sublimes !
Dune aréole à lautre, un sein dans chaque main, Yanis sapplique et Nathalie lencourage, le complimente
Ooh! Oooh !... ooooh !, ouii
mange-moi, hoooo ! Tu es booon . Vas y
oui
mon mignon !
ta bouuuche
Elle le contemple saffairer sur ses seins, écrasant son nez sur sa chair parfumée
-« que tu es beau
»
Ses scrupules se sont évanouis devant la puissance de son désir, elle ne craint plus de me blesser et me jette en pleine face le béguin quelle a pour ce beau gosse.
Je moccupe de son clitoris comme jamais je lai fait, jy mets toute la passion que jai pour elle.
Elle geint sous mes lèches, inonde ma bouche de sa liqueur parfumée, se cambre
je frissonne en lentendant supplier :
-« embrasse-moi
oui viens
»
Cette invitation, toute simple, qui longtemps métait destinée
un autre me la confisque
Je jette un il à létage supérieur, leur bouches se sont retrouvées, les yeux dans les yeux, ils se respirent. Nathalie sest abandonnée, ses paupières se ferment, Yanis sen détache quelques secondes pour mieux la contempler, je la surprends, la langue offerte, ne dissimulant plus rien du plaisir qui lenvahit.
Elle limplore
. le supplie du regard de lentreprendre à nouveau,
ils se recollent, se lapent comme deux jeunes chiots.
Le teint hâlé de Yanis contraste avec la jeune peau de Nathalie, mais leur beauté ont des points communs, la finesse des traits de leur visage, leur narines joliment ourlées, je dois bien ladmettre, ils sattirent lun lautre,
le désir les possède.
Je bande !
Je défais mon jeans, mon sexe me fait mal derrière le tissu
Nathalie sen inquiète quelques secondes,
sen amuse et madresse un message narquois :
-« Tu vas voir minou, dans ce pantalon là, » fait-elle en soulignant dun geste câlin la grosseur qui tourmente le jeans de Yanis, « il y a un joujou qui va me rendre folle
mais
je crois que tu las déjà vu ?
nest ce pas ?
On en devine aisément les contours
Nathalie linspecte de la main
-« huuum ! »
Elle a faim de cette friandise, elle a faim de ce sexe, je la découvre capricieuse, comme une belle devenue femme trop vite et qui exige quon la contente
tout de suite !
Le ton quelle a pris me surprend, commet ose t elle ? Lexcitation la rend impudique et vicieuse.
Jen prends ombrage, prépare une riposte gentille, mais en un tour de main, elle me met devant le fait accompli en dégageant elle-même le membre de Yanis de son carcan
Je ne la lèche plus ... je regarde
stupéfait
admiratif
il fait bien deux fois le mien ?!
Nathalie me sourit, satisfaite de son effet
elle regarde ses propres seins, leur sourit, elle en est fière, et pour cause, elle connaît parfaitement leur puissance de séduction, leur puissance de feu. Son petit air mutin, sa moue de gamine me font baver denvie.
Elle laisse balloter nonchalamment ses jeunes fruits mûrs devant nos yeux écarquillés, Yanis me les dérobe de ses mains impatientes, Nathalie grogne son contentement
Je me replonge entre ses cuisses et me vautre dans sa liqueur de femme, aspire son bouton de chair. Je veux la rendre folle
Le ouuuuuffff quelle me couine me sert de vengeance !
Elle glisse du canapé, se dégageant du même coup de lemprise de son amant je me retrouve allongé sur le tapis, Nathalie rit, elle ma enjambé et sassied sur ma bouche, je la fouille de ma langue. Son clitoris dressé, flamboyant semble me remercier sous les plis de son écrin douillet.
Elle vient le couvrir de sa main, puis le taquine avidement
frénétiquement, dun doigt tendre et efficace harcelle son bouton damour, tente de calmer une délicieuse démangeaison qui ne fait quamplifier
-« huuum ! que cest bon minou ! que cest bon
Je suis ivre, je vais au plus profond, je goute son intimité. Elle intensifie sa pression, me couvre le visage de son jus. Je sens quelle soffusque un instant de ce quelle me fait subir, mais lexcitation est la plus forte, sa chatte commande, elle se frotte en geignant, elle se branle sur mes lèvres
Coincé sous son pubis, je contemple par le dessous, ses seins, ses narines
la verge au garde à vous,
je laime !, Nom de Dieu ce que je laime !
Yanis la rejoint, lui fait face à nouveau et la reprends là où il lavait laissée.
Je me délecte de la scène, leurs langues sinvitent, se combattent, se font la coure,
Trois mois maintenant quils ne sétaient revus, ils sont en manque lun de lautre, et ça crève les yeux !
La proximité du membre de Yanis me trouble
cette belle tige nervurée, rigide, se balance au dessus de mon nez, se repose parfois sur mon front, emporté le poids de son gland violacé.
Je nai quun geste à faire, lenvie me , elle devient irrépressible, je le saisis, Yanis conteste mon geste dun « hé » de surprise, mais je lui fais trop de bien, il se rend, et accepte laffront.
Il beau, il sent bon il a les bourses grosses, pleines je les câline,
je baptise son gros membre de ma salive, je le lèche, mattarde sur son frein, récolte de ma langue le précieux liquide qui bientôt garantira le plaisir de Nathalie.
Je constate que jen tire un plaisir prodigieux ! Ce coup de foudre insoupçonnable me rend fou !
Je tombe amoureux de sa bite, jai envie quil me viole. Jai honte
-« Nathalie
ton mari me suce ! » bredouille-t-il à loreille de ma belle.
Elle madresse un sourire béat, e de plaisir, radieuse, les lèvres rouges davoir trop embrassé, les pommettes en feu
et finit par prendre la décision qui simpose, celle que son ventre réclame,
se saisit du pieu de chair,
sa main me parait soudain ridicule autour de ce gourdin majestueux. Je remarque quun peu de ce lubrifiant masculin sen échappe et vient secrètement outrager lalliance quelle porte au doigt.
Elle joue avec son prépuce, le fait coulisser encore quelques coups, me jette un dernier regard, et le présente à lentrée de sa corolle gourmande.
Oooooooooooh !!! mon mignoooon !!!ooooooh tu me baises
..
Comme la première fois quand il lavait prise sur la table de la cuisine, le sexe de Yanis semble emporter les muqueuses du sexe de Nathalie, de ses va-et-vient vigoureux, et les longues plaintes qui séchappent de cette bouche délicieuse, ne font pas grand mystère du plaisir qui la prend.
Il est copieux, il est succulent,
elle est gourmande et en redemande.
Nathalie baise, Nathalie crie son plaisir, réclame des assauts de plus en plus profonds et moublie sur le sexe de Yanis.
Plus rien ne compte au monde.
.
Ses seins dansent au dessus du nez de son amant qui les honore parfois de sa bouche affamée.
Nathalie est remplie, Nathalie est heureuse, Nathalie accueille son orgasme les yeux révulsés, les narines palpitantes, mon amour jouit à en perdre haleine
Yanis la besogne encore,
je me dis quil faut quil cesse
elle ne tiendra pas !
Mais cette fois, je constate quil ne tient pas la distance, layant sans doute désirée depuis trop longtemps
Yanis craque !
lui agrippe les fesses, bloque son bassin de ses mains puissantes et se déverse en elle
généreusement
-« Ooooooooh
Yanis !
.je te sens !
..oui, oui
vide toi
. Mamouuur !
»
Nathalie suffoque,
chancelle
se ratt
. à mon sexe
. Je jouis sur le dessus de sa main
.
Elle reprend son souffle
doucement
puis me sourit
me tombe dans ses bras !
- « jai pris mon pied !!!
vraiment !
»
- « Mon petit bout, ma petite chérie,
tu es née pour lamour,
trop belle pour faire autre chose
il peut revenir quand il veut
»
- « oui ?!
quand je veux ?
ton prochain séminaire
cest quand ?
»
-« Coquine !... »
Scorpion.
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