Mick Et Ses Girls Chapitre 1

Mick et ses Girls
Chapitre 1
Mick était un garçon assez extravagant non par son comportement mais par son verbe, il avait la tchatche comme on dit .Il avait la particularité de nous ramener de vrais bombes au sein de notre groupes et les filles tournaient avec tous les garçons avant d’en ressortir. Ce verbe il le tenait de son cousin Gwen qui était au bahut avec moi. Lorsque nous nous aperçûmes que nous avions des relations en commun nous devînmes un trio inséparable, Gwen était notre mentor, pour ma part il m’a appris à sortir de ma timidité maladive.
Ce soir-là nous étions dans le quartier de Mick et nous trainions comme les jeunes trainent dans les soirées qui ne sont pas très animées, Mick nous parlait d’une fille qui vivait près de son appartement, une dénommé Christelle a ses dires une vraie bombasse, il est vrai qu’il avait la réputation de nous ramener de jolies filles mais il poussait le bouchon. Mais lorsque nous vîmes arriver la demoiselle nous étions tous sur le cul, les appartements de ce quartier avaient les escaliers a l’extérieur des immeubles, lorsque Mick vit Christelle sortir de chez elle et nous dit de la fermer, de pas faire de gaffe car il ne l’avait pas encore baisé. Cette fille avait des cheveux noirs ,des yeux verts émeraudes ,elle était de bonne taille ,sur des bottes corsaires qui lui montaient aux genoux ,des bas résilles et une mini jupe ras la moule ,un chemisier blanc qui laissait deviner la généreuse poitrine ,magnifique , ferme ,ronde avec la pointe des seins qui marquait une petite grosseur ,Christelle était tout simplement la plus jolie des gonzesses que nous avions eu dans notre groupe, elle arrivât près de nous, nous scrutât d’un regard glacial et dit a Mick vient on se tire il n’y que des loseurs ici , la vache quel culot elle avait cette fille, une bombasse et chienne pardessus le marché , la nana qu’on a envie de baiser pour lui apprendre les bonnes manière ,je lui en foutrais plein son joli petit cul, c’est ce que j’ai pensé sur le coup et d’autre autant que moi.

Quelques semaines plus tard Gwen organisa son anniversaire et me demandât d’être son barman. Le jour venu nous étions tous sur notre trente et un, complet noire pour moi en tant que barman à l’époque de cocktails et rêves, la soirée bas son plein des groupies son autour du bar, je fais le paon bien sûr, je renifle quelque culotte, je laisse courir mes mains baladeuses, enfin soirée chaud, soirée baise assurée. Quand tout à coup Christelle surgit, elle était en sueur, son chemisier lui collait a la peau, elle s’était déhanché sur la piste de danse, une meute de lascars la suivait de près, elle les repoussait mais n’y arrivait plus, je lui proposasse de venir derrière le bar pour se reposer, elle ne se vit pas prier. Elle me regardât avec moins de dédain et me remerciât, fixement «j’ai soif » dit-elle en se mordant les lèvres, je lui sers un verre, « j’ai chaud » ajoute-elle en ventilant son chemisier, je lui propose de passer dans l’arrière cuisine, elle acquiesce de la tête, je lui ouvre avec la clef que je suis seule à avoir (c’est pratique), je ferme derrière moi, Christelle s’assoie sur la table, ouvre son corsage et le laisse tomber sur sa taille, elle me prend la main et la pose entre ses seins : « tu vois je suis tout en nage, tu aimes les fille en nage ? » je lui répond : « je préfère en être la cause » «qui te dit que je ne t’ai pas observé depuis le début de la soirée et que tu m’as existé en jouant le barman ? » alors la scotché, que voulez-vous répondre à ça !il ne faut rien répondre il faut agir, je lui pris les fesses entre les mains, je me rapproche et lui vit sentir ma bite qui avait durcit pendant que nous échangions nos quelque phrases. Nous mélangions nos langues en nous déshabillant, je descendit entre ses cuisses, elle avait la chatte correctement taillée, elle sentait bon la femme, je jouât un instant avec son clito, Christelle s’allongeât sur la table, elle se cambrât, je me redressâtes pris mon sexe dans ma main, je tournât mon gland sur ses lèvres humides, sur son bouton, je passais ma main sur mon membre pour l’enduire de mouille, et la pénétrât en une seule fois tellement j’avais enfin de lui mettre, elle laissât échappé un petit cris de plaisir, je lui mis en donnant des petits coups sec à chaque aller-retour lorsque mon gland butait dans le fond de son vagin, et à chaque fois il y avait un râle, je sentit le plaisir arriver, non pas déjà me suis-je dit, une bombe comme çà il faut en profiter, alors je la retournât pour lui faire une levrette, et là elle me dit prend moi le cul, vas y prend moi bien profond, je n’avais pas encore tenté cette expérience.
Alors j’hésitât un peu, elle me prit la queue et la dirigeât à son anus, d’un doigt elle humidifiât l’orifice et repensât mon pénis devant la grotte, je la pénétrasse doucement, elle me dit vas-y n’ait pas peur déchire moi, défonce moi, prend moi, ou je deviens folle, la mes amis j’étais tomber sur une chaudasse, bombasse, bonasse, et tous les termes en asse que vous avez !mon dieu quel pied, d’un coup elle se retirât me collât sur la table se jetât sur moi, ma bite étais de retour dans son vagin, la imaginer la vision que j’avais : une brune aux yeux vert des seins ronds, ferment, une ventre plat des jambes interminables et tous cela se déhanchait sur moi, Christelle mis ses mains dans ses cheveux, elle respirât plus fort, lâchait des cris, des demi-mots, pour ma part je ne restât pas à ne rien faire je lui pris les hanches montât mon bassin pour la pénétrât plus profond ce qui lui donnât encore plus de plaisir, je la sentait qu’elle était en train de jouir je redoublât d’effort elle jouit en le criant « je jouis, oui, oui, oui, encore, ha, ha »elle continuât sa danse plus calmement, la belle salope glissât et pris ma verge dans sa main et la mit dans sa bouche, elle était énergique, me branlât puis de retour dans la boite a sucettes, montât, descendît jusqu’à ce que lâche la purée. Elle avalât jusqu’à la dernière coute. Au même moment Mick frappât à la porte, une sensation de peur et de honte m’envahit, Christelle me regardât me fit un clin d’œil « je m’en occupe, me dit-elle, j’ai l’habitude ».Mick ne m’a jamais parlé de cette histoire et je n’ai jamais revu Christelle.

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