La Croisière S'Amuse

Nous venions d'acquérir notre premier bateau, mon épouse et moi, et notre insuffisance
d'expérience nous a incités à nous faire accompagner, au début, par des gens plus
expérimentés.

Mais comment les trouver?

Nous avons eu l'idée de chercher dans les petites annonces du nautisme, une personne
qualifiée pour nous accompagner pendant une quinzaine de jours en Méditerranée. Notre
choix s'était d'abord porté sur un couple qui avait beaucoup d'expérience et qui
semblait correspondre à notre demande. Mais malheureusement, les dates ne convenaient
pas.

Ce couple nous proposa alors un de leurs amis, disponible car jeune retraité et dont
le talent de marin ne pouvait être mis en doute.

Nous prîmes rendez vous à bord de notre bateau, qu'il jugea très agréable. Le courant
étant bien passé, la date de départ fut fixée à une semaine plus tard, le temps de
quelques préparatifs.

Cyrille, puisque tel est son nom, arriva le matin assez tôt avec son sac et nous avons
levé l'ancre rapidement. La destination prévue était l'Île de Porquerolles et ses deux
voisines, Port Cros et le Levant .

Tout se passa très bien d'autant que le temps était superbe et que seule une petite
brise nous accompagnait.

Rapidement, une ambiance festive et amicale s'installa à bord et, ayant l'habitude de
la vie à bord, chacun prit ses marques et ses aises.

Ma femme s'était faite opérer des seins quelques mois avant et était très fière de sa
nouvelle poitrine. Aussi, c'est sans complexe que le deuxième jour, elle s'installa à
l'avant du bateau en string et seins nus pour la bronzette.

Je tenais la barre et Cyrille alla lui tenir compagnie à l'avant. Je les voyais
bavarder mais je ne pouvais entendre ce qu'ils se disaient, le bruit des voiles et du
vent ne nous permettant pas de communiquer.

Je vis simplement Cyrille prendre un tube de crème solaire qu'il passa que les épaules
de mon épouse, puis sur son dos. Je reconnais que voir cet homme près de mon épouse
presque nue m'excitait assez.

Au bout de quelques instants, visiblement sans aucun complexe, je vis qu'il s'était
mis à lui passer la crème solaire sur les seins et que visiblement il n'évitait aucun
endroit. Et mon épouse semblait apprécier.

Ils échangèrent quelques mots et là, je constatai, stupéfait que ma femme était en
train d'enlever son string. Elle s'allongea sur le dos et Cyrille lui badigeonna les
fesses avec beaucoup d'attention, puis le dos, puis les fesses. Ils semblaient
échanger différents avis…mais sur quoi ??

Mon épouse s'est alors retournée sur le dos et Cyrille a continué son badigeon à la
crème solaire. Mais cette fois, il lui passait de la crème sur le ventre comme si de
rien n'était et sa main ne tarda pas à glisser vers son bas ventre. Il me lança un
regard discret mais compte tenu de mon absence de réaction, il a dû penser que je ne
voyais pas d'inconvénient majeur à cette opération et continua à huiler le ventre et
le bas ventre de mon épouse, sans toutefois dépasser les limites de la toison.
Puis, sans doute encouragée par mon épouse, je le vis descendre un peu plus bas, et je
faillis perdre le contrôle du bateau lorsque je me rendis compte que ses doigts
glissaient sans aucune hésitation dans ce qu'elle avait de plus secret, son sexe.

Totalement ahuri, je me rendis compte que le soi disant massage à la crème solaire
était tout simplement en train de se transformer en masturbation.

Ma femme avait ouvert les jambes et le laissait faire.

J'était terriblement excité car cette scène me rappelait une autre semblable où je
l'avais emmenée chez un masseur coquin.

Les minutes qui ont suivi m'ont complètement bouleversé.

J'ai vu Cyril enlever son maillot et présenter une érection que je qualifierai de
diabolique.

Puis, sans aucune hésitation, comme si ma présence était irréelle, il s'allongea sur
mon épouse et la pénétra sans aucun préliminaire.

Mon épouse replia les jambes, les enroula autour de la taille de Cyrille et se laissa
faire. Rapidement, elle se mit à crier tellement fort que le bruit du vent ne couvrait
plus ses cris. Elle haletait, était cramponnée à ses épaules et prenait un plaisir
terrible.

Je savais que ma femme adorait se faire prendre devant moi par un autre homme mais en
principe, tout était préparé d'avance et le scénario fabriqué ensemble.

C'était la première fois qu'elle prenait seule l'initiative.

Elle a joui violemment. Cyrille s'est retiré, visiblement sans avoir joui. Ils se sont
levés, sont venus me rejoindre à l'arrière du bateau, puis ma femme m'a dit qu'elle
n'avait pu résister et Cyrille semblait être désolé. Je les ai alors encouragés à
descendre dans la cabine pour continuer ce qu'ils avaient si bien commencé.

Ils ne se sont pas fait prier et quelques minutes plus tard, les cris sauvages de mon
épouse en train de prendre son pied arrivèrent jusqu'à moi.

Cela a duré un bon moment. Puis ils sont remontés, complètement nus et se sont
installés près de moi. Mon épouse m'a demandé si je ne lui en voulais pas. J'ai
répondu que non même si je me sentais un peu exclu.

Le soir, nous avons fait une escale dans une petite crique sympathique où deux bateaux
étaient déjà amarrés.

Un petit diner léger dans le cockpit à l'extérieur, puis nous sommes descendus dans le
carré. Là, ma femme m'a dit qu'elle en avait encore envie mais que cette fois-ci,
elle nous voulait à tous les deux.

Nous lui avons fait l'amour longtemps. Elle a beaucoup joui. Puis le sommeil nous a
gagnés à tous les trois. Et nous avons regagné nos cabines respectives, Cyrille dans
la sienne, nous dans la nôtre. Au matin, lorsque je me suis réveillé, ma femme n'était
plus là. J'ai entendu des cris, je me suis levé très vite, en me demandant ce qu'il y
avait. Dans sa cabine, Cyrille l'avait mise à genoux et était en train de la
sodomiser. J'ai eu un pincement au cœur, car en vingt ans de mariage, je n'y étais
jamais arrivé. Et visiblement, elle aimait ça.

Puis elle a crié très fort : "Viens, viens maintenant". El J'ai vu Cyrille jouir
violemment. Il lui remplissait l'anus de sperme et elle criait: "C'est trop bon".

J'ai fait alors quelque chose de pas très honnête, mais la tentation était trop forte.
Je les ai pris en photo. Plusieurs clichés.

Ils se sont arrêtés quelques instants et ma femme s'est levée pour aller se laver.
Cyrille ne savait quoi dire. Je lui ai alors expliqué que je n'étais pas jaloux et que
seule la sodomie m'avait un peu attristé, car je n'avais jamais pu. J'ai promis à
Cyrille que son visage serait masqué sur les photos et j'ai tenu promesse.

Toute notre croisière s'est passée à faire l'amour à trois puis, de temps en temps,
ils le faisaient seuls. Ma femme a toujours été facile à faire jouir, mais là, je dois
dire qu'elle avait largement dépassé ses limites.

Nous avons tout de même consacré un peu de temps à nous perfectionner en navigation,
mais le souvenir de cette croisière restera surtout dans nos têtes comme un trio
magnifique.

Ma femme a gardé Cyrille comme amant pendant trois mois. Il venait à la maison, que je
sois là ou non et il donnait à chaque fois, à mon épouse, beaucoup de plaisir.

Puis il est parti un jour avec un autre bateau et un autre couple et j'ai imaginé ce
que l'autre dame avait dû connaître au cours de leur voyage.

De temps en temps, nous regardons les photos que j'ai prises et cela nous excite
beaucoup. Je n'ai toujours pas pu sodomiser ma femme, en raison de la forme et de la
taille de mon gland, mais nous ne regrettons rien.