Un Élève Indocile
Cétait un après midi javais pris froid et jétais restée chez moi. Un de mes élèves
devait me rapporter une revue dhistoire que je lui avais prêtée, je doutais quil
lavait lue car il avait beaucoup de mal à lire et parlait un sabir incompréhensible
qui sapparentait de très loin au français Javais accepté la requête de Salma de
laider dans du bénévolat. Je ne suis pas prof de français lui avais-je opposé je
fais des fautes. Tu ne fais quapprendre à lire
à des gens dont de toutes façons
personne ne soccupera, tu crois que les bénévoles se bousculent pour venir
alphabétiser les étrangers. Bref j avais fini par accepter.
Il me téléphona très tôt il était en bas de chez moi, je descendis et récupérais la
revue, jaurais besoin que tu mécrives une lettre me demanda-t-il, il parlait avec un
accent à couper au couteau. Jhésitais je n avais pas pris de manteau et il faisait
très froid impossible daller à un café quelque rues plus loin . « Bon monte quelques
instants ». Je lui fis du thé. Il regardait mon appartement. Cet endroit te ressemble.
Je commençais à rédiger sur ses indications, je lui remis le courrier. Il but son thé
et je vis tout de suite quil n avait aucune envie de partir. Je me levais pour le
raccompagner à la porte il me prit alors dans ses bras et commença à membrasser. « Ce
n est pas bien » lui dis-je, mais ses baisers avaient mis le feu à mes sens. Il me
repoussa doucement vers la chambre en passant ses mains sur mes fesses et mes seins.
Il me regarda avec attention «je ne peux plus attendre cela fait longtemps que jen
ai envie » il me bascula sur le lit se mit à me caresser le sexe et se déboutonna et
baissa ma culotte, je me sentis aussitôt empalée par un sexe dune belle grosseur.
Tout cétait passé très vite je navais pas eu le temps de réfléchir que déjà je
sentais ses mouvements puissants dans mon sexe qui allaient crescendo.
abandonna la partie et je me laissais aller à la volupté ressentant une onde qui
irradiait depuis mon ventre et me submergeait de plaisir et je gémissais sous ses
coups de boutoirs de plus en plus violents . La sensation était à la fois très
agréable et à la limite de la douleur. La jouissance montait très violemment par
vagues successive et je le suppliais de continuer « retiens-toi, encore un peu » . Un
démon était tapis dans mon sexe et avait fait de moi son esclave je nétais plus
quune sensation de plaisir, le reste de mon corps navait plus de vie propre. Il eut
un petit feulement et s abattit sur moi je fermais les yeux je me laissais aller
complètement satisfaite et comblée. Quelques minutes plus tard il me tira sur le bord
du lit et sagenouilla devant moi je le regardais stupéfaite il était à nouveau en
érection et écartait mes cuisses, mon sexe ruisselant de sperme ne pouvait plus
sopposer à aucune pénétration je me retrouvais ainsi les deux jambes écartées
maintenues par ses bras, totalement offerte le sexe grand ouvert et dilaté par le
membre vigoureux de mon jeune amant. Jétais excitée par le spectacle impudique et
animal de nous deux corps qui se rejoignaient en un seul endroit. Une petite voix en
moi , ce qui doit sappeler la mauvaise conscience, murmurait « tu te fais culbuter
par le premier venu et tu ouvres les cuisses quand on te le demande » une autre
répondait « après tout je ne lui fais que du bien » Le plaisir me submergea à nouveau
très vite les frictions de nos sexes devinrent de plus en plus rapides et de plus en
plus fortes presque violentes, jétais à la limite de la douleur quand mon beau mâle
sarrêta brusquement, la douleur reflua , mais le plaisir aussi. Gifle moi, je le
regardais sans comprendre, gifle moi te dis-je, « je ne peux pas te faire de mal » il
réitéra et insista « cela ne fait pas de mal au contraire il pencha son visage je le
giflais plusieurs fois je sentis mon sexe serrer le sien très fortement il eut comme
une sorte de soubresaut qui lélectrisa et poussa un long gémissement.
quelques instant enlacés pantelants, comme sur une île savourant un instant de repos
complet et de bien être sans sollicitation de nos sens. Il se rhabilla, je mhabillais
aussi ,un peu honteuse davoir aussi facilement cédé à mon plaisir portant les
stigmates de ma faiblesse entre mes cuisses. Mon sexe était brûlant, gonflé et je me
sentais épuisée. Mon démon familier ou mon ange gardien me murmurant intérieurement
que je m étais conduite comme une salope, tu ne vaux pas mieux quune putain me dis-je
, ma vulve et mon vagin sestimant pour leur part satisfaits.
Je raccompagnais le jeune homme jusquà ma porte il se pencha vers moi me regardant de
ses jolis yeux noirs membrassa et me dis avec un très léger accent dans un français
pratiquement parfait « nous reprendrons la leçon une autre fois, nest-ce pas ? » en
insinuant sa main sous ma robe et deux doigts fermes jusque dans mon vagin.
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