Melisa 2

Le lendemain j’ai essayé en vain de la contacter, pas de réponse, pas grave je vais la coincer tout de même, j’ai demandé à sa mère de la faire venir manger avec son mari,
Ce sera pour Vendredi midi, ça tombe bien je n’ai rien l’après-midi, reste à imaginer comment je vais procéder !
La veille au soir je lui ai envoyé un texto en lui rappelant comment je voulais qu’elle s’habille lorsque l’on est censé se voir… à moins qu’elle ne préfère que j’en parle à son mari,
Je suis dehors, occupé volontairement dans ma voiture pour ne pas éveiller les soupçons de sa mère, elle arrive toujours un peu en avance sur son mari lorsqu’ ils viennent manger, sa voiture s’immobilise dans l’allée un peu à l’abri des fenêtres, je me poste devant la portière et attends qu’elle ouvre celle-ci, pour descendre elle va devoir me faire face, elle le sait et traine à le faire, du coup je lui dis : remonte ta robe et ouvre bien tes cuisses pour descendre…
Elle me lance un regard noir mais n’a pas trop d’autres possibilités sinon d’attendre où la sortie de sa mère où l’arrivée de son homme,
Elle capitule, alors je lui recommande de le faire lentement pour me laisser le temps de mâter son entrejambe, elle s’exécute, ce qui me laisse voir qu’elle porte un collant fin couleur chair et une culotte en dentelle blanche,
Il me semblait t’avoir demandé de ne rien porter si tu mets des collants ?
Elle quitte le véhicule et nous rentrons par le garage, avant même qu’elle ne se dérobe, je la plaque contre le mur, ma main glisse entre ses cuisses et remonte au contact de sa chatte, je l’oblige à s’ouvrir un peu et ma main enveloppe son intimité au travers de ses frusques, je la doigte et l’embrasse, elle ne résiste pas vraiment et réponds à mon baiser,
Moi : Tu vas aller aux toilettes, tu retires cette culotte et tu vas la glisser sous mon oreiller !
Elle : et si ma mère me voit ?
Moi : t’inquiète je vais l’occuper ! je constate qu’elle ne dit pas non…
Elle est de retour, va s’asseoir, son mari arrive et en fait de même, je me lève et vais rapidement dans la chambre, soulève l’oreiller, je prends sa culotte, la hume un court instant et la glisse dans mon boxer,
Le repas se passe bon , je la regarde en me disant : avec toi cet après-midi je vais prendre mon pied !
Ils nous quittent, je la sais sans culotte et ma queue tressaute dans mon boxer,
Je vais à l’étage, je me saisis de mon portable et prends en photo son string dans la salle de bain de façon à bien reconnaître l’endroit,
15 minutes plus tard je lui laisse un texto en lui demandant de me rejoindre sur le parking extérieur de la base de loisir vers 16 heures, à cette époque il n’y a pas trop de monde,
Elle me répond : je n’ai pas le temps,
Je lui envoie la photo de l’étoffe censé être sur elle,
Elle a compris le message et me transmets un simple Ok,
Avant l’heure je suis déjà sur le parking, effectivement il n’y a personne, je me suis installé sur le siège arrière, je sais déjà comment je vais la posséder,
Elle arrive et se gare, elle jette un coup d’œil aux alentours puis s’apprête à me rejoindre, elle ouvre la porte et avant qu’elle ne s’installe je lui intime de poser sa veste sur le siège avant et de retirer sa robe,
Elle n’a pas le temps de dire quoique ce soit,
Pas de questions ma fille, tu fais !
Elle s’exécute et s’assoit à mes côtés, j’ai déjà baissé pantalon et boxer, ma queue est bandée,
Commence par me sucer !
Elle se contorsionne, je la reprends et lui dit : à genoux sur le siège,
On risque de me voir ?
Et alors, tu veux faire ta vierge effarouchée ?
Elle obéit et prenant mon vit avec sa main gauche (elle a compris la leçon) approche ses lèvres et engloutit mon membre, je m’amuse en faisant tourner son alliance sur son doigt,
J’apprécie ce moment de soumission, rapidement je lâche son doigt et ma main vient flatter ses fesses au travers du collant,
Ça te plait d’être sans culotte ?
Entre deux sucions, tu vas me la rendre c’est un cadeau de mon mari !
Je t’ai demandé de ne pas en porter, ton sexe doit être à l’air libre, n’importe quel homme dans ta boite doit pouvoir le voir et le toucher à présent,
Moi : Je t’ai déjà entendu parler du gars du bureau d’études, tu as couché avec lui ?
Elle cesse sa fellation et me réponds : Non !
Et pourquoi ?
Je te rappelle que mon mari est dans la boite,
Et alors, je ne vois pas où est le problème ?
Quand même !
Viens sur moi,
Elle me chevauche, je déchire son collant volontairement, je suis persuadé qu’elle n’a pas une deuxième paire,
Prends ma queue et empale-toi dessus, elle frotte mon gland sur sa touffe, je perçois l’entrée de sa chatte, je pousse en avant et mon sexe est engloutit dans son nid d’amour chaud et humide,
Je dégrafe son soutien-gorge, ses seins viennent s’écraser sur mon torse, c’est elle qui donne le tempo du coït, nos lèvres se soudent et nos langues se lient, avant de me déverser dans son ventre je mélange abondamment ma salive à la sienne l’obligeant à déglutir, elle ne rechigne pas, bien au contraire je la sens très participative,
Elle cesse notre baiser et me glisse à l’oreille : ne jouit pas trop vite,
Je comprends qu’elle ne se retient pas et veut profiter de notre accouplement et avoir son plaisir,
Ma main masse ses fesses et mon majeur vient flatter son œillet plissé, elle ne refuse pas l’outrage, j’essaie tant bien que mal à récupérer un peu de mouille et revient agacer sa rondelle, petit à petit une partie de mon doigt s’enfonce dans son intimité anale,
Ce traitement mixte de ma queue dans son ventre et de mon doigt dans ses reins l’amène par un feulement non dissimulé à prendre son pied, les contractions de son vagin me font arriver au point de non-retour, la saisissant par les hanches je me glisse au plus profond de sa matrice et mon sperme fuse dans son utérus,
Elle s’écrase sur moi, sa tête sur mon épaule, je ressens les derniers spasmes de ses muscles vaginaux sur ma queue,
Elle n’a rien dit du fait que j’ai éjaculé en elle ?
Après quelques minutes de récupération, mon sexe est partiellement sorti de son antre juteux,
Moi : alors ton beau-père ?
Elle : quoi ?
Moi : toujours opposée à une relation ?
Elle : tu es un salaud, tu ruines mon couple,
Moi : tu ne viens pas de m’en donner l’impression, je pense même que si tu n’étais pas complexée cause a tes grossesses tu aurais déjà sauté le pas !
Elle : elle se redresse et se lèvres viennent sur les miennes,
Nous échangeons un long baiser, plus de 30 minutes sont passées, il faut qu’elle retourne à son bureau, elle se rajuste en râlant pour ses collants, tu me redonnes ma culotte ? non je la garde,
Elle : je ne peux pas retourner au bureau les fesses à l’air !
Moi : tu as une autre possibilité ?
Elle : affolée elle dit non,
Elle : Encore une chance mon mari n’est pas au bureau il est parti à l’extérieur,
Moi : J’ai cru le comprendre à midi effectivement, un avantage il ne verra pas que tu ne portes plus tes collants,
Moi : tu ne m’as pas répondu pour le gars du B.

E ?
Elle : je n’ai rien à dire !
Moi : j’ai son adresse mail et je vais lui envoyer la photo de ton string en copie cachée,
Elle : tu ne vas pas faire cela ?
Moi : il va être 17 heures, il ne reste plus que toi et lui comme par hasard au bureau le vendredi, tu crois que je n’ai pas compris…
Elle : il n’y a rien eu entre nous !
Moi : pas encore, mais vous vous cherchez ?
Elle : tu délires !
Moi : tu as peut-être raison, je délire, et bien tu vas aller le voir, te mettre à ses côtés et tu vas lui demander de te caresser, je veux qu’il constate la moiteur de ta chatte et qu’il te prenne sur le bureau !
Elle : certainement pas,
Moi : tu n’as pas le choix, pense à ton couple, donc tu y vas et tu fais ce que je t’ai demandé et après tu m’envoies un SMS pour me dire si vous avez baisé ! ne me déçoit pas….
Elle a quitté le véhicule,
Il est 21 heures, je n’ai pas reçu de message, toutefois nous sommes avec sa mère passé devant son lieu de travail à 18h il y avait deux voitures, la sienne et une autre était sur le parking !

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