1 Minute 30 !
Le frère de mon mari ma baisée !
oui ! Baisée
par surprise,
Cétait un viol .. oui, au début
enfin
au tout début
Cétait un viol puisque je ne le voulais pas !
Mais comment peut-on condamner, dénoncer, quelquun qui vous a donné autant de plaisir !
En prison ?!
Bertrand ?!
Deux mois de cela, et je veux quil me touche à nouveau
Je préparais ma maison à la venue du correspondant anglais de mon fils ainé.
Il fallait faire vite,
un peu à la bourre, aspirateur dans toutes les chambres, ranger tout ce qui traine, soccuper du linge, donner un coup de frais à la salle deau, y placer des serviettes et gants de toilette propres,
je ne métais pas ménagée, jétais en sueur et avais décidé de finir pas la salle deau, afin de profiter de la douche une fois le travail terminé
Seulement mon mari a un frère,
plus jeune, Bertrand.
Cest un beau garçon, sur qui jai parfois fantasmé, il faut bien lavouer, un garçon solide et bien fait. Un homme, un athlète, musclé
. de partout ...énergique, et à lallure déterminée.
Pas forcement très chaleureux au premier abord
mais
séduisant, ça oui
le mec qui aimante les regards féminins, qui vous asticote, vous provoque tout aussi facilement quil vous charme, vous apprivoise et vous amadoue
Ce joli cur est mon beau frère... donc on ny touche pas
!
Jaurais dû reconnaître son parfum quand il est entré dans la salle de bain
mais trop occupée à essayer de récurer le receveur de la douche, frottant comme une dingue, en sous tif et culotte.
Le bruit du jet deau que javais laissé coulé pour maider dans ma rude besogne et qui permettait de dissiper les odeurs dammoniac, avait sans doute couvert le son de la sonnette.
Bertrand sétait permis dentrer, il ny avait rien à redire à cela.
Mais il était allé chercher âme qui vive, jusquau fond de la maison, et ce que ses yeux dhomme dans la fleur de lâge avait découvert, en ouvrant la porte de la salle de bain, avait dû foudroyer son hypothalamus
je ne vois que ça !
Moi, à quatre pattes, le corps à demi engagé dans la douche, les seins bringuebalants dans un délicieux soutien gorge bleu et blanc, le reste du corps à porté de mains .
Dans cette ambiance moite, cette humidité qui pénétrait les chairs, cette douce chaleur parfumée mêlées de produits pour le corps autant que de productions corporelles, il na pu résister, bien longtemps,
la chair est faible, et lhomme davantage encore
Certes, je le concède aisément, mes effort ménagers mavaient sans doute rendu humide, moite, à lextérieur comme à lintérieur et je comprenais maintenant avec quelle facilité le membre de Bertrand mavait possédé !
En y repensant je crois bien avoir entendu un ceinturon se défaire, un tissu tomber sur le carrelage
peut être même avoir flairé une odeur agréable qui ne métait pas inconnue
puis ce fut lattaque ...dune rapidité saisissante
jai eu peur, jai crié, sursauté, envisagé un instant, quune bonne blague métait faite
tout cela presquen même temps.
Je lai reconnu,
dans les reflets bruineux des carreaux blancs de la douche.
« -Ah cest toi ?!!! Excuse moi
mais quest ce que tu f
»
Déjà mes hanches ne mappartenaient plus, ses deux mains mont ouvert les fesses
et Bertrand ma pénétrée,
je nai eu le temps
pas eu le temps de combattre, de lui interdire mon intimité !
Son sexe était prêt, je ne lai quentrçu, raide, impérieux, avant quil sengouffre en moi
et le plaisir fut aussi violent quinstantané ! Coincée entre la porte coulissante et la paroi de la douche, je nai pu
ou nai voulu me débattre, et dans mon dos, Bertrand sest animé, son sexe est devenu fou
1 minute 30 de furie, de grognements, de gloussements,
du bruit des corps qui sentrechoquent, fessier contre pubis, de petits cris stridents que je naurais jamais imaginé pouvoir sortir de la bouche dun homme !
Et cette bite .. oooh oui cette belle bite qui me sonde , qui mexplore et qui frappe au fond de mon vagin
Très vite le plaisir est venu, mon vagin sest inondé, le frère de mon mari était en moi et javais décidé de profiter de ce mâle surexcité, pleinement, de ce Bertrand qui bien souvent me faisait face lors des repas de famille, mais dont les liens de parenté minterdisaient le moindre batifolage, le plus petit espoir, je me satisfaisait frustrée, de ses sourires câlins.
Désormais il modelait mon vagin de sa queue vigoureuse et épaisse et chacun de ses va-et-vient appuyés me faisait chavirer, Il faisait chanter mon antre, désormais gorgée de ce nectar que les femmes abandonnent au creux de leur ventre chaque fois que lamour est bon et que le plaisir est au rendez vous. Un chant entêtant, comme un clapotis, un gargouillis qui se faisait entendre à chaque coup de rein que Bertrand moffrait. Je ne métais jusqualors, jamais entendu crier pendant lacte damour, jamais un homme navait réussi cet exploit mais Bertrand avait le sexe généreux
jai grincé, couiné, crissé, puis rallé, gueulé hurlé terrassée par le plaisir à en perdre la raison, aux ordres de son sexe !
Bien avant Bertrand,
le plaisir ma foudroyé
jai joui !
tenté de dompter les contractions de mon sexe, irradié par lorgasme, comme pour tempérer le frisson, la passion, la faute, et le sentiment dadultère qui nait au moment même où la jouissance est la plus forte, où votre corps vous force à ouvrir toutes les vannes du plaisir. Oui ! oh que oui, à ce moment précis, jai compris que joffrais à vie le statu de cocu, à lhomme qui partageait ma vie,
un sentiment de douce culpabilité semparait de moi, en même temps que le bonheur me rassasiait ! Comment pouvait-on baiser si bien ?!
Bertrand sest arrêté un instant, surpris par les convulsions de mon vagin puis sest très vite remis à louvrage
encore quelques secondes, agrippant mes hanches les yeux rivés sur mon minou trempé, mon anus dilaté, victime collatérale de lorgasme qui sest invité dans mes entrailles, il sabandonne
dans ma chair,
Bertrand !
Il me secoua, encore,
de longues secondes
sans ménagement
jusquà ce que le bonheur le prenne enfin, lui aussi
Le silence se fait
les corps se calment
il est encore en moi
de quelle façon réagir,
se mutiner,
hurler
attendre
Je risque quelque chose
« -Bertrand ?
tu mas violée ! »
« -Non !
oui, je sais !
tu es trop bonne
je tai vu
je nai pas pu
jai eu envie de toi
je te désire
depuis des années
depuis tellement longtemps
trop de charme, trop de
tu es canon,
je
je taime
»
Je sens son sexe qui se détend, puis se laisse expulser de ma chambre damour
je garde au chaud la preuve de son forfait, je me sens comblée, flattée, émue, jai les jambes en compote, même si je le voulais, je ne pourrais fuir
Il attend
la sentence
les reproches
le drame
« - Bertrand
.
« - Je suis fou de toi »
« - Je lai bien senti !... rhabille toi, vite
»
« - A dimanche !
la bise à mon frère
prends soin de lui
»
« - oui
»
« je viendrai te voir
souvent
»
« - Bertrand ! chut !... sauve-toi maintenant ! »
Une clef sactive dans la serrure de la porte dentrée
Jai le trac ! Ma vie
chamboulée,
en 1 minute 30 !
Scorpion.
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