Deux Amis Véritables

Nous avions déménagé quelques meubles avec mon ami d'enfance Thierry et aussi avec son copain Pascal qui nous avait aidé .
nous étions ensuite aller déjeuner chez ses parents. J’entendis Pascal demander à Thierry : tu couches avec elle ? et Thierry lui répondre que non. Alors tu es un idiot répliqua Pascal.
Nous nous quittâmes et je rentrais chez mes parents.
Quelques temps après je revis Thierry il avait repris l'habitude comme lorsque nous étions s de me tenir par le bras et nos manières était redevenues câlines et tendres comme elles avaient toujours été. Il était toujours "le petit Thierry " celui avec qui je jouais petite près de la rivière.

Un jour Pascal était venu voir Thierry chez lui et nous prenions un verre sur le canapé. Après le deuxième verre Pascal mit sa main sur ma cuisse j'étais un peu grise et je me mis à rire un peu bêtement , gênée. Il pris la main de Thierry et nous entraîna vers la chambre.
Nous nous allongeâmes sur le lit. Je ne savais pas quoi faire, résister m’aurait fait paraître coincée et une envie animale me dominait. Pascal était très costaud , pas très beau. Il se mit à me déshabiller la sensation n’était pas désagréable je me laissais faire en embrassant Thierry. Les deux garçons se mirent à m’enlacer et à me caresser. La peau de mon ami avait une sensation d enfance et de connu je me sentais bien. Thierry était visiblement mal à l aise de se trouver avec Pascal .
En les regardant quitter leurs derniers vêtements je constatais que le corps de Thierry était sec et musclé. Pascal lui était plus lourd et empâté et il avait visiblement très envie de passer à des choses plus sérieuses . Pascal se mit à me caresser les seins avec insistance ses mains quoique énormes étaient très douces, il descendit vers mon sexe il me caressa longuement doucement en homme d'expérience tout en suçant doucement mes mamelons, Thierry m’embrassait tendrement sur la bouche pendant ce temps.

Mon corps était entièrement dominé par le plaisir, je m abandonnais à leurs caresses flottant dans la volupté .J’étais parfaitement bien et la gène que j avais d'être dans les bras des deux garçons rajoutait un peu de piquant encore à la chose. Tu es trempée et toute chaude , me dit Pascal en enfonçant doucement ses doigts dans mon intimité J’avais vu le sexe de Pascal et je n étais pas très rassurée il était énorme . Quand je pense Thierry que tu ne l'as jamais troussée J étais en internat pendant mes études lui répondit mon ami nous ne nous voyons plus depuis l’âge de treize ans
Pascal le regarda ...il y a du temps à rattr. Si c était ma copine je n arrêterais pas ...et comme pour signifier que lui même n avait pas de temps à perdre il s allongea sur moi et essaya de rentrer son gigantesque engin dans mon sexe, il y parvint mais je me sentis écartelée, de son coté cela l’excita et se mit à jouir très vite en déversant en moi des flots de sperme.
A toi dit-il à Thierry elle est toute chaude. Je reçus presque immédiatement le sexe de mon ami dans mon ventre, la douleur que me provoquait le monstrueux pieu avait cessé et j’étais trempée du sperme de Pascal je me mis à avoir du plaisir très vite , les bras de Thierry m étaient familiers j’aimais son odeur, je sentis très vite la jouissance monter et soudain Pascal insinua une main entre nous et se mit à caresser avec délicatesse d abord puis plus fermement mon clitoris. Je me mis à gémir doucement puis de plus en plus fort Tourne là vers moi, comme un automate Thierry se glissa derrière moi et me prit levrette s’agrippant à mes hanches et ahanant avec des mouvements de plus en plus brusques. Mon corps était face Pascal qui me caressait le sexe. je me mis à gémir de plus en plus fort "tu jouis coquine, tu l aimes la sienne ma belle femelle " je lui fis signe que oui , je sentais le sexe de Thierry se raidir un peu plus à chaque mouvement en moi je compris qu’il n allait pas tarder à jouir. Cela augmenta encore mon plaisir et je fus secouer de tremblements par vagues successives quand je repris un peu d’emprise sur la réalité Thierry avait posé sa tête sur mon épaule et Pascal avait passé un bras autour de moi.
Pascal se leva et se rhabilla, jouissez bien tous les deux. Il m embrassa et dit simplement « salut Thierry » je me levais avec Thierry et passait une robe pour le raccompagner jusqu’à la porte consciente que du sperme me coulait le long des cuisses.