Le Cul De Carole

Au 5° gauche. Oui, ils avaient oublier de dire qu'il n'y avait pas d’ascenseur. Carole n'était pas très fière d'avoir de telles connaissances. Outre que ses copains étaient assez froids, nous nous demandions pourquoi nous étions venu. Nous avions juste un tout petit moyen de sauver notre soirée ; je la lutinais en peu en dehors de cette réunion morose. Carole aime bien quand je commence à la désirer ainsi.
Carole la première prend congé du peu de personne. L'escalier est vite descendu, juste entrecoupé de deux arrêts baisers obligatoire. Je la sais excitée, pas à ce point quand même. Sa voiture est là, tout près. En s'asseyant elle arrange un peu sa jupe en la montant au dessus des genoux : un appel au crime qui ne tarde pas. Dès qu'elle pose sa main sur le levier de vitesse, la mienne est sur la sienne. Il faut croire que ça presse : elle prend ma main pour la placer sur son genoux. L'invitation est pressante, pas faite en plus pour me déplaire.
Son désir est évident, comme le mien qui prend forme dans le fond du pantalon.Je ne cherche plus à comprendre LA femme, surtout elle. Des fois quand j'en ai envie, elle se dérobe, parfois, comme aujourd'hui elle se donne, elle exige.
Ma main reste immobile pendant qu'elle conduit. C'est quand elle arrêt à un feu rouge que je remonte lentement sur les jambes. Carole écarte à peine ses cuisses pour me permettre de caresser sa chair tendre entre elles. Un bref coup de klaxon nous fait démarrer. J'allais arrêter mes caresses quand elle pose encore la sienne sur la mienne. Je n'ose pas trop continuer. Il faut croire que j'ai tort : Carole pose directement sa main sur ma queue. Elle sait parfaitement ce qu'elle veut. Elle ne peut pas conduire et sortir ma bite. Heureusement en pleine ville !! Rien ne m'empêche moi, de continuer à la lutiner.
J'arrive sur son slip mouillé. En passant sur l'entrecuisse, je trouve quelques poils abandonnés. Assis de coté sur le siège j'étends seulement le bras : je suis à l'aise pour la faire aller où elle veut.


Nous arrivons chez elle. Au dernier étage, là avec ascenseur, nous n'avons plus rien à faire de nous laisser aller à nos bas instincts, surtout aux siens. Carole me traîne plutôt qu'elle m'invite dans la chambre où nous avons connu de chauds moments.
Je suis excité au moins autant qu'elle. J'aurais du la pousser sur le lit, la prendre violemment. C'est elle qui me pousse. Étalé de tout mon long je ne peux rien faire quand elle est sur moi, qu'elle m'embrasse ou me mordille je ne sais plus. Sa main cherche maintenant à délivrer la queue. Elle y arrive fort bien, avec l'expérience qu'elle a. Elle débusque le gland en dégageant le prépuce.
Mon seul soucis immédiat est de me demander ce qu'elle va faire : me faire une fellation comme elle a pris le goût depuis peu ou me branler ? J'essaie comme je peu de retourner sous sa jupe descendue quelque peu. Je renonce vite quand sa bouche mange adroitement la bite. Abandonné je me laisse faire : c'est si bon. Je peux quand même regarder comment elle fait.
Ses lèvres entoure toute ma queue, monte et descendent, sa langue participant. Carole relâche sa morsure pour prendre à la main la base de la bite près du pubis. Les plaisirs sont variés depuis qu'elle a pris goût à mon machin. Si elle veut me faire jouir dans sa bouche, je n'ai rien contre. J'en serais quitte pour un cunnilingus de plus. Elle le sait bien puisqu'en fin elle me donna sa bouche pour un baiser profond. Je sens sur sa langue le goût de ma pine : j'aime assez.
Je peux enfin la retourner, me mettre sur elle en homme maître de nos jouissances. Maître est un bien grand mot. Je suis ses désirs ce soir. Un d'abord, la baiser, l'autre je le sais, la sodomiser : encore une de ses dernières découvertes. J'arrive enfin a trouver son sexe : elle est drôlement mouillée ce soir. Je glisse presque sur sa fente. Tant mieux pour elle : de son clitoris je passe vite sur le vagin où j'entre trop vite à mon gré. Je ne sais ce qu'elle marmonne. Ce doit lui plaire.

J'arrive comme je peux à la déshabiller. Elle me plaît de plus en plus. J'ai envie d'elle, de jouir de son ventre ou sa bouche, je la veux. Elle aussi me veut quand elle trouve encore la queue qu'elle branle carrément cette fois.Je la savais bonne branleuse, pas comme ce soir. Elle pourrait me faire jouir dix fois en un rien de temps.
Pour mieux la posséder, je suis vite nu. Elle arrive à tendre un piège pour me faire tomber sous elle. J'aurais pu me faire prendre par un de ses trous.
Elle est sur moi,son corps entièrement contre moi. Je sens ses seins sur ma poitrine, son ventre contre le mien, ma bite contre son ventre. Et encore sa main qui me tient par la queue. Je gagne cette bataille. Je la maîtrise en la retournant, en tenant ses mains au dessus d'elle, collées contre le drap. Carole garde le dernier mot quand ses jambes viennent entourer mes reins. Ma bite est entres ses jambes, ses mains me reprennent pour me conduire comme si je ne savais pas le faire.
Sa chatte avale littéralement mon vit. Le prépuce revenu à sa place écarte le gland et laisse la place à ses chairs. Nous sommes réunis dans le même plaisir, la même recherche d'un orgasme partagé. Je force pour ne pas partir avant elle. Je gagne quand je sens ses spasmes autour de la queue. Carole se dégage pour jouir seule comme souvent. Elle fait bien, je la veux encore. Elle aussi quand d'elle même en levrette elle me présente ses fesses qu'elle ouvre à deux mains. Elle a oublié son « encules moi ».
Le geste de se mouiller le petit trou avec sa cyprine indique seul son désir ou besoin. Je connais d'avance le chemin de sa main droite : direction le clitoris pour accompagner son autre plaisir. Je suis à genoux juste derrière elle, le haut de mes cuisses contre les siennes. Je pose à peine le gland juste sur l'anus pour le tenir à deux mains sur sa taille. J'entre doucement dans ma seconde maison de son corps. Si elle pousse un petit cri quand j'entre, j'entends ses soupirs de soulagements quand j'entreprends les manœuvres de va-et-vient.

Ma queue est victime des spasmes de son anus. Je gicle à pleins flots dans sa caverne. Je ne sais combien de fois elle jouit. Nous ne comptons pas ce genre d'exploits.

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