Joug Féodal 1Ère Partie

Un jeune maître traversait à cheval la foret qui avoisine son domaine.
Soudainement, une jolie brune apparut au détour du chemin,
Elle s'appelle Blanche et habite une grande ferme située à l'orée de la forêt.
Il s'arrête à son niveau et l'observe avec attention.

Il la trouve très belle et un violent désir le submerge.

"Que tu fais seule dans cette forêt"

Elle le regarda et ne se rappela pas l'avoir déjà vu, elle prit peur.

Elle regretta soudainement l'idée farfelue d'aller prendre l'air seule comme elle le
faisait
quand elle était petite fille, et qu'elle ne risquait encore rien des hommes.

"Tu es bien belle et tu me plais, je cherche une fille comme toi depuis longtemps,
si tu accepte de venir avec moi et je te prends pour femme"
Il rit comme si sa demande n'est pas sérieuse,
Ce pourrait être une boutade.

"Je ne te connais pas et je ne t'ai jamais vu"

"Il me faut une femme, et je n'ai pas de fille aussi belle que toi chez moi; J'ai un
mas à moi, et mes cultures sont prospères, tu seras heureuse d'être ma femme"

« Peux être, d'abord je suis mariée, mon mari est le sénéchal de la ville.
Il va t'en cuire de chercher à séduire sa femme »

Mais elle ne peut s'empêcher de penser en elle même « Pourquoi je le suivrais,
je ne le connais pas. Je ne sais pas comment il me traiterai »

Il ne sait pas si elle se prend au jeu, ou si elle est sérieuse, car elle le regarde
avec de grands yeux écarquillés, comme si elle n'avait jamais vu un homme.

"Je serais bon avec toi"

Il ne rit plus, le regard de la fille le fixe et le défie.
Il voudrait vraiment une femme comme ça.
Comment faire pour l'apprivoiser!

Il voulu toucher sa tête, mais la fille s'esquiva. Puis elle parti brusquement en
courant vers les arbres.

Il sauta de son cheval, il couru et la rattrapa, il la plaqua par terre.
Elle est maintenant à sa merci.

Il prend son temps et il commence à repousser doucement ses cheveux de son visage.

Sa peau douce l'émerveille.

Il touche son corps, il s'attarde sur ses seins, puis son ventre, et enfin
il passe sa main sur sa jupe au niveau du bas ventre.
Il senti les deux lèvres pulpeuses de son sexe.

Il se mit à bander comme un âne.
Il a une furieuse envie d'elle.

La seule femme qu'il a connue est une servante du mas. C'est une femme d'environ 35
ans.
Elle a au moins 10 ans de plus que lui.
Elle est seule, et n'a pas a eu l'occasion de trouver mari.
Le village est petit et il n'y pas eu d'opportunité pour elle.
Puis le temps a passé au service de ses maîtres.

Cette femme est devenue son exutoire.
Et ce régulièrement depuis ses 12 ans.
La première fois, il l'a surprise nue en train de se laver dans un bac.

Il était alors entré dans la pièce, le cœur battant.
Il l'avait touchée, elle s'était laissé faire en riant.
Puis il l'a prise.
Et ce comme un jeune homme sans expérience prend une femme.
Il l'a pénétrée sans vergogne. Il n'avait vu que son plaisir,
Le plaisir de sentir sa verge dans un fourreau juste fait pour lui.
Ce fourreau lui semblait être fait de beurre tendre.
Elle était à lui, complètement à lui.

Et elle d'abord troublée par ce jeune maître qui la voit faire ses ablutions,
puis hésitante, ne sachant pas comment réagir quand un homme viole son intimité,
surtout si cet homme est le jeune maître, elle décida de baisser la tête.
Son éducation lui a dicté la passivité en présence d'un maître.
Elle s'est laissé faire.

Elle a une longue chevelure, sa poitrine est maigre,
Elle a des hanches larges qui abritent une touffe fournie.

Elle n'est pas vraiment belle, mais c'est une femme,
Une femme accessible pour le sexe de ce jeune homme.

La fille s'est immédiatement plainte de son aventure auprès des autres bonnes.
Et le dépucelage du jeune maître est vite monté aux oreilles de ses parents.
Ils ont pris la nouvelle avec fierté: le jeune homme semble répondre à toutes les
attentes que l'on a envers lui pour la continuité de la lignée.
" La dynastie semble pouvoir perdurer "
Mais ils ne voudraient pas que ces saillies deviennent une mauvaise habitude,et qu'il
oublie de convoler en juste noce avec une fille de propriétaire terrien.
Il ne faudrait pas qu'il devienne un vieux garçon se contentant de plaisir facile.
Mais quelques années ont passées et le jeune maître n'a toujours pas trouvé chaussure
à son pied.
Ou plutôt il n'a pas trouvé de jeune fille riche qui puisse satisfaire le goût de
pouvoir de ses parents.

Blanche se mit à sangloter, il continua caresser ses cheveux, il était très ennuyé,
il ne savait pas comment faire pour communiquer avec elle et l'intéresser.

C'est une jeune femme mariée de force avec un riche artisan qui a 20 ans de plus
qu'elle.
Cet homme a les faveurs de sa seigneurie locale, il a des passe-droits,
et il eu en particulier le droit de choisir pour femme cette belle jeune fille.
Il faut dire qu'il a rendu de grand services à son seigneur en exécutant des basses
besognes
et en lui obéissant à la lettre.

C'était certainement une promotion sociale pour cette jeune fille de paysan,
mais sa vie est morne, son mari est avare, vieux et sans intérêt.

Elle s'ennuie et la nuit elle doit supporter ses assauts.
Il est vicieux,
Il monte sur elle, s'accroche à ses seins avec ses doigts crochus et se met en
mouvement.

C'est interminable, il s'essouffle et met un temps infini à venir en elle,
et il lui fait de plus en plus mal, elle est complètement sèche quand il la pénètre,

Ses seins son parfois marqués par l'empreinte de ses doigts.

Pourtant au début elle s'est vue toute humide et émue de recevoir pour la première
fois
de sa vie un sexe d'homme en elle, et cette forte émotion l'avait impressionnée,
mais c'est du passé, elle est devenue sèche et frigide.

Elle était prisonnière de ce couple.

Ce fameux jour, son mari était parti pour la journée,
et elle avait voulu retrouver la joie de marcher dans la nature,
comme elle faisait avec sa sœur.

Elle était partie traverser cette foret qu'elle n'avait pas revue depuis si longtemps.
Elle ne s'attendait pas à rencontrer un vagabond et encore moins être sa victime,
Elle a immédiatement regretté sa vie emprisonnée sous le joug de cet homme acariâtre,
qui est son mari.
Elle voulait vite retrouver sa coquette maison, ses bonnes,
et l'homme qui ne lui paraissait plus si sombre,

La terreur s'est mise à l'envahir,
elle pris conscience qu'il va peut être la répudier si elle s'est faite violer par un
vagabond,
Il ne voudra plus d'elle si elle n'a pas été assez sérieuse et prudente en restant
enfermée chez elle attendant son retour.

Il en profitera par la remplacer par sa sœur de 14 ans.
C'était évident.
Elle avait déjà remarqué, qu'il regardait ses jeunes seins commencer à pointer a
travers sa robe,
Il ne se cachait même pas pour le faire.
On aurait cru un animal qui va fondre sur sa proie.

Ce serait une occasion de la remplacer par de la chair fraîche.
Elle sentait bien qu'elle ne l'attirait plus comme avant.
Une fois il l'avait ramoné pendant si longtemps sans jouir, qu'il avait fini par
s'énerver,
Il avait retiré son sexe devenu tout mou,
il lui avait infligé une série de gifle et sa petit queue avait fini par se retendre.

Il s'était masturbé sur elle tout en continuant à la gifler,
Puis il avait fini par éjaculer quelques gouttes de sperme,
Elle ne s'était jamais rendu compte qu'il ne produisait pas beaucoup de sperme,
C'était peut être pour ça qu'elle n'était toujours pas enceinte.
Cette nuit avait été un cauchemar mais aussi une révélation pour elle sur la
médiocrité de son mari.

Sa famille va aussi la rejeter, elle va se retrouver abandonnée,
sur la route, et va finir par mourir de faim dans un fossé, seule et rejetée par tout
le monde.

Puis l'espoir revint, elle avait peut être une petit chance,
il veut évidemment la violer, et une fois satisfait, il la laissera peut être en vie
et en bon état, surtout si elle ne résiste pas.
Il ne la frappera peut-être pas et il n'y aura pas de marques visibles.
Elle ne dira rien alors et son agression passera peut être inaperçue et elle pourra
reprendre sa vie.
Elle tentant alors de se mettre sur le dos et écarta ses jambes pour en finir.
Mais l'homme ne la lâchait pas; il renforçait même son étreinte, et ne semblait pas
remarquer
son changement d'attitude. Elle perdit tout espoir et se remis à sangloter de plus
belle.

Il prit la décision de ne pas la toucher maintenant, elle est à lui de toute façon.

Il se releva en la tenant par les cheveux, et il la ramena au niveau de son cheval.

Il lui attacha les mains et la fis monter sur sa monture.

Il prit la bride et l'attelage se mit en branle en direction de son mas.
Elle était terrorisée.
Est-ce qu'elle va être emmenée loin et personne ne saura la retrouver?
Est ce qu'elle sera libérée un jour et est ce qu'elle pourra retourner chez elle?
Elle scruta l'horizon en espérant que quelqu'un la vit et puisse la sauver.
Son enlèvement pourrait être signalé et elle aurait un espoir d'être sauvée.
Mais le temps est maussade, il n'y a personne sur la route.
Elle pris conscience que sa vie allait changer
et que probablement elle était perdue à tout jamais.

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