Le Chat
Je possède un chat ou le contraire. Je ne sais jamais qui commande, moi des fois, surtout quand je lui donne son casse croûte et le caresse ou lui quand il veut courir les minettes sur les toits. Je l'entend faire sa cour bruyamment à une chatte pas loin de moi. Les voisins m'ont déjà dit qu'ils en avaient assez des miaulements du chat.
Pour ne pas avoir d'histoires pour cet animal je vais à sa recherche. Je me prends pour « Jane », la compagne de Tarzan. Je peux monter sur les toits en passant par mon balcon. C'est la première fois que je suis aussi téméraire. me voilà à quatre pattes à la recherche du félin. Je regarde la ville qui, éclairée est bien fichue. La cathédrale montre ses flèches bien droites. Je m'assois même un moment comme si je n'avais que ça à faire. Je trouve mon minet assis déconfit : sa conquête l'a laissé en plan. Une tape sur les fesses, il entre vite.Je jette un coup dil sur un petit appartement par la fenêtre sur le toit: une jeune femme est à cheval sur un homme, ses jambes de chaque coté. Je vois facilement la bite qui la baise : un beau morceau de queue qui doit lui faire du bien. Je reste en spectatrice, ma main va courir sur ma chatte : je me branle comme la dernière des traînée. Ce n'est sans doute pas bien, mais c'est si bon. Je ne vais pas vite pour ne pas jouir rapidement. J'ai raison, le couple change de position. Il me semble que c'est elle qui commande la séance. Elle reste sur lui, se tourne pour lui donner sa chatte à lécher. Je la vois s'installer confortablement quand elle se penche vers la bite qu'elle avait dans la chatte pour la prendre en bouche. Je ne vois pas les visages, à peine le front du mec. Je me doigte maintenant, je sens le plaisir arriver, je me retiens comme je peux. Trop tard, mon orgasme arrive pendant que je pousse un sonore gémissement. J'ai juste le temps de me cacher sinon ils me voyaient.
J'entre finalement facilement chez moi. Je donne une becqué à mon matou qui va se coucher sur son coussin.
Le matin je suis réveillée par la fraîcheur. Ma nudité me donne envie de me donner à n'importe qu'elle homme ou couple. J'ai une idée que je vais mettre en application.
Le lendemain vers 19 heure, je sonne chez le couple qui baisait hier. C'est une charmant jeune femme qui m'ouvre en souriant.
Je voudrais vous demander un grand service.
- Avec plaisir, si je peux.
- Je vous ai vu faire l'amour hier au soir.
Elle rougit vite. :
J'aimerai baiser en trio avec vous et votre mari.
Je ne suis pas mariée,c'est mon ami.
Ma demande reste la même. Je suis seule et mise à part mes mains je ne peux jouir. Alors là, à trois, j'aime bien.
Je n'ai jamais fait l'amour à trois.
J'aurais bien aimé vous baiser.
A ce moment son ami, puisque c'est ainsi qu'elle l'appelle arrive. Elle lui rapporte ma demande. Elle serait d'accord pour sortir de la routine. C'est bien ce que je pensais, en matière de baise c'est elle qui commande. Elle est d'accord, lui aussi. Je suis invitée à entrer.
Là je suis gênée, je ne sais comment faire. Elle se présente comme étant Pat, et lui Pierrot. Je me présente à mon tour : Nadine. Pat me fait asseoir sur un divan, Pierrot me sert un léger alcool, qu'il partage avec moi.
- Ainsi vous voudriez baiser avec nous.
- Oui, j'en meurt d'envie, surtout si Pat accepte mes caresses.
Elle se lève elle vient m'embrasser sur la bouche.
Je suis prête à me donner à qui me voudra. J'ai à la fois envie d'une bite et d'un con, même si ce serait mon premier coup avec une autre fille. J'ai eu la chance de tomber sur une fille sensuelle, qui sans doute a déjà baisé d'autres nanas. Elle revient m'embrasser en caressant mes seins nus. Elle sait toujours bien peloter. Mes tétons s'érigent en bandant un peu. Je voudrais que Pierrot me mette la main au panier, qu'il me branle. Ce n'est pas sa main mais celle de sa compagne qui vient chercher mes secrets dans la chatte.
Elle sait bien me branler, je me laisse faire, même quand Pierrot vient me donner sa queue à branler. C'est encore elle qui lui dit que faire :
- Donne lui ta queue à sucer.
Il le fait : je sens sa queue sur mes lèvres. Elle sent un peu l'urine, comme j'aime. J'ai horreur de ces bites lavées qui ne sont que des bâtons dans la bouche. Ma bouche s'ouvre pour l'avaler, ma langue caresse son gland doucement tellement il est tendre. Je m'attarde sur le méat, comme si je voulait y entrer. Je sens que mes caresses lui font du bien : il se crispe souvent. Je suis bien obligée d'arrêter un court instant ce que je fais quand la langue de Pat sur mon bouton m'envoie au paradis. Je ne pensais jamais jouir autant ainsi avec une autre femme. Elle entre deux doigts dans le vagin d'une telle manière qu'elle me donne encore un orgasme inconnu.
C'est après que j'ai reçu la décharge de sperme dans le bouche qu'elle me demande de la sucer. Pierrot est hors jeu pour le moment, j'aimerais bien qu'il m'encule après, au final. Pour être à l'aise nous nous couchons sur le tapis, elle sur moi. En 69 nous pouvons nous faire du bien à toutes les deux.
Je regarde la sienne de près, presque trop près. C'est bizarre comme un con est joli avec toutes ses sculptures de chair. Je sens son odeur de femme en plein délire sexuel. Son goût me semble particulier, alors qu'il est comme le mien. Ma langue cherche un peu son clitoris. Quand je l'ai, ma langue le lèche à grand coup puis, je l'avale en partie. Pat en sursaute de plaisir certainement, sinon elle me l'aurait dit. Entre nous commence une aventure pour la soirée. Elle semble connaître tout des femmes. Je reçois deux doigts dans l'anus. Elle les enfonce au maximum, les fait ressortir, les entre à nouveau. Que c'est bon. J'essaie avec plus ou moins de bonheur à lui faire la même chose. En jouissant elle crache un peu de cyprine dans ma bouche. Je ne m'y attendais pas du tout. Surprise, je l'avale comme j'ai avalé le sperme de son ami. C'est bon.
Pierrot fini de digérer sa jouissance : il bande encore. Je le veux dans le cul. Pat le sachant me fait retourner, elle prend la queue de Pierrot pour la mener dans mon paradis particulier. Sa langue n'arrête pas ses caresses particulièrement jouissives. Je sens la bite contre mon cul. J'ouvre le plus possible mon rectum : il y entre finalement facilement.
Il y a un bon moment que je ne me suis pas faite enculer. Enfin j'ai le cul plein d'une belle bite qui va et vient dans mon ventre. J'ai tellement de plaisir que j'oublie de sucer la con de Pat. Il va et vient, j'accompagne ses mouvements : c'est merveilleux surtout que Pat n'arrête pas son cunnilingus. Je suis la plus heureuse des femmes. Je jouis en même temps que Pierrot.
Je suis écroulée de mes orgasmes. Pourtant Pat a encore envie de jouir. C'est Pierrot qui s'en charge en la suçant à son tour. Leur 69, plus normal que le mien est très érotique, comme dans un film de cul. Je ne reste pas immobile, il faut que je me branle en les regardant.
Le hasard fait que nous jouissons presque ensemble. Pat décide qu'il faut nous restaurer. Elle nous laisse pour aller à la cuisine. Je l'accompagne, suivie de Pierrot. Notre nudité nous encourage à nous caresser. C'est moi qui ai commencé par branler un peu Pierrot, puis sur sa demande, il met sa main au cul de Pat. Je reste l'oubliée de l'affaire, sauf que quand la « cuisine » est prête, j'ai un bonne main sur ma chatte. J'écarte bien les cuisses pour sentir la main de femme qui me branle avec entrain. Pat me fait asseoir sur la table, sort un concombre du frigo pour me le mettre dans le con. C'est froid, terriblement froid et bon, très bon. Pierrot ne voulant pas être en reste passe sa main sur le cul de Pat, il y entre deux doigts d'après ce que je vois.
Notre dîner composé de sandwichs est vite avalé ainsi que les fruits à moitié grignotés par les bouches et les cons. Nous revenons dans l'appartement pour nous diriger vers la chambre. Le lit est bien plus confortable pour une baise qu'un simple tapis. Pierrot est entre les femmes : nous ne ménageons pas nos caresses, surtout autour de la bite. Il bande pire qu'un âne. J'allais le prendre dans ma bouche quand Pat me devance en le prenant par le gland. Il ne me reste que la tige de la pine. Elle est assez grosse pour que je la mordille. Je caresse ses couilles ainsi que son cul, sans y pénétrer. Je le sens bien jouir, Pat, comme moi boit sa semence.
A nous deux les filles de baiser ans retenue. Nous revenons à un 69 particulier : elle a sorti ses deux godes, m'en donne un et enfonce l'autre dans mon cul. Je lui en fait autant. Nos plaisirs sont communs, notre déchéance totale, plus de limites à nos plaisirs. Je lui propose de lui mettre ma main dans le con en entier. Elle est d'accord, surtout que Pierrot refuse de le lui faire. Elle écarte les jambes en grand. Son compas dépasse les 180°. Elle est très mouillée, ça ne me suffit pas, je vais prendre une bouteille d'huile de table dans la cuisine. J'en verse une bonne partie sur son vagin qui en déborde. Elle ne dit rien pendant que j'entre trois doigts. Elle commence à se crisper quand j'entre l'auriculaire. Je vais et viens dans son con. J'entre facilement le pouce. Le reste est facile quand j'entre le poignet. Maintenant je remue ma main entière dans son vagin. Elle hurle ses orgasmes. Je dois rester ainsi en elle plus d'une demi heure.
J'arrête tout quand elle me semble évanouie. Nous allons avec Pierrot chercher mes affaires pour m'habiller. Il trouve le moyen de me branler un peu, même s'il ne bande pas. En partant, sur le pas de la porte, il me donne un dernier baiser : à demain soir.
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