Charlotte Et Juliette

Charlotte et Juliette sont de vraies jumelles si bien qu'on ne peut vraiment les distinguer que par leurs vêtements. Agées d'une trentaine d'années, toutes deux mariées, l'une à Cédric, l'autre à Kevin, mais encore sans , elles ne sont ni l'une ni l'autre des femmes qu'on remarque dans la rue... sauf quand elles sont ensemble. Elles sont restées si proches qu'elles habitent à quelques mètres de distance et leurs maris ont dû s'y conformer. Elles n'ont évidemment nul secret l'une pour l'autre. Elles affichent toutes les deux le genre baba cool : jean, baskets, duffle coat l'hiver, tee shirt ou débardeur l'été, cheveux bruns et longs rassemblés à la diable, pas ou peu de maquillage, sourcils non épilés, bref pas des filles à dépenser leur fric dans les boutiques et chez l'esthéticienne. Pas non plus le style à afficher leur sexualité de manière ostentatoire. Physiquement, elles sont de taille moyenne avec un fessier assez charnu et des seins lourds et bien accrochés, pubis broussailleux, "au naturel". Leur visage, sans défaut majeur, est souvent souriant, signes qu'elles sont l'une et l'autre bien dans leur peau.

Il faut toujours se méfier des impressions visuelles. Si Charlotte et Juliette n'ont rien d'aguicheuses, le sexe les intéresse, et bougrement. Elles ne sont pas du genre à plaider une migraine pour refuser à leur mari une partie de jambes en l'air. Elles n'ont aucun mal à atteindre l'orgasme et, sans être nympho ou hypersexuelles, auraient du mal à se passer de bite plus d'une semaine. Leur belle santé leur fait considérer les rapports sexuels comme naturels au bien-être d'une femme.

Ce jour là, un samedi matin, Charlotte et Juliette se trouvaient dans un petit bois proche de leur domicile en train de faire un footing, en short et bandana, lorsqu'elles s'arrêtèrent pour boire et souffler.
- Alors, vous faites quoi demain ? demanda Juliette.
- Ben, je sais pas trop. On verra après nos galipettes du matin.


- Tiens, moi aussi. C'est fou ce qu'on peut être ritualisées avec le devoir conjugal.
- Tu l'as dit. Franchement, je sais pas toi mais je commence à m'emmerder au pieu. Toujours pareil.
- Tu me l'enlèves de la bouche. Bon, je ne peux pas dire que Kevin n'assure pas mais ça devient de la routine. Aucune fantaisie dans nos rapports. Quand je repense à ce qu'on faisait au début. Tu te rappelles, on était allé en club à quatre.
- Oui, on s'était bien marrés, je m'étais tapé un grand black et toi une espèce de rouquin à grosse bite devant nos julots qui s'étaient branlés en nous regardant.
- Et après, on s'est mariés et finie la fantaisie. Bon, remarque, ça valait peut-être mieux pour nos couples.
- Sans doute mais franchement, je n'ai pas l'impression qu'on les excite beaucoup, nos mecs. On les échangerait qu'ils ne verraient même pas la différence.
- Mais... dis donc, c'est une idée, ça ! Et si tu prenais ma place et moi la tienne ? Tu trouverais pas ça marrant ?
- Ah oui, génial ! Sur qu'il n'y verraient rien. Dès ce soir ?
- Pourquoi pas ? Il faut juste qu'on fasse attention à s'habiller pareil.
- Donc, tu serais d'accord pour baiser avec Cédric et moi avec Kevin ? C'est sûr ?
- Oui, ça m'excite bien ce truc. Il aime quoi au pieu, Cédric ?
- Que je le suce, qu'il me prenne par derrière.
- Il t'encule ?
- Ah ça oui, c'est vraiment son truc.
- Kevin aussi, je te préviens.
- Pas de problème. Bon, il faut rentrer maintenant et on se dit à tout à l'heure. Il va falloir jouer fin. Je passerai après le dîner. Comment tu vas t'habiller ?
Les deux soeurs se mirent d'accord pour la tenue la plus classique possible et une queue de cheval. Ne restait plus qu'à opérer la substitution.
**********
Juliette et Kevin étaient en train de regarder la télévision quand on sonna à la porte. Juliette se leva pour ouvrir, échangea deux mots avec Charlotte, vérifia sa tenue, lui fit une bise, et s'échappa vers le domicile de sa jumelle.
Charlotte prit place sur le canapé à côté de Kevin qui, évidemment, ne s'aperçut de rien :
- C'était qui ?
- Ma soeur, elle m'a rendu un bouquin.
Et le néo couple se plongea dans sa série télé. A quelques mètres de là, Juliette faisait de même avec Cédric sans susciter davantage de réaction. Puis ce fut l'heure d'aller au lit.
Les jumelles s'étaient mise d'accord : elles se coucheraient à poil, signe pour leur conjoint qu'elles avaient des intentions. Elles avaient déjà vu leur beau-frère en maillot de bain, mais pas plus. La découverte s'annonçait intéressante. Et surtout, la suite.

Il faut d'abord savoir que celui qui va coucher avec Juliette, Cédric, est du genre costaud, râblé et velu tandis que le pseudo conjoint de Charlotte est au contraire grand, sec et imberbe. Les deux soeurs ont mis un point d'honneur à prendre pour époux deux hommes physiquement différents.
Aussi, quand Charlotte glisse une main dans le pantalon de pyjama de Kevin, en train de bouquiner au lit, elle rencontre un membre long et fin aux antipodes de la queue courte et épaisse de son conjoint.
- Qu'est-ce que tu fais ? lui dit Kévin, étonné.
- Ben tu vois, je te branle.
- Tu as envie ?
- Ben oui.
- D'habitude, tu attends le dimanche matin.
- Faut sortir de la routine, chéri.

Et de tirer sur la couette puis le pantalon de pyjama, avant de se pencher sur une bite encore molle pour la glisser dans sa bouche. Son énergique succion ne tarde pas à produire ses premiers effets. Charlotte en a plein les joues. Béat, Kévin se laisse faire, les mains sous la nuque. Quand l'érection est devenue suffisante, Charlotte se positionne à cheval sur la queue et s'empale lentement. Elle fait rouler ses hanches en observant les réactions de son beau-frère qui croit honorer son épouse mais la trouve décidément très entreprenante ce soir.

A quelques mètres de là, dans la maison de Charlotte et Cédric, Juliette, toujours assise sur le canapé, a posé la main sur la braguette de son beau-frère.
La réaction de celui-ci est la même que celle de Kévin :
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu vois bien que je regarde la télé.
- Oui, je vois mais moi, j'ai envie de baiser. Tout de suite.
Et joignant le geste à la parole, elle ouvre la braguette, sort la plantureuse bite et entoure le gland de ses lèvres. Cédric s'est crispé mais n'ose pas repousser sa pseudo épouse. D'autant qu'elle commence à lui faire du bien. La situation incongrue lui plait assez. D'habitude, "Charlotte" n'est pas si entreprenante. Juliette n'a pas l'intention d'attendre d'aller au lit. Elle fait prestement passer son haut par-dessus sa queue de cheval, dégrafe son soutif et met ses nichons dans le nez de son beau-frère. Difficile, malgré la série télé qui n'est pas terminée, de résister à deux roberts aussi plantureux. Cédric s'en gave. Et bande. Juliette baisse prestement, d'un seul tenant, pantacourt et slip, s'agenouille sur le canapé, et s'empale, les mains sur les épaules de son beau-frère, qui n'en revient pas de l'initiative de sa pseudo épouse. D'habitude, elle n'est pas si empressée et attend d'aller au lit. Et la voilà qui se détache, se retourne, se met sur ses pieds et lui montre son cul en mouvement en virevoltant sur sa queue. Cédric se dit qu'il ne va pas tarder à gicler. Et il n'est même pas à poil ! Mais Juliette se relève, le visage réjoui. Elle a bien profité de la grosse bite de Cédric, qui la change de la tige de Kévin. Et elle n'a pas l'intention d'en rester là :
- Viens, on va au lit maintenant et enlève ce fichu pantalon.
Cédric, désormais nu, la suit en considérant la croupe ondulante qui le précède et se dit qu'il va l'honorer fissa.

Justement, dans la maison voisine, Charlotte se trouve à quatre pattes en travers du lit. Elle a bien chevauché Kevin, son beau-frère à la queue longue, et s'est sentie particulièrement envahie. Il ne lui déplairait pas maintenant de la sentir dans son cul. Kevin est tout surpris de l'entendre dire : "'encule-moi maintenant".
C'est bien la première fois que "Juliette" le lui dit aussi crûment. D'habitude, c'est lui qui la prévient qu'il va la sodomiser. Mais il ne va pas bouder son plaisir. La croupe juteuse s'offre à lui, son sourire vertical attend son intromission, les grosses joues fessières semblent fébriles. Il s'enfonce lentement, Charlotte baisse la tête et regarde entre ses bras les couilles qui commencent à ballotter. Elle fait "mmmmhh" avec la bouche et commence à remuer le croupion. Validé, l'enculeur y va de bon coeur, les peaux claquent, Charlotte brame, va chercher les couilles d'une main. Kevin n'en revient pas. Quel enthousiasme de son "épouse". Il en devient plus long, plus dur et de ce fait, encore plus assourdi par les cris de plaisir de Charlotte.
- T'arrête pas, t'arrête pas ! clame-t-elle.
Il ne peut pas faire autrement que gicler dans le rectum en grognant, le nez sur la queue de cheval de Charlotte qui se cambre en jouissant.
De son côté, Juliette n'a pas trop envie de voir Cédric entrer dans son cul. Sa queue est vraiment trop grosse. Alors, à peine arrivée sur le lit, elle s'allonge très ouverte et lui dit :
- Viens, baise-moi.

Le beau-frère considère le corps offert de sa fausse épouse et se dit qu'il l'a rarement vue aussi chaude. Et qu'il a intérêt à répondre à la demande. Il lui saisit les chevilles, les écarte et la pénètre sans trop de manières. Juliette fait "ha" et vient à sa rencontre avec ardeur. Le lit devient très agité, ça clapote sur les draps. Juliette redresse la tête de temps à autre pour regarder la bite entrer et sortir de son antre intime, et ça lui met vraiment le feu. Elle en devient grossière :
- Ah qu'elle est bonne ta grosse bite, mets la moi, mets la moi bien fort, continue, encore, encore...
Cédric est flatté mais en même temps étonné par cette crudité peu habituelle. Et qu'est-ce qu'elle remue ! Ah ça, on peut pas dire, ma femme, c'est pas une planche à pain. Il la plie en porte-feuille, l'embrasse pleine bouche pendant qu'elle lui griffe les fesses, se met bras tendus pour mieux la pilonner pendant qu'elle lui frotte les fesses avec ses talons, puis elle pose ses pieds sur le matelas, balance ses fesses de droite et de gauche et là, c'est plus possible, il éjacule pendant qu'elle tombe en extase.
- Ah quel pied ! souffle-t-elle, une fois qu'il s'est mis sur le dos.
- Ah ça, tu peux le dire, tu avais le feu au cul, chérie.
Juliette ne répond rien et pense au même moment à sa soeur Charlotte. A-t-elle pris autant de plaisir avec son conjoint qu'elle avec le sien ?
******
Les deux soeurs se retrouvent le lendemain soir chez Charlotte pendant que leurs maris jouent encore au golf. Elles s'étaient croisées discrètement au petit matin après avoir passé la nuit chez leur beau-frère, encore endormi, puis s'étaient recouchées en leur compagnie. Ni vu ni connu. Mais il restait à passer aux commentaires.
- Alors, comment ça s'est passé ? demande fébrilement l'hôtesse.
- Très bien mais je suis un peu moulue. Cédric m'a démantibulée avec sa grosse bite. Il assure, ton mec, y a pas à dire. Et toi ?
- Pareil. Kevin m'a baisée, il ne m'a pas fait l'amour. Quand il m'a enculée (car il m'a enculée, oui), j'ai eu l'impression de l'avoir jusque dans l'oesophage. Et tiens-toi bien, il a remis ça pendant la nuit. Cédric ne me fait plus ça depuis longtemps.
- Tiens, c'est curieux, Cédric a fait la même chose avec moi. Il faut croire qu'on les a inspirés.
A ce moment là, les deux maris entrent avec leurs clubs de golf. Charlotte et Juliette sont assises dans le salon de jardin de la première devant des jus de fruit et invitent les golfeurs à les accompagner.
- Alors, les filles, on papote ? ricana Cédric.
- Ben oui, comme d'hab, pourquoi ?
- Et de quoi vous parlez, sans indiscrétion ?
- Des histoires de nanas, ça ne vous regarde pas.
- Ce ne serait pas de votre nuit, par hasard ?
Charlotte et Juliette se regardent. Ils sont devins ou quoi, les julots ?
- Bon, allez, arrêtez vos cachotteries, poursuit Cédric en se versant un verre d'eau. On sait très bien ce que vous avez manigancé, toutes les deux. Qu'est-ce que vous croyez ? Qu'on n'allait pas vous distinguer au pieu ?
- Oui, compléta Kevin. Tu as oublié, Juju, que tu as un grain de café sur le côté du sein gauche, et pas Charlotte qui ne se rase pas les aisselles contrairement à toi. Des petits détails qui font la différence.
- Eh oui, on a baisé nos belles soeurs en parfaite connaissance de cause, rigole Cédric. Et je dois dire qu'on n'a pas été déçus. Vous êtes toutes les deux des reines du plumard et pas jumelles pour rien sur ce plan.
- Salauds ! s'exclama Charlotte. Vous le saviez et vous n'avez rien dit.
- Et ben quoi ? Ce n'est pas ce que vous vouliez ? Telle est prise qui croyait prendre, ricane encore Cédric.
- Et bien prises, non ? s'esclaffe Kevin.
Charlotte et Juliette ne peuvent plus faire autrement que rire à leur tour. Après tout, c'est vrai qu'elles ont eu ce qu'elles voulaient. Elles connaissent désormais leur beau-frère sous tous les aspects. Et le fait est qu'elles ont joui, vraiment joui. Elles sont bel et bien sorties de leur routine sexuelle et leur conjoint aussi. Qui, d'ailleurs, les connaissent beaucoup mieux qu'elles le croyaient.
- Bon, maintenant, qu'est-ce qu'on fait ? ose Charlotte.
- On en a parlé avec Kevin, répond Cédric. Pourquoi ne pas continuer ces petits échanges, cette fois en pleine connaissance de cause ? Ce n'est pas de l'adultère. C'est, si on peut dire, du candaulisme familial. Une fois de temps en temps, pourquoi pas ?
- On pourrait même faire ça dans la même chambre, ce serait encore plus excitant, poursuivit Kevin.
Charlotte et Juliette se regardent, s'interrogeant du regard. Elles ont bel et bien ouvert une porte qu'il leur sera désormais difficile de fermer. Elles se connaissent suffisamment pour savoir que celle qui prendrait alors la parole aurait l'assentiment de l'autre.
- Bon, d'accord, lâcha Charlotte, un léger sourire aux lèvres. Mais je retiens l'idée de faire ça ensemble. Et dès ce soir. On verra si vous êtes aussi gaillards côte à côte.
Et les deux couples trinquent, la malice dans les yeux. Leur vie sexuelle va prendre désormais une tournure beaucoup moins conventionnelle...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!